La moisson première partie

Cela fait à présent une semaine. Une semaine sans répit sans une seule nuit de sommeil que je ne suis pas partis de la salle d’entraînement. J’y ai passé ses derniers temps plus de dix-huit heures par jours. Pour moi le compte à rebours a déjà commencé. Le temps tourne et ne s’arrête jamais. Il ne nous attend jamais. C’est pour cela que je passe ma vie dans cette salle. Entre combat lecture de livre sur les techniques de combats et de stratégies.
Les mains bandées, je serre les poings, je sais déjà comment donner un coup à mon adversaire pour qu’il tombe a mes genoux et me supplier de l’épargné en moins de quelque seconde. Mais je serais dans les hunger games. Un simple coup bien placé ne suffira pas à satisfaire le publique. Non du sang et seulement le sang pour le sang pourra satisfaire mon publique. Mon futur public.
D’un geste rapide et d’une violence inouïe mais remplit de technique et de réflexion je donne un coup à l’énorme sac de box devant moi. Il y a un an je me serais brisé les doigts sur se sac là. Le plus gros de toute la salle et seulement les meilleurs arrivent à le déplacés de quelque centimètres. Mais à présent avec hargne et confiance en moi je suis devenu un des meilleurs. Le meilleur. Mais ça personne ne le savais. Personne ne doit le savoir.
L’impact que se produisis sur le sac fut unique comme à chaque fois, il vola contre le plafond le choc de ce coup se fit entendre dans toute la salle et résonna. Quand le sac revint vers moi il pesait le double de son poids grâce à la vitesse. Si je le laissé arrivé sur moi il m’aurait probablement explosé le nez voir pire. Mais toujours envahit d’une hargne et d’une rage sans nom je donné un coup de genoux dedans se qui propulsa une fois de plus le sac dans les airs. Le moment le plus compliqué arrivé. Arrêté cette énorme masse pouvait se relevé bien plus compliqué que se que les gens peuvent croire. Je dois pouvoir l’arrêté. Comme n’importe qu’elle coup. Auparavant je me suis beaucoup entraîné à arrêter des coups et les enchaînés avec ma sœur et mes parents, mes coachs. Dernièrement leurs niveaux sont devenus trop bas pour moi et j’arrête trop facilement leurs coups. Je dois donc m’entrainé à arrêter quelque chose de plus gros. De beaucoup plus gros. Et à vrai dire je n’ai jamais vus personne réussir à arrêter ce gros sac de box tout simplement car personne n’arrive à le faire bouger comme moi. Mais je dois y arrivé. Etre le meilleur pour gagner.
Je ferme les yeux inspire profondément esquive en premier temps le sac puis j’ouvre les yeux je tends les bras les mains à plat et arrête dans un grand calme le sac, mes muscles gonflés comme jamais et les veines ressortant sur ma peau.
Transpirant je relâche doucement mes muscle et saisis d’un geste rapide une serviette apporter par ma sœur poser sur une chaise derrière moi. J’essuie la sueur sous mon front devant un de mes coachs. Ce soir, ce dernier soir avant la moisson c’est ma sœur qui me coach. Elle me regarde bouche baie puis se lève et m’apporte une bouteille d’eau. Elle semble hésiter avant de prendre la parole puis fini par dire d’une vois hésitante :
-Kihara tu devrais peut-être ….
Mais je ne lui laisse pas le temps de terminé. Je sais déjà qu’il ne me reste plus que cinq heures avant la moisson. Je sais aussi qu’elle veut que je me repose. Mais je veux encore m’entraîné pour encore amélioré mes performance.
-Ce soir je ne dormirais pas.
-Mais maman m’a fait promettre de réussir à te faire te coucher ! Demain c’est moisson, il faut que tu te repose.
-Je n’ai pas le temps, je me déplaçais vers le stand de tire de couteau et je saisissais d’une main habille une des lame qui se trouvait devant moi et la fessait danser dans mes mains, ce soir je ne dormirais pas.
-Mais ça fait une semaine que tu n’as pas quitté la salle d’entraînement depuis une semaine. Un bon tribut doit savoir se reposer.
-Comment peux-tu savoir se qu’est d’être un bon tribut ? Sur ces paroles je lançais ma lame dans une des cibles en mouvement, cette dernière atterrit en pleins milieux de la cible. Ce genre de chose qui peut paraître être un exploit pour certains est devenu banale pour moi. Je n’avais même pas à regardé ma cible pour que ma lame atterrisse en pleins milieux de cette dernière. Oui les lames, la vitesse, la force et la strategie seront ma force dans cette quinzième édition de Hunger Games.
-J-je… bredouilla-t-elle
Je savais bien qu’elle était inquiète pour moi. Mais j’étais bien trop stressé et impatient pour quitter la salle d’entraîné. Je la gratifie d’un sourire rassurent que je savais si bien faire puis je prenais une autre lame et continuais à me défouler sur mes cible n’en manquant aucune. Je ne savais pas combien de temps ni même combien de lame j’avais lancé je sais juste que plus je fessais ca plus j’avais l’impression de perdre mon temps. Je jetais un coup d’œil sur l’horloge. Il ne resté plus que deux heures avant le tirage au sort. Ma sœur s’était endormie sur le banc qui se trouve devant le stand de tire.
Je peux voir le soleil filtré par la fenêtre. Encore une nuit où je n’avais pas fermer l’œil. Pourtant je ne me sens pas fatigué. J’ai l’impression d’avoir dormis une nuit entière. Probablement l’adrénaline qui court dans mes veines en ce moment même. Mais avant de me retrouvé enfermer les jeux je veux pouvoir sentir un dernier moment de liberté. Je me décide enfin à pousser la grosse porte d’entrée de la salle d’entraînement et enfile une paire de basket. Habillé d’un simple jogging on peut admirer mes abdos qui avaient doublé en volume ces dernier temps. Comme quoi mes efforts paye.
Et comme un enfant de dix ans je me lance dans un long sprint j’avais aussi doublé ma vitesse. En parcours personne n’allé aussi vite que moi je dépassé toujours tout le monde quand il s’agissait de vitesse. Mes jambes m’avait guidés près d’une grillage qui me séparé de la forêt près de mon lieu de lecture préféré. Pas le moins du monde épuisé je m’arrête près de mon siège naturel : le tronc du sol pleureur. Je glisse une main dans un des creux du tronc et en sort un des recueilles de poèmes. Je le cache toujours ici pour pouvoir m’évadé. Je décide donc de prendre quelque minute pour lire un ou deux poème. Mais le temps lui ne m’attends pas. Ils ne restent plus que trente minutes avant le tirage au sort. Je décide donc de rentré chez moi.
Mes servants me regardent choqués et moi j’ai l’impression de ne plus être venu dans cet endroit depuis des années alors que se ne fait qu’une semaine. Est-ce que se sera comme ça quand j’aurais gagné les hunger games ? Aurais-je autant l’impression d’être un étranger alors que je suis chez moi ? Qui sait…
Mes parents m’accueillent chaleureusement avec ma sœur, elle a probablement du rentré entre temps. Mais aucun mots n’est échangé. Ils savent que j’ai besoin de calme. Je vais prendre une douche et profite de se dernier moment de détente avant quelque temps. Je monte dans ma chambre pour me préparer. Je rentre à peine dans ma tenue. J’ai encore du prendre en muscle. Je glisse une lame dans mon boxer, personne n’ira fouiller ici .Puis je me fixe dans mon miroir. Je suis toujours le même. De taille moyenne musclé avec des cheveux blond que je dirais presque blanc une peau pâle sans défaut tel un mannequin et des yeux de glace que je tiens de ma mère. Peut-être que j’attirais des sponsors juste avec mon physique ? Je ne suis pas si moche que sa après tout. On me dit même charmant.
-Kihara c’est l’heure !
Le cris ma mère retentit dans toute la villa. Je descends lentement les marches d’escaliers. Tout le monde c’est mis sur son trente un. Une fois une paire de chaussures enfilées nous nous dirigeons vers la grande place. Tout le district et réuni. Et tout le monde marche vers la même direction.
Le stress monte lentement en moi quand mon père me gratifie d’une tape virile dans le dos puis un long câlin de ma mère et de ma sœur. Tout le monde sait que je vais me porter volontaire. Et je tuerais celui qui voudrait m’en empêcher. Je me glisse dans mon rang avec les gens de mon âge et je jette un coup d’œil à ma sœur qui me gratifie d’un sourire. Tout le monde est avec moi. En même temps je suis à présent bien réputé pour envoyer tout mon adversaire au tapis. Oui je vais aller au Hunger Games et je veux gagner pour mon frère et ça personne ne m’arrêtera. Personne.
L’hymne retentit mais elle ne sera jamais aussi forte que mon envie de vaincre, jamais.
Puisse le sors être favorable à mes futur énemie

Dernière édition par Kihara Souma le Dim 7 Oct - 13:18, édité 3 fois