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| Sujet: Caius. Safe and Sound. Sam 21 Avr - 21:42 | |
| Caius Propalam Date de naissance et âge : 24 Juin – 35 ans. District / Capitole : Capitole. Situation familiale : Plus personne, ça t’intéresse ? Métier (si adulte): Présentateur, Speaker et Interviewer. Groupe (Tribut etc...): Équipe TV. Signes particuliers : Sait se battre, déteste son métier mais ne dit rien. Avatar : Sam Worthington.
Physique & Caractère [Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]Je crois qu'une petite explication s'impose. Vous savez, j'ai beau être du Capitole, et présenter les Hunger Games à la télévision, c'est plus une contrainte qu'un plaisir pour moi. Mais avant d’entamer des explications complexes, je vais tâcher de me décrire physiquement et mentalement.
J'ai été brutalisé dans mon enfance, j'en suis ressortis traumatisé, tout ça de la faute de mon père. Ce n'est pas une vie pour un enfant, du coup je me suis enfermé dans mon monde, ou je rêvais de paix et de sérénité. Malheureusement ce ne furent pas comme ça que les choses se passèrent. Une révolte éclate, les districts contre le Capitole, les districts perdent et reçoivent les Hunger Games en guise de punition. Et moi, comme je suis l'un des plus doué avec la langue de tout Panem, on m'a « forcé » la main en me faisant devenir le présentateur des jeux. Tout ce que je n'aime pas. Je ne supporte pas de voir les enfants mourir, alors j'essaye de les aider, on peut dire que j'ai une personnalité multiple, je sais être drôle, sérieux, mystérieux, froid, et toutes sortes de caractéristiques qui viseront à mettre les tributs des districts en valeur, j'essaye d'être toujours le plus commercialisant possible pour que les sponsors soutiennent chacun des enfants, ce qui n'est pas toujours possible à mon plus grand malheur. Et si j'ose me plaindre, on me tuera, donc je me tais et fait mon travail. Les gens des districts doivent me prendre pour un monstre, présenter les jeux, c’est sûr qu’on peut trouver mieux comme travail, mais je leur fais comprendre par mes mots que je ne suis qu’un employé obligé de faire ce boulot.
En dehors des jeux, je suis plutôt quelqu'un de réservé, je n'aime pas être devant les autres, je préfère lire, m'enfermer et travailler seul. Je fréquente du monde certes, mais pas tout le temps, je préfère rester entouré de quelques personnes. On dit que les véritables amis se comptent sur les doigts d'une main, ce n'est pas faux. Je n'accorde pas ma confiance à tout le monde. Je suis quelqu'un de farouche et de franc, je préfère dire les choses comme je les perçois plutôt que de jouer les faux-jetons à cacher ce que je pense. Je suis quelqu'un d'amical quand même, je sais rire et faire rire, et j'aime ça. J'arbore toujours un sourire, même quand je suis triste, car le sourire c'est avant tout une arme hors du commun, on peut déstabiliser n'importe qui avec ça, où même rendre le bonheur au plus triste des hommes.
Physiquement, tu veux vraiment savoir ? Je vais me décrire comme je le pense, ne t'attends pas à des miracles. Contrairement à quatre-vingt quinze pourcents des gens du Capitole, je n'ai pas recours à la chirurgie, ni à la teinture, ni à toutes les extravagances de ce style, je préfère rester naturel. Quitte à choquer. Je suis brun, à reflets châtains quand je suis exposé à la lumière, avec des yeux bleus, j'aborde les un mètre soixante-dix huit. Je suis plutôt quelqu'un de musclé et qui aime garder son corps à l'état naturel, bien entendu, ça ne veut pas dire que je suis sale, je me lave, comme tout le monde. Quant à mon style vestimentaire, je n'aime pas être habillé de façon excentrique, je préfère rester moi même, de toute façon, c'est comme ça que m'apprécient les gens, que ce soit sur les plateaux télévisés, que dans la vraie vie. Les seules extravagances que je me suis autorisées sont deux tatouages. Un à chaque bras.
Histoire [Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image] Je crois que je devrais commencer par le commencement non ? Ça serait mieux. Je vous préviens, mon histoire n’est pas glorieuse, j’ai peine à l’avouer avec le métier que je fais actuellement. Mais bon, on ne choisit pas son destin. Quelle dure réalité. Nuit de juin, tempête, orage, et pluie, les douces calomnies de la vie. Je pleure. Ma douce et tendre existence dans le ventre de ma mère s'achève, sa vie aussi d'ailleurs. Elle trouve la mort en me donnant la vie, c'est regrettable mais c'est comme ça. Les médecins – tous plus affreux les uns que les autres avec leur chirurgie esthétique qui les rend affreux – me permettent de ne pas suivre le même chemin funeste que ma mère. Quant à mon père il n'est pas là, même pas présent lors de l'accouchement de sa femme et de sa mort accessoirement. Je pleure à en tuer les oreilles des infirmiers et des sages-femmes. Mon père était à son entraînement, oui, c'était le chef de l'armée des pacificateurs. Il n'y pas de guerre, mais c'était une mesure de prévention du Capitole, c'est bizarre, comme tout ce qui m'entoure. Je commence ma vie, et je la trouve déjà bien pittoresque. Les années passent et se ressemblent, toutes les unes pareilles aux autres, mon enfance se déroule dans la violence, soit je me fais battre par mon père qui boit, soit je m'entraîne avec les soldats en vue de le devenir. De toute façon, vivant dans un monde de brute, je n'ai que ça à faire d'après mon géniteur. Sauf que je vois les choses autrement. Je préfère lire, et m'inventer mon monde. Un monde où la guerre n'existe pas, où les gens ne s'entre-déchirent pas. Mais malheureusement, ce monde n'existe pas. La rébellion à commencé. Mon père est parti, pour ne plus jamais revenir. Ça fera un idiot de moins sur Terre. Quant à moi, j'ai dix-huit ans. J'ai un petit appartement dans le Capitole et j'étudie l'art des mots. Je suis l'un des plus brillants orateurs de tout Panem, il faut bien me le reconnaître. J'appréhende ma future nomination. A quoi va-t-on m'atteler ? Je n'en saurais rien, j'ai terminé mes études en avance, je détiens les clés du savoir, les professeurs n'ont plus rien à m'apprendre en une année, je suis un aspirateur à connaissance. J'ai été contacté par plusieurs journaux du Capitole pour devenir journaliste ou des broutilles de ce genre, mais rien ne m’intéresse. Vous savez vers quoi je me retourne à cette époque là ? Je reprends mon entraînement, aussi bizarre que cela puisse paraître, ça me détend. La révolte est toujours entrain de faire rage en dehors du Capitole, mais je ne suis aucunement touché. Je m'entraîne pour mon simple plaisir et les soldats l'ont très bien compris. Personne n'ose me forcer – ou même me demander – de partir à la guerre. De toute façon je crois que je ne le pourrais pas, je penserai trop à mon père, même si je ne l'ai jamais aimé. Finir comme lui me révulse. J'aligne plusieurs arts à mes talons, l'art des mots, je maîtrise parfaitement la langue, arrive à galvaniser des foules entières (ce qui a été le cas lors d'un concert d'une chanteuse où la foule est partie en délire total) ; et je sais me battre avec tous types d'armes : couteaux, épées, haches, mitrailleuses, etc. Mais il me manque cruellement quelque chose, un métier. Effectivement, je ne pourrais bientôt plus profiter de mon héritage, car je n'ai pratiquement rien eu en legs. Soixante-quinze pourcents des sous de mon père ont été prisés pour l'armée, tout était calculé pour m'en faire baver. Et c'est le cas, maintenant que je suis sans travail, voilà que j'ai bien du mal à payer mon loyer, et toutes les formalités du style. La révolte se termine, le district treize est exterminé. J'ai vingt ans. J'ai réussis à subsister avec quelques travaux à droite et à gauche. Le président instaure les Hunger Games. Un jeu de téléréalité que tous les habitants de Panem (Capitole et districts) sont obligés regarder. Dans cette émission, sont envoyés un garçon et une fille - de chaque district âgé de douze à dix-huit ans – s'entre-tuer dans une arène et un seul survivra. Les districts voient en ces jeux, une abomination, le Capitole voit un divertissement, encore heureux tous ne sont pas de cet avis, moi par exemple. Le président vient me requérir, voilà un métier en or. Il veut que je sois présentateur télévision des Hunger Games, mais le contrat est tordu, au départ j'étais tellement en manque cruel d'argent que j'ai accepté sans réfléchir, sauf que je suis désormais obligé de commenter et d'interviewer les tributs dans l'arène et sur les plateaux télévisés. Je m’attelle du mieux que je peux à les aider, même si ça ne marche pas à tous les coups, je vois chaque année défiler devant moi, le visage de vingt-quatre enfants dont le destin est clairement prémédité, vivre ou mourir, vingt-trois meurent et un seul gagne à chaque fois. Dès que je vois qu'un enfant survit, je me sens concerné. J'ai beau être du Capitole, je déteste mon métier depuis la première interview. Mais je ne peux plus faire retour arrière. Donc j'aide de mon mieux chaque enfant. J'essaye de faire son éloge, de le rendre charmant, brillant, sexy, intelligent, loquace face aux citoyens du Capitole qui pourrait devenir de futurs sponsors pour les tributs. Je déteste les voir s'entre-tuer alors que tous les autres habitants de la capitale de Panem adorent cet événement terrifiant. Le président dit que les Hunger Games sont une punition, je vois au delà de ça. C'est un moyen de tenir les districts en laisse. Je trouve cela abominable, mais je n'ai que ma bouche à fermer. Parce que si j'ose faire le moindre geste, soit on me rend muet, soit on m'exécute sur place et je suis sûr que cette charmante anecdote sera retransmise dans tout Panem à la télévision. Je viens à détester le fait d'avoir refusé de partir à la guerre, j'aurais pu éviter ce destin, mes aptitudes avec la langue m'ont valu ce poste affreux, mais je suis bien obligé d'aider les enfants, c'est mon travail, non c'est ma seule préoccupation, je ne veux pas qu'ils souffrent d'avantage. Donc je fais de mon mieux pour les assister lors des interviews, j'essaye de faire en sorte que chacun brille à sa façon, et sérieusement ce n'est pas facile. A chaque année, j’appréhende la prochaine édition des jeux, elle me fait peur. Je ne sais pas quel genre d’enfant vont se présenter devant moi, je n’en peux plus, je crois que je vais devenir fou. Je préfèrerais y être envoyé à leur place. Où même fuir, mais c’est impossible, ils me retrouveraient et en ferait une priorité, car je suis irremplaçable. Derrière l'écranPrénom / Pseudo: Nico. Âge Réel : Quatorze ans. Comment as-tu connu le forum ? : J’ai cherché. Code du règlement : Code Ok, By El' la Modo Poulpe. Autre chose ? : J’suis le double compte de Elena !
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