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| Sujet: Célestine V. Stone, Mentor du District 8 (Pré-définie : J. Alea Stone) [Finie!] Jeu 5 Déc - 21:38 | |
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[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]Prénom(s) : Célestine Violette Nom : Stone Date de naissance & Age : 6 avril, 16 ans District / Capitol : District 8 Situation Familiale : Vit avec ses parents et son frère jumeau. Groupe : Mentor du District 8 Avatar : Dakota Blue Richards
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Physique - Caractère Célestine a toujours été une belle enfant. Elle a été une adorable fillette, et sera sans doute une jolie jeune fille. Cependant, malgré ses seize ans, elle ressemble toujours à une gamine. Quasiment aucune forme avantageuse, une taille plus que modeste, et des traits enfantins. Tout d'une gamine, sauf le sourire. En effet, la petite Célestine semble avoir oublié comment contracter les muscles de son visage pour obtenir un sourire. Elle a en permanence un air grave et froid qui sied davantage à un adulte qu'à une adolescente au visage d'enfant, aussi marquée par la vie soit-elle. Elle a malgré tout un beau visage. De forme ronde, aux joues rosées, qu'on qualifierait de poupin. Sa peau, très pâle, crée un contraste étonnant avec ses cheveux sombres. Bruns la plupart du temps, ils prennent parfois une teinte rousse au soleil. Depuis son enfance, Célestine a toujours eu les cheveux longs et elle ne voit pas d’intérêt à les couper. Cependant, elle déteste avoir des mèches sur son visage, c’est pourquoi elle attache le plus souvent ses cheveux en queue de cheval ou en longue natte derrière son dos. Elle a également des yeux gris-bleu, très communs dans le district, même si elle persiste à penser qu'il s'agit sans doute de la plus jolie partie de son anatomie. Comme une enfant, elle a de grands yeux avec de longs cils, qui prennent une grande place sur son visage. En un certain sens, ils renforcent cette impression de froideur, sans doute cette couleur métallique qu'ils arborent. Cela fait qu'elle a une présence plutôt importante, malgré son corps qui est tout sauf cela. Elle ne mesure pas beaucoup plus d'une mètre et demi, a la poitrine quasiment plate, ne possède aucun muscle saillant, ni même une quelconque marque de ses rondeurs enfantines. Sa voix fluette n'arrange pas beaucoup les choses, mais malgré tout, elle se fait toujours remarquer par ce comportement tellement différent de ce que laisse supposer son physique. Malgré sa froideur apparente, elle aime se parer de couleurs vives, des tenues qu'elle peut largement se payer grâce à ses gains de mentor et ancienne gagnante.
Car froide, elle l'est, même beaucoup. Calme d'apparence. Autrefois, c'était bel et bien une petite fille comme les autres. Rieuse, curieuse, rigolote, énergique… Autant de traits qu’elle a perdus aujourd’hui. En effet, les Hunger Games sont passés par là et sa façon d'être en a fait les frais. Elle ne parle presque plus, sauf si elle sait exactement ce qu'elle doit dire. Elle ne l'ouvre jamais pour penser à voix haute, à pure perte, elle est économe de ses mots. Elle ne sourit plus, cela a déjà été dit, et le seul type d'humour qu'elle prise encore est une ironie amère, ainsi qu'un humour noir très subtil, qu'elle utilise pour manifester son mécontentement ou se moquer, toujours de façon très sombre. Elle n'est du coup pas vraiment ce qu'on appelle une fille sociable. Elle ne prise pas particulièrement la bonne compagnie et n'aime pas discuter mais elle apprécie de sentir une présence silencieuse près d'elle, elle n'aime carrément pas être seule on pourrait même dire, car la solitude lui pèse. Un sacré paradoxe en somme ! C'est très simple, "soit là mais tais-toi, je n'ai rien à te dire". Célestine est une adepte des amitiés silencieuses, du même genre qu'elle entretient avec son frère Aloïs. Ils se parlent sans se parler et entretiennent des relations très fusionnelles. Du fait de ses tendances amicales étranges, elle prise des activités silencieuses et méprise tout ce qui fait du bruit. Elle lit énormément et écrit encore plus. Elle couche sur le papier toutes sortes d'histoires qu'elle se plait à inventer, ou alors le fruit de ses réflexions personnelles, nombreuses et chaotiques, qui l'aident à aller de l'avant. Elle griffonne aussi parfois sur des feuilles de papiers, mais toujours des paysages, des objets ou des scènes dans lesquels n’apparaissent jamais une présence vivante. Voilà pour les activités d'intérieur. La jeune mentor aime aussi les balades, en bonne compagnie, dans les zones un peu délaissées et silencieuses de son district, dans la nature si possible. Le naturel l'apaise autant que son frère ou ses lignes. En effet, sentir l’odeur d’une fleur ou de l’herbe mouillée, toucher l’écorce d’un arbre ou entendre les gazouillements des oiseaux sont peut-être les rares choses qui la font se sentir vivante, et sereine. Car si c'est le silence autour d'elle, son esprit ressemble à une véritable tempête. Les souvenirs, les colères, les espoirs. De par son jeune âge, elle peine à maîtriser tout ce qu'a déclenché l'enfer des jeux dans sa tête. Car, au-delà de la lecture et des balades, son occupation première et de ruminer et de ressasser. Elle ne contrôle absolument rien, si ce n'est cette capacité à n'en rien laisser paraitre et de sembler froide et inaccessible, c'est pour cela qu'on la surnomme Célestine Stoneheart. Elle entre parfois dans des phases de crises, comme des crises de conscience, qui peuvent parfois durer plusieurs jours. Cela se manifeste par des souvenirs sanglants des morts auxquelles elle a assisté dans l'arène. Ces jours-là, elle ne supporte pas d'ôter la vie, ne serait-ce qu'à un moucheron et sursaute dès qu'on la touche, voire parfois de se défendre très violemment, car elle se sent toujours agressées. Elle déteste le moment où le Soleil commence à décliner. En effet, cela annonce la venue de la nuit, nuit qui pour elle ne se résume qu’à un seul mot : cauchemar. A l'instar des loup-garous des légendes, sa conscience est comme une malédiction, et elle sait que voir ses tributs se faire hacher menus n'arrange pas franchement les choses. C'est d'ailleurs pour cela, peut-être par pur égoïsme, qu'elle se démène toujours pour avantager ses tributs. En cela, on peut dire qu'elle ne manque pas de détermination, usant de tout ce qui est en son pouvoir pour trouver des sponsors. S’il le fallait, elle pourrait recourir à la tricherie, à la manipulation. Tout cela pour calmer ses angoisses. Mais ne vous imaginez pas qu'elle a vraiment un cœur de pierre, non. Elle ressent beaucoup d'empathie pour les tributs qu'elle conseille, et qui ont toujours été plus âgés qu'elle, car elle se voit en eux, et espère les voir revenir. Espoir vain, car il y a toujours des adversaires redoutables, tels que les carrières à affronter. Elle force toujours la cohésion entre ses deux tributs, avançant comme argument que c'est cela qui l'a fait plus jeune vainqueur des Jeux, même si on ne l'écoute pas toujours. Elle comprend. Comment être crédible quand on donne des conseils pour rester en vie, et qu'on semble avoir tout au plus treize petites années ?Histoire Je ne vais pas vous raconter mon histoire. Ou, du moins, pas dans tous ses détails. En effet, bien que n’ayant que seize ans, raconter toute mon histoire, du moins tout ce dont je me souviens serait bien trop long et vous risqueriez de vous ennuyer avant d’arriver à la partie la plus « intéressante », du moins celle qui vous intéresse le plus : mon récit de la Treizième édition des Hunger Games. Cependant, si vous vous attendez à un récit croustillant de détails sur comment j’ai gagné cette édition, alors passez votre chemin. En effet, dans ce récit, je ne vous ferais part que de quelques événements de ma vie qui ont engendré ce que je suis à présent.
Le premier souvenir que je voudrais vous évoquer est probablement le plus vieux souvenir que j’ai. Comme nombre de mes souvenirs, il est lié aux Hunger Games. Ma naissance coïncide avec la première Edition de ces Jeux, cependant la première édition dont je me souviens est la Troisième. Enfin, ça n’est pas vraiment de cette édition dont je me souviens mais des circonstances dans lesquelles nous l’avions vécue. Après avoir vu la Première Edition, mes parents et tous les adultes de la grande maison dans laquelle nous vivions avaient décidé de nous protéger, nous, les enfants, de ces terribles Jeux. A l’époque, nous étions trois enfants à la maison : mon cousin Luke, mon frère jumeau Aloïs et moi. Avec nous vivaient tous nos parents, la petite sœur de mon père et nos grands-parents paternels. Notre maison était immense, ce qui était un luxe pour notre District.
Enfin, revenons à ce premier souvenir. A chaque fois qu’intervenaient les diffusions obligatoires des Hunger Games, nos parents faisaient en sorte de nous éloigner de l’écran de télévision, soit en nous couchant plus tôt ou en nous emmenant nous promener si l’émission avait lieu dans la journée. Et, justement, le jour de ce premier souvenir, Luke, Aloïs et moi étions en balade avec le père de Luke. Nous marchions dans le centre de la ville, le père de Luke veillant à nous faire éviter les lieux de diffusion publique. Je tenais la main à Aloïs, comme souvent, et Luke courrait devant nous. Soudain, il s’est arrêté et il a crié. Notre oncle a accouru pour le rejoindre et nous trottinions derrière lui, du haut de nos deux ans. Nous avons vu un régiment de Pacificateurs s’approcher de nous. Ils me paraissaient immenses, et ils m’effrayaient avec leurs costumes blancs et leurs casques noirs. S’en est suivi un échange de paroles entre mon oncle et celui qui semblait être le Chef du régiment dont j’ai oublié le contenu, mais les secondes qui ont suivi cet instant resteront à jamais graver dans ma mémoire. Le Chef a sorti une matraque et l’a levée en l’air avant de l’abattre sur le crâne de mon oncle, qui s’est effondré sur le coup. Luke, alors âgé de sept ans, nous a attrapé par les mains et nous sommes rentrés à la maison aussi vite que nos petites jambes nous le permirent. Après notre retour, nos parents se sont rendus sur le lieu de l’attaque et ont ramené mon oncle, gravement blessé mais vivant. Après cet incident, mon oncle est resté gravement handicapé, ne pouvant plus marcher et à peine parler, et puis nous avons découvert les Hunger Games. Ce n’est que bien plus tard que j’ai fait le lien entre nos parents qui ne nous écartaient plus de l’écran de télévision et l’agression de mon oncle. Suite à ça, Luke a commencé à vouer une haine secrète contre ce gouvernement qui avait blessé son père et compromis notre innocence d’enfants. Voilà pour ce premier souvenir, qui me hante encore aujourd’hui et qui est, finalement, le commencement des liens qui m’unissent à présent avec les Hunger Games.
Le second souvenir que je vais évoquer servira principalement à illustrer la relation que j’avais avec mon frère jumeau et mon cousin Luke. Ce souvenir remonte à nos sept ans et aux douze ans de Luke. La sœur de mon père avait eu deux enfants, Thalie et Azur, mais Luke, Aloïs et moi restions très liés et nous étions toujours fourrés ensemble.
Ce souvenir n°2 prend place dans le bosquet derrière notre maison. Je crois que la majeure partie de mes souvenirs heureux s’est déroulée dans ce bosquet, avec mon frère et mon cousin. J’ai choisi ce souvenir mais j’aurai pu choisir n’importe quel moment passé à cet endroit. Ce jour-là, nous jouions à cache-cache et c’était à moi de chercher Aloïs et Luke. Je n’aimais pas chercher, parce que les garçons réussissaient tout le temps à trouver des cachettes impossibles à atteindre pour moi, comme la cime des arbres. Et ce jour-là, je les avais cherchés pendant plus d’une demi-heure sans les trouver. Frustrée d’avoir passé tout ce temps à fouiller les fourrés sans les avoir aperçu, je m’étais assise sur un tronc d’arbre. La nuit avait commencé à tomber et je me sentais seule. J’avais commencé à pleurer en silence. Et soudain, comme s’il m’avait entendu, mon frère jumeau m’appela en criant. Je m’étais levée et j’avais couru dans la direction d’où provenait le cri. En apercevant Aloïs, je lui avais sauté dans les bras, comme si je ne l’avais pas vu depuis des jours alors que ça ne faisait qu’une demi-heure. Sans même parler, il avait compris et me serrait dans ses bras pour me rassurer. Notre relation est peut-être la seule chose qui n’a pas chang Luke était alors apparu par derrière, et les mots qu’il a prononcés alors sont restés à jamais gravés dans ma mémoire. « Bah alors cousine, on a peur d’être seule ? Ne t’inquiète plus, je suis là et je serai toujours là pour toi, peu importe ce qui nous arrive. » A la suite de ses paroles, je lui ai sauté dans les bras et il m’a fait tournoyer en l’air, comme il le faisait si souvent. Puis nous avons ris, tous les trois, et nous sommes rentrés bras dessus, bras-dessous jusqu’à la maison, pour finir la soirée au coin du feu à grignoter des noisettes grillées. Rien que le fait de réécrire ce souvenir me donne l’impression qu’il est là, près de moi, comme il me l’avait promis…
Le choix de ce troisième souvenir est particulièrement difficile. J’aurai pu choisir le jour de la Moisson et raconter l’horreur qui s’est abattu sur toute notre famille quand Luke a été appelé quelques secondes à peine après moi, sans personne pour prendre nos places… Ou j’aurai pu décrire avec moultes détails le premier meurtre que j’ai commis, bien contre mon gré. Cependant, j’ai décidé de vous raconter l’interview d’après-jeux.
Les trois heures du récapitulatif des Jeux ont probablement été les heures les plus dures de ma vie. Tout d’abord, assister à la Moisson d’une vision extérieure et nous voir, Luke et moi, monter sur cette estrade sous les pleurs de nos mères et les cris de nos plus petits cousins. Voir la compassion sincère des habitants de mon District. C’est à peine si je me souvenais des événements qui avaient suivi, comme les Adieux ou le voyage en train. Je nous voyais ensuite défiler avec tous les autres tributs, et je voyais que le maquillage n’avait pas réussi à cacher mes yeux bouffis et rougis par les larmes. Luke paraissait fort, et on voyait toujours cette attitude protectrice qu’il avait envers moi. Ensuite, après un passage accéléré sur les interviews des autres tributs, j’assistais à mon propre discours pour tenter d’attirer les sponsors en jouant la carte des cousins condamnés, et à celle de Luke, toujours si gentil et prévenant avec moi. Cette partie s’acheva sur l’image de Luke me serrant dans ses bras, comme pour me protéger de ce Capitole. Et là, sans transition, le coup de canon annonçant le départ des Treizième Hunger Games avait retenti. Je me voyais, perdue, complètement dépendante de Luke. Ils avaient repassé cette dramatique scène, pendant laquelle mon cousin m’explique qu’il va tout faire pour me sauver. J’avais pleuré, je m’étais débattue, j’avais tenté de l’en dissuader, mais sa décision était prise et je ne pouvais rien y faire. La rediffusion se devait de montrer toutes les morts, cependant elle restait très centrée sur notre duo. Avec Luke qui me guidais, Luke qui me portaient, Luke qui me donnaient à boire, Luke qui me donnait à manger. Luke qui tuait pour moi. Dans la rediffusion, je découvrais pour la première fois son regard lorsqu’il tuait. Ce regard me hante encore aujourd’hui… Venait ensuite le premier tribut que j’avais tué, un garçon du six. Il avait blessé Luke à la jambe et s’approchait dangereusement de lui, mon instinct de survie m’avait réveillée et je m’étais précipitée sur lui, retournant son arme contre lui. Pris par surprise, il ne s’était pas débattu et il était mort sur le coup. Un gros plan sur mon visage, caché entre mes mains pleines de sang, laissait apparaitre les premiers sanglots sur mon visage. Et cette boucle s’était répétée. Encore et encore. Luke tuait. Je tuais. Je pleurais. Jusqu’à la fin, où il ne restait plus que nous et un autre Carrière. Et je voyais cette fin théâtrale, que j’aurai tellement voulu oublier, mais qu’on m’avait forcé à regarder. Luke qui se battait avec l’autre, tandis que je restais, pantoise, à côté. Luke prit le dessus et porta un coup au Carrière, lui laissant juste assez d’énergie pour qu’il puisse le poignarder à mort lui aussi. J’avais assisté à leur agonie, tenant la main de Luke jusqu’à ce que retentisse le canon. Et ce fut avec sa mort que j’avais été sacrée Vainqueure de la Treizième Edition des Hunger Games, et, de surcroit, plus jeune tribut ayant remporté les Jeux.
Lorsque les lumières s’étaient rallumées sur le plateau, mon visage était dur. Pas une larme n’y avait coulé, j’avais décidé de laisser mon fragilité dans l’arène. Le présentateur n’avait réussi à m’arracher un seul mot, ma bouche étant désormais scellée pour ce public et ce Capitole qui avaient causé la mort de mon cousin. Après cette rediffusion, on me surnomma « Stoneheart », le cœur de pierre. Je m’étais murée dans le silence, comme encore aujourd’hui. Les paroles ne sont qu’une futilité, le plus fort ne se transmet pas par des paroles, mais par des actes. Je ne parle désormais plus que pour ce qui est essentiel. A mon retour au District 8, l’ambiance était glaciale dans la maison. Malgré ma survie, toute la famille était déchirée par la perte de Luke, le grand Luke, le gentil Luke, le parfait Luke. Le seul qui resta proche de moi était, comme toujours, Aloïs. Et pourtant, chaque Moisson depuis ma victoire reste affreuse. La peur qu’Aloïs soit choisi pour les Jeux s’ajoute à l’immense pression d’avoir à conseiller deux Tributs, qui ont toujours été plus âgés que moi pour le moment. Chaque retour au Capitole reste une torture, notamment de ne rien pouvoir faire pour aider les Tributs que je dois sauver et les voir mourir là où j’ai survécu. Mais surtout, ce que je ne peux plus supporter, c’est le fait de voir ces bouches clamer mon nom, ces bras se tendre vers moi et ces yeux me dévisager, alors que la seule chose que je voudrais serait de disparaitre, dans un monde sans Capitole, sans Jeux, sans inégalités, sans morts et uniquement avec Aloïs. Et Luke.
Behind the screen Prénom/Pseudo : Marie, ou Nalyana, ou Brune-Alice Age réel : 16 ½ ! Comment as-tu connu le forum ? Google Code du règlement : Le mot de la fin Ravie de faire partie de ce forum ! Serait-il possible de changer mon nom de famille en Stone s’il vous plait ?
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Dernière édition par Célestine V. Aliès le Lun 9 Déc - 20:42, édité 2 fois |
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