L'aube du troisième jour. Enfin je suppose maintenant que je suis dehors. Mais ma journée avait commencer sous mes pieds. Exactement là où je suis en train de frapper de rage depuis dix bonnes minutes ... Bref, je fut réveiller par un bruit sourd. Un léger tremblement. Quelques uns de mes instincts me travaillait. J'étais seul à la Corne. Chacun de son coté, notre alliance n'était véridique que pour peu de monde. un malaise s'empara de moi. Le gout de cendre dans la bouche ... Pourquoi aurai-je manger de la terre dans mon sommeil ? Une seule solution, elle est tombé dans ma bouche ouvertement baveuse durant la nuit. Après un mollard des plus charmant, je me met à observer autour de moi. Quelques signes avant coureur d'une catastrophe imminente. Ce qui me met la puce à l'oreille ? Non pas les petits morceau de plafond qui tombe les uns après les autres, pas les bruits sourds dans les murs. Non. Ce qui me met la véritable angoisse c'est voir la faune locale décamper à toute allure.

Une véritable baffe. Je dois fuir au plus vite. Je ne sais pas ce qui se passe mais ça ne sens vraiment pas bon. Je prend mon sac, je termine ma bouteille d'eau avant de me mettre au pas de course la route vers la corne. Quand j'arrive c'est l'effarement. Dépouillée. La corne est dépouillé. Pourtant mon piege est bel et bien en place. Bordel ! J'attrape un second sac restant là. Je le remplis de tout ce que je peux. Ils sont tout de même lourd et ralentissent ma fuite. Au loin, j'entends d’abord un craquement, j'y aurai à peine prêté attention s'il n'avait pas été suivis d'un long bruit de chute. Comme si des centaines d'objets rencontrait le sol à une allure impressionnant. Je retiens mon souffle quelques secondes. C'est parti. Le bruit se poursuit, il arrive, me poursuit, la mort arrive.

Ainsi commence ma course contre la mort. L'adrénaline envahi mes veines, le son de mon cœur comme une musique me donnant du courage, j'observe le monde autour de moi en train de s’effondrer. J'esquive tant bien que mal le sol se dérobant sous mes pieds à quelques endroit, où le plafond désirant apparemment ardemment faire la connaissance de mon crane. La poussière sature vite l'air, j'esquive de nouveau, j'ai du mal à respirer. Je tourne au hasard dans ce labyrinthite en train de se refermer sur moi. Un cul de sac, je me retourne et bloque quelques second, je vois une trace de sang sec. Juste assez de temps pour ne pas me prendre le pent de mur sur le bord de la figure. Je dégage rapidement le passage et m'engouffre dans une petite galerie qui me donne l'impression que je vais étouffer. Je n'ai jamais été claustrophobe, mais maintenant, je crois que c'est bon. Mon esprit s'embrouille. Je tire, je pousse, je cours, je rampe, je ne sais où je vais, mais voilà une lumière qui se met à briller. Un tribut ? Sa Lampe fonctionne encore ? Art ? Non, le soleil. La surface ! Je m'engouffre rapidement dans un nuage de fumée. Je continu de courir. D'un coup, le boom final, dans le sable brulant, le sol s'affaisse d'un coup, je perd l'équilibre ... J'ai mal partout, mais je suis vivant.