Physique:
Le moins que l’ont puisse dire au premier coup d’œil, c’est que cette homme est humble. Observe simplement sa démarche, elle est assuré et souple. Pourtant il devrait faire taquet bas, t’as vu sa taille ? 155 centimètres maximum. En plus il doit pas travailler aux champs, un coup de vent pourrait le faire voler… Sa peau est à peine brunit, il est allergique au soleil ou quoi ? Pour gagner les Hungers Games avec un physique aussi quelconque, il doit avoir du nerf. Même que plus que je le regarde plus je remarque ces détails qui font qu’un homme est un homme : ses bras sont minces, mais les muscles y sont compact, il doit savoir s’en servir. Il marche comme un ombre, on devinerait à peine sa présence. Sont regard à lui seul vaut l’histoire. Un homme qui en n’a vu, mais qui sait rester fier, il regarde droit devant lui, il est sur de ce qu’il fait, il sait où il va.
Décidément c’est tout un personnage…

Caractère:
Chaque habitant a un devoir envers le district, je considère que le mien est d’être mentor. Dans les districts plus riches, ils sont entraînés pour ce jeu tandis qu’ici, seul le mentor des jeunes pour leur indiquer comment gagner. Je ne fais pas ce métier par choix, je le fais par devoir et par générosité. Si je ne le fais pas, personne ne le fera ou sinon, quelqu’un qui ne s’y connait strictement pas. Le district onze n’a pas eu des masses de gagnant, s’il pouvait en avoir plus, je pourrais faire autre chose et mon devoir serait terminé… Ma seule motivation est de passer à autre chose, je sais c’est égoïste, mais j’ai déjà assez donné.

Se tenir droit, se taire, faire sont travail. Ces quelques règles avaient primées durant toute l’enfance d’Adam. Rester en rang et surtout ne jamais se faire remarquer. La présence surabondante des pacificateurs dans sont district avait forcé Adam et toute la population du coin à vivre un mode de vie inutilement rigoureux. Déjà que le travail étais très difficile et honnêtement loin d’être des plus passionnant, cette discipline était plus démoralisante que mobilisatrice. Dès sont plus jeune âge, Adam avait appris les rudiments du travail de la terre; se lever avant le soleil et se coucher lorsque celui-ci disparaissais était un rythme de vie auquel il s’était habitué. Il faut admettre que personne n’avait le choix de s’y habitué, les pacificateurs n’avait rien de clément et leur arrivé était surtout synonyme de violence. Adam avait eu la ’’chance’’ d’assister à plusieurs exécutions, merci aux pacificateurs. De plus, Adam n’avait pas le choix de travailler, sont père était mort bien avant sa naissance et de sa famille, seul sa mère était encore en vie. Le coup n’en fut que plus dur lorsque sont nom fut tiré à 16 ans, à la troisième édition des célèbres Hunger Games. Laissant sa mère seule, Gunnar prit le train et laissa sont cœur au District. Néanmoins, il était motivé, c’est le moins que l’on puisse dire. Mais soyons honnête, Adam à surtout gagné parce qu’il était habitué à être affamé et que sont corps pouvait supporter plus d’aléas que la moyenne. Au final, il n’avais tué qu’un seul autre joueur, puisqu’il n’avait pas le choix pour gagner. De retour au district, Adam aurait dû éprouver une certaine fierté, mais la seule pensé qui l’occupait était d’aller retrouver sa mère au plus vite et tenter d’oublier l’horrible aventure que venait de se terminer pour lui. Sa mère s’éteint peu après, laissant Adam déprimé et sans motivation pour le travail aux champs. C’est ainsi qu’il devint mentor pour les Hunger Games, métier à part entière qu’il pratique encore aujourd’hui, 13 ans plus tard.