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De nouveau le canon retentit pour al mort de Shin. Et voilà la mort du dernier tribut pour la massacre de la corne d'abondance. Tous le monde avait assouvie son appétit de meurtrier sauf moi. Qui restait tout penaud et avais fais carte blanche pour ce bain de sang. Temps pis pour moi je m'étais contenté de me prendre les meilleurs armes et canaliser mon énergie. Certes je n'ai encore tué personne. Mais les autres avaient faient le salle boulot pour moi. Autant rester positif étant donné que ma vie se finira fort probablement dans ses souterrains. Un frisson me parcourut suite à cette pensée. Autant rendre ma mort mémorable. Si je devais crever ici je voudrais qu'on se souvienne de moi. Je ferais bien pire que les autres. Le pauvre petit Kihara qui est rester à ne rien faire pendant le bain de sang le tribut discret du un promet. Et le public allait bientôt s'en rendre compte. Je souriais intérieurement. Au fond je ne valais pas mieux que les autres. Un garçon ronger par la vengeance. Mais continuer à vivre dans se monde et cette société de merde. Voir ses vampire assoiffés de la tristesse des autres.
Une fois le tas de fourniture faite je prends un brioche et croc en pleins dedans. Jo et Billie était partie faire mumuse avec les autres tributs quand à moi j'étais resté tranquillement gardé la corne d'abondance. A vrai dire j'avais déjà repérer se que je voulais et se que je ne voulais pas. Bref je m'étais organisé quoi ! Pour mon départ.
Le nuit approché et mes yeux commencé à tombé une fois tout les carrières rassemblés a la fin de la journée les tours de garde s'organiserai. J'étais le deuxième. En tout cette nuit là j'avais put profiter de cinq heures de sommeils en tout.
Nous attaquons le deuxième jours. Mon activité ? J'ai monté la garde. Simple et reposant. Les autres vaqué à leurs occupations. Mais je préférais garder mes force pour mon départ j'en aurais besoin. Assis mon sac de départ bien chaud je profitais des provisions pour me servir à ma guise et même parfois m'assoupir une petit demi-heure quand je flanchais trop. Oui je sais je suis insouciant. Mais aucun tribut n'est asse fou pour s'approcher de la corne d'abondance avec tout les carrières qui grouille. Ils doivent probablement chercher la sortie de ce trou. Et puis au moindre bruit je n'étais pas dans un sommeil asse profond comme la nuit pour ne pas entendre els bruits suspect. Bref je ne fessais rien. Je garder mes force simplement. La journée se déroulait paisiblement pour moi apparemment. Mon plan serait mit ce soir à exécution. Mon évasion des carrières.

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J'étais assis paisiblement. Le calme plat. De temps à autre je pouvais percevoir quelque pat dans le silence. Je venais de réveillé d'un léger somme d'a peine une petite demi-heure. Rien n'avait changé comme je m'y attende. Je me demandais bien se qu'il pourrait nous faire. Oui les juges. A tout moment ils peuvent parfaitement nous balancer quelque chose dans la tronche non ? Pour ma part je m'attends plus à une bestiole qui va essayé de te coincé dans un coin pour te bouffer. Ce n'est pas se qui m'effrayé le plus. Et le pire, ils le savaient. Alors en réalité non. Je n'ai pas la moindre idée de se qu'il me prépare. Ils savent que je ne suis pas de nature à me battre je vais plus chercher la fuite et essayé de feinté avec mes ennemis que de les attaqué frontalement. Bref vous avez compris je suis un gros fourbe et qui porte mal ses attribut masculin. Mais pour ma part mes jeux auront commencer quand je serais à la surface. A quoi m'attendre ? A une forêt luxuriante bourré de piège ? Un montagne ? Un donjon ? Une maison hantée ? Un cirque avec un ...un clown qui nous cours après ? Quoi que si il y a un clown je crois que je me pends ce machin ma toujours fais peur. Oui je suis volontaire au jeux de la faim et j'ai peur des clowns ? De toute façon tout le monde à peu de quelque chose. Moi comme tout le monde. Celui qui ne sait pas le reconnaitre est un idiot. Un pur imbécile.
Un bruit attire mon attention. Quelque chose d'intense qui gâche le doux et agréable silence dans lequel je m'étais habitué. Ma lampe est éteinte et mes bande fluo caché par de la terre sèche. Je suis invisible à la vue de n'importe qui vue que je suis immobile. Mais si quelqu'un est là je le verrais sans aucun doute. Et le plus étrange s'est que j'en suis sur c'est qu'il n'y a personne. J'aurais étais plus rassuré si quelqu'un était là car un fou qui est capable de revenir ici est idiot car il sait parfaitement que cette endroit grouille de carrière. Si je suis attaqué les autres le sauront de toute manière. Mais là quelque chose d'étrange règne. Quelque chose d'anormal. Je prends le risque d'allumé quelque seconde la lumière et observe.
J'avais raison strictement personne mais quelque chose de bien plus dangereux. Ce qui est le plus dangereux pour moi et ce que je ne vois pas car je suis incapable de le fuir ou même de le combattre si j'en avais envie. Mais je comprends en me levant d'un geste souple et silencieux tel un ninja mais quelque chose trompe mon équilibre. Le sifflement s'intensifie et je comprends. Un piège. Mon cœur loupe un battement. Je suis juste incapable de me défendre face à ça. Non... paniqué serait le meilleur moyen. Il faut que je me tire. Et vite. Quand j'essaye de faire un pat je suis pris d'un énorme vertige et je manque de tombe me rattrapant calmement sur la parois rocheuse et légèrement piquante des souterrains. Il faut que je parte. J'éteins ma lumière et essaye de canalisé au mieux ma respiration. Un bruit de sifflement ça doit être un gaz. Je n'ai aucun masque à gaz et je suis nul quand il s'agit de se retenir ma respiration. Mais vous savez très chère juge. L'humain descend du singe ? Et le singe est un animal n'est-ce pas ? Je vous en rappel que j'ai donc un instinct de survit tout aussi. Une poussé d'adrénaline. Savez-vous quand un accident se produit et même avec un jambe cassé pendant l'espace de quelque minute la personne ne sent aucun douleur mais cinq minutes après elle s'écroule de douleur. Le phénomène se reproduit en moi. Plus je suis ici et plus je risque d'y rester. De mes effort je me soulève et pars m'écroulant plus loin dans des souterrains plus étroits. Je suis tout sauf discret mais je suis hors périmètre des gaz et pour temps je respire comme un bœuf j'en ai prit pour moi là. Je dois me reposer et attendre que j'aille mieux. De toute façon je suis incapable de me levé sans avoir l'impression que tout tourne. accroché j'essaye de me calmer et j'attends ainsi une bonne heure toujours mon burin dans ma poche petit à petit reprenant mes esprits je préfère attendre encore un peu pour me rendre à la corne d'abondance.
Le calme simple après une bonne heure assis. Je me lève et content de constaté que mes vertiges ne sont plus. Mais je n'en reste pas moins légèrement affaiblie et qu'il me faudra plus de repos une foie rentrée au camp. Mais quand je tente de me levé des effet secondaire arrive au galop. Des mots de tête je m'écroule de nouveau. Honnêtement j'aurais préféré avoir un chien galleux à mes trousses que ce gaz qui me rends inoffensif à n'importe quel tribut qui se pointe. Je ne sais pas combien de temps je suis resté dans cette étroite paroisse plié en deux en plus de temps en temps j'avais quelque hallucination je revoyais le visage de me frère un de spires moment de ma vie. Je l'avais aperçue quand j'arrivais quelque fois à ouvrir les yeux au coin de la paroisse avec ses yeux émeraude. J'e tremblais. Mais heureusement mes hallucination se calme. mais dès que je reviens sur le camp le sifflement s'est tut et les autres ne sont pas rentrés au camp et je suis seul. Les couloirs étant asse grand une grande partie de l'air du gaz doit s'être rependue et à moitié dissipé dans les autres galeries. Mais rien n'a bougé. Mon sac pour mon départ de ce soir et encore là et le reste na pas bougé d'un centimètre. Les autres doivent être en chasse. Nous devons être en fin d'après midi. Je m'écroule dans un coin de la caverne et je bois plusieurs gorgé d'eau et me permet même d'en verser quelque goute sr mon front pour m'apaiser. Je soupire et calle ma tête contre la parois froide de la caverne. Rien de mieux que le fraie pour les mots de tête ma mère me disait. Ma mère... ma mère...tout ses gens me manque. Un coup dur au moral à passé se présente sur moi. Je ne suis pas du genre à pleuré et aucun signe de tristesse ne s'affiche sur moi. Je me lève et me dirige vers le sac de médicament que j'avais fais lors du triage et prends un flacon d'antidouleur et en boit une gorgé. J'en ai déjà pris trois pour mon sac de ce soir. Mais vus que seul moi et Artémis qui était concentré sur sa tache nous nous occupions des sacs personnes ne s'en est aperçue. Je repars m'asseoir avec mes armes et mon flacon bien fermé dans ma poche au cas ou il faudrait que j'en reprenne. Les autres ne devrait pas tarder à revenir.