Logan N. Stark Admin
♣ Nombre de message : 806 ♣ Date d'inscription : 18/02/2012
| Sujet: Ulyss L. Alenko • District 11 • Mentor • Libre (DARREN CRISS) Mar 8 Juil - 19:23 | |
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Ulyss Lucky Alenko
âge : 25 ans né(e) le : Le 3 septembre né(e) à : District 11 statut : Célibataire
| études/métier : Ecrivain groupe :Mentor featuring : Darren Criss
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Physique & Caractère Pour comprendre mon fonctionnement, certain dise qu'il suffis de lire la définition du Syndrome dont je souffre. Je suis absolument pas d'accord. Le principe est simple. Je suis techniquement hypersensible, physiquement comme mentalement. J'ai me dit-on une utilisation atypique du langage. Mais Saperlipopette c'est de la bêtise ! On me dit aussi que mes centres d’intérêts sont restreints. Mais j'aime beaucoup de choses. L'écriture ... La lecture ... et ... Euh ... Euh ... Bref. Passons. Forcement ma vie se caractérise par un panel de sobriquets et de noms d'oiseaux divers et variés. Je n'en citerais pas un seul par respect ... Pour moi... Entre autres.
Ma vie est donc une succession de moqueries plus cruelles les unes que les autres. Certain, dans cette situation serai devenu aigri, froid, méchant. Se serai renfermé sur eux même. Moi, j'ai fait totalement le contraire. Je suis un éternel optimiste, j'écoute pas les moqueries, ou en profite pour faire de l'auto-dérision. Je suis toujours souriant, gentil, câlin. Je n'ai pas enormement d'amis. Mais tant mieux. J'ai pas de mal à faire confiance et le tri dans mes amis comme ça. En amitié, je suis vraiment une perle. Toujours là pour mes amis, je suis quelqu'un sur qui l'on peut compter. Pour mes tributs, peut importe comment ils me considère, je me donne toujours à fond. Coté cœur, depuis longtemps je sais que je préférais les garçons. Et à ce niveau là, je pense connaitre l'élu de mon cœur. Mon prince charmant. Mais ceci est une autre histoire.
Mon physique ? Je suis parait-il un assez beau garçon. Assez grand, je m'entraine tous les jours pour avoir une musculature respectable. Pas forcement évidant d'ailleurs. J'ai des yeux noisettes. Certaine mauvaise langue me dise que j'ai des yeux de cochons. Mon nez est assez gros, mais il fond parfaitement dans mon visage. Des dents blanches et un sourire ravageur sont mes meilleurs atouts pour conquérir le cœur des sponsors féminins. Ma coiffure change selon mes envies. Comme ma pilosité faciale. J'aime avoir une barbe de quelques jours autant que d'être rasé de pret ! Pour mon style vestimentaire. Je dirais qu'il est assez classique. Enfin ... Il l'était y a une centaine d'année. Du coup, je fais sensation dans les rues du capitole par mon style vintage. Sponsors ! J'arrive ! Sur mon cheval Blanc !
Histoire Mon histoire est simple. Très simple. Trop simple. C'est une histoire d'équilibre. Quelqu'un qui n'a jamais eu de chance finira toujours par en avoir une insolente en échange. C'est ordre des choses. Le fait que je sois encore là aujourd'hui résulte uniquement d'un acharnement du sort pendant la première moitié de ma vie. Durant la seconde, surtout au début, j'ai été chanceux comme un cocu. Maintenant j'arrive à une nouvelle douzaine d'année. J'me demande ce que le sort me réserve ...
Commençons par le commencement.. Être né dans le district Onze est, je pense déjà un certain manque de chance.Et être enfant d'une des familles les plus pauvres du district le confirme. Ma mère, célibataire à toujours tant bien que mal veiller sur moi et mon grand frère, Icare. Icare était bien plus vieux que moi. Il travaillait déjà quand je suis né. Je ne peux vous dire son âge exact. Vous saurez bien assez tôt pourquoi. Toujours est-il que j'ai vécu tant bien que mal les premières années de ma vie. Ma mère à toujours été très protectrice avec moi et c'est pour ça qu'on a mis un moment à se rendre compte de mon état.
Heureusement pour mon cas, peut être un coup de chance, ma mère avait comme ami, un pseudo-médecin ayant vécu dans le six. Lors de ces quelques séjours entre nos murs, quelque chose le troublait avec moi. Après quelques recherches, il confirma le diagnostic Moi Ulyss Alenko, souffrait du Syndrome d'Asperger. Pourtant ma famille n'avait rien remarqué. Les années passèrent. Moi en cours, ma mère travaillant. Mon frère ? Je n'en sais rien, du jour au lendemain ne le voyant plus à la maison, il fini par disparaitre totalement de ma vie. Sans explications et avec interdiction de ma mère de prononcer son nom ou même de penser à lui. Certain aujourd'hui affirme que je l'ai inventé, que je n'ai jamais eu de frère. Je en les crois pas.
Me concernant, ma vie fut assez banale, voir même terne, morose. Mais mon optimiste permanent me donnais le courage d'avancer. Cette routine fut rompu durant ce qu'on appelle aujourd'hui Les Jours Sombres. Cloitrer à la maison par ma mère, elle voulait me protéger de l'influence de mauvaise personne. trop vulnérable selon elle à cause de " mon esprit faible". Un jour elle m'enferma. Et ne revint jamais. Ma mère avait choisi son combat, la rébellion au lieu de son fils. Trouver par un voisin presque mort de soif, j'appris la nouvelle sans pleurer. Je ne peux pas dire qu'elle me manque. Avoir une mère me manque mais pas elle particulièrement. Elle à choisi de m'abandonner. Pourquoi sa présence me manquerais ? Moi maintenant seul à l'age de dix ans, j'ai vécu dans un orphelinat et j'ai commencé à travailler dans les vergers.
L'année suivante, un coup de marteau venait frapper les survivants des jours sombres. Nous étions puni de la stupidité de nos ainés. C'est ainsi que furent annoncés les premiers Hunger Games. Vous connaissez le principe. Moi, je n'avais pas encore l'age d'être choisi pour la première édition. On m’obligea quand même à regarder toute l'édition. Des visions d'horreur qui m'ont fait faire des cauchemars. Hélas maintenant, ces images ne me font plus rien. Le Capitole avait gagné, il avait installé une peur viscérale chez tout les parents des Douze derniers districts.
Juste après la victoire d'un nain, qui embarrassa les créateurs du jeu, je fêta mes douze années. C'est à se moment là que je su. Il n'en était pas possible autrement. Comment avec la chance que j'avais depuis le début de ma vie, je pourrais passé entre les mailles du filet des Hunger Games ? Vision défaitiste à première vu ? Pas tant que ça. Pour moi si je participais c'était tout bénef' ! Soit je mourais et enfin on me foutait la paix. Soit j'en sortais vainqueur, riche et couvert de gloire. Mon travail dans les vergers devint une source d'entrainement ! Oui. Pour un gamin de douze ans, ça consiste à sauter d'arbres en arbres, faire fuir les oiseaux en hurlant à qui veut l'entendre que à vaincu un griphon et faire tomber des pomme comme si c'était un trésor de guerre.
Quand l'été d'après, mon nom sorti de l'urne, je ne fus même pas surpris. Je ne pleurais même pas. Pas comme ma partenaire, une jeune fille de 15 ans. Continuant mon petit bonhomme de chemin, je n'avait pas fait forte impression déguisé en épouvantail au défilé. Les entrainement avaient vu fleurir quelques alliances et quelques favoris pour la compétition. Moi, j'étais toujours dans mon coin, ne parlant à personne et n'en impressionnait pas plus. Mon passage devant les juges fut une catastrophe. J'avais essayé un arc sans trop de succès, l'arc étant presque aussi grand que moi. Après un petit 3, les interviews l'adorable Caius s'étaient mieux passé, uniquement grâce à son talent pour faire parler les gens. Me voilà avec une étiquette de petit malin qui cache bien son jeu.
Détail important pour la suite, nous n'étions qu'à la seconde édition des Hunger Games. La première édition avait pris tout le monde de court et depuis les gamins les plus intelligents n'avaient eut qu'une année pour s'entrainer. Oubliez donc les carrières, les alliances tactique et les districts chouchou. Non, là c'était surtout chacun pour sa trogne et mais j'ai encore des scrupules à tuer. Du coup dans l'arène, le bain de sans fut très pauvres en mort comme les deux premiers jours au complet. Moi depuis le début, j'ai survécu en mangeant des fruits que je connaissais, alors que beaucoup d'entre eux ont tué des tributs innocents. L'édition dura 12 jours. On m'a attribué la mort de trois tributs durant l'édition. Pourtant, je n'ai pas de sang sur les mains. Par trois fois, c'est un coup du sort qui me fait vaincre mon ennemis.
Victorieux, je l'ai été le matin du 12éme jour. Durant la nuit il y avait déjà eux deux morts. Deux morts attribués à mon dernier adversaire, la fille du 4. Cette jeune fille au tempérament bouillonnant avait eux la chance de recevoir un épieu qu'elle maitrisait à la perfection. Hélas, c'est cet épieu qui la lançant sur moi pris un mauvais rebond, se coinça dans un arbre. Moi, mort de peur recroquevillé entre deux racines, je pleurais toute les larmes de mon corps. Elle s'approcha de moi lentement en me disant des mots horribles sur une éventration. C'est alors que, au premier coup de lame dans mon bas ventre, je fut pris d'un spasme qui la fit trébuchée contre l'arbre. Le choc fit retombé l’épieu directement dans son crane. C'est donc ainsi que je fus déclaré vainqueur des seconds Hunger Games. Ce qui m'était encore plus le Capitole dans l’embarras.
Après la petite victoire d'un nain, nous avons la victoire la plus chanceuse de toute l'histoire des Hungers Games. Et un surnom tout trouver pour le jeune gagnant : Lucky. Ce surnom, je le déteste. Il me rappel sans cesse que je ne méritait pas la victoire. Depuis lors, le surnom me collant à la peau, je ne suis pas respecté pas mes collègues mentors. Pour beaucoup je ne mérite pas ma victoire. Mais le pire c'est surement la réaction de mes tributs. Ils pensent souvent que je n'ai rien a leur apprendre. Pour faire d'eux des champions, je m'efforce depuis maintenant 13 ans de lire des guides de survies, de revoir toutes les éditions, apprendre de mes erreurs. Et je le promet aujourd'hui. Je ferais d'eux des véritables guerriers.
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