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La vie d'un mentor

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MessageSujet: La vie d'un mentor La vie d'un mentor I_icon_minitimeMer 26 Déc - 16:19



Journal d'Hypolite Ward

* Identité : Hypolite Ward
* Date de naissance : 06/07
* District : 9
* Situation : Célibataire
* Job : Mentor/Céréalier
* Tribut sauvé : 0
* Âge : 28 ans





Voici ma présentation : https://the-hunger-games-rpg.frenchboard.com/t999-hypolite-ward-mentor-du-9-surnomme-l-insolite-close Voici ma fiche de lien : https://the-hunger-games-rpg.frenchboard.com/t1000-hypolite-ward-le-mentor-du-09

"Je suis l'insolite gagnant des premiers Hunger Games" se présentera-t-il.

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MessageSujet: Re: La vie d'un mentor La vie d'un mentor I_icon_minitimeMer 26 Déc - 17:41



Un vestige du passé




  • J -1 avant la moisson

    Je glisse, je glisse vers un monde plus désireux de paix. Je voudrais pouvoir m’épanouir au seing d’un vaste biotope aux travers pacifiques, ils s’avéraient être lasse d’acerbité, l’âpre aspect de l’existence ne serait qu’une duperie facétieuse. Ce monde maître de mes songes serait le farouche opposé de celui dans lequel ma naissance ce fut. Une venue au monde dont un large éventail de personne glapissent lamentablement, ils sont tant à se méprendre sur ma personne… Des jugements lançés à l’aveugle sans prendre même la peine de me connaître. Comment suis-je véritablement ? Ma personne se résumerait-elle singulièrement à cette courte taille, à cette allure massive dénué d’élévation, détendue et enfin à ses fumerons trop petits ? Je n’ose y croire tant cela me paraît absurde dans un premier temps puis peu à peu voilà que l’idée s’appesantie en mon être. Il me semble même que cela est une accablante vérité, ma différence est mon principale fardeau. Un poids lours et pesant être ignoré de tous pourvu que je ne croise pas votre route sans cela mon nainisme derechef me heurtera de plein fouet à mes dépens vous rirez, à mes dépens vous glapirez vos infâmes calomnies… Un pondéreux soupire s’échappe à la volée d’entre mes lèvres pincées par un maux à la solution chimérique. Un maux ce terme ne s’illustre certainement pas comme « bon » dans cette situation mais le mot de fardeau insistant davantage sur ce poids ce préfére encore usé d’un mot éronné que d’appuyer sur une plaie béante que jours après jours je m’applique à estomper derrière un factice voile d’indifférence ou de froideur quand ce n’est pas ce coté taciturne tout juste feind. Mes paupières s’ouvrent adagio. Aujourd’hui ne semble nullement m’inspirer le travail en dépit de ce temps girond et posé. Un lumineux astre solaire se dresse en maître du royaume des cieux accompagné par quelques rares tâches duveteuses blanches que forment les nuages. Mon regard céruléen s’escape paisiblement sur cette ample étendue dorée que forme les champs appartenant au domaine des Ward. Demeurant assit contre la cime d’un épais pommier je me surprends à rêver une fois encore. Ma main se referme sur une faucille de taille moyenne que je soulève un geste que suit mon regard sans conviction notable. Les nombreux rayons de l’astre solaire vogue péniblement sur les aléas de cette lame qui fait sentir son ample âge de part de nombreuses entailles plus ou moins larges, plus ou moins profondes ou oblongues. Alors que je passe un index curieux sur l’apogée de la lame la voix accariâtre de mon père se fait ouïr. Cela en ferait pouffer grand nombre s’ils voyaient l’ample taille de mon père. Comme quoi on ne choisit pas sa famille … Phrase qui prend tout son sens lorsque l’on saigne s’apposer à la situation de mon père. Qu’elle ironie du sort pour cet homme en quête d’un fils empreint d’un séraphique parachèvement. La vie et ses méandres lui ont joués un sale tour à ce brave homme. « Hypolite ! Si tu ne fais rien tu n’as rien à faire ici ! Tu n’es pas naît dans une famille de feignant alors active toi ! » M’aboit-il de loin en agitant son index rageux et tenant de sa battoire une large pelle. J’acquiesse en silence puisque jusqu’à ce jour je n’ai oncques surprit une opposition suffisament viable aux prunelles atrabillaires de mon père pour qu’il la prenne en considération. Avec le temps j’en déduis simplement que son fort caractère obstruait bien trop amplement son objectivité et avaits pris l’habitude fâcheuse de n’opposer aucune résistance à ce paternel parfois acerbe voir même brutal dans ses propos. Je me dresse alors lasse sur mes deux jambes courtes et laisse choire avec nonchalance la faucille que je tenais. Voilà ma seule qualité valable aux yeux de mon père ma force. Je passe là-dessus et me dirige vélocement vers une large porte de bois blanc par endroit noirçit par l’humidité des hivers vigoureux et pluvieux que l’on a au district neuf. Un grincement retentit strident faisant sursauter ma mère assise à cette ample table de bois massif sculptée par endroit jouant avec ses doigts fins, éffilés. Je la perçois soucieuse comme elle est bien rarement, hostensiblement je l’interroge d’un regard appuyé dans lequel se dépeint une impression de contrariété. « Demain, c’est la moisson… Je ne sais pas ces jeux ne me disent rien qui aille. Un pré-sentiment. » J’hausse les épaules signifiant à la fois ma perplexité et mon indifférence. La moisson ? Les explications sont passées au journal officiel sous forme de bulletin spéciale et obligatoire stipulant qu’un garçon et une fille seront tirés au sort pour s’affronter en arène jusqu’à sa fin. Un seul survivant sortira de ce calvaire et les corps inanimés des vaincus vogueront dans des boîtes de sapin jusqu’à leurs districts respectif. Bien sûr qu’il y a de quoi s’inquiéter grandement quant à son propre sort mais dans le fond je me rassure par le simplet argument que nous sommes bien trop pour que je sois nominé. Le sort nous le dira demain dans l’immédiat je cherchais une quelconque occupation. Il fallait que je m’occupe l’esprit, il fallait que j’occupe mes mains pour faire fuir l’ennui ce venin insalubre. Je pense d’ailleurs que la cave satisfera cette quête de distraction, fruit de mes angoisses étant petit avec le temps elle moi avions pactisés. Ce lieux sombre à l’air saturé m’offrait moultes occupations quant à moi je la faisais sortir de l’isolement. Cela vous parraîtra huberlu mais ce chai, ce cellier porté en son seing une certaine protection. Peut-être le fait qu’elle soit sous terre ? Que j’y sois seul ? Je la considérais comme une sorte de refuse où moi seul régnait en maître, où je pouvais me laisser submerger par le jadis de mes ancêtres sans blâme. Je descend une série d’escalier grinçant puis mon index chute sur un interrupteur qui me laisse une traînée étrangement grisâtre. Je me frictionne les mains pour la faire disparaître puis m’avance hasardeux vers un monticule oublié particulièrement poussiéreux. Après quelques éternuments je peste inlassablement en prenant entre mes doigts un premier bibelot. Celui-ci est à mon père, il me le lisait alors que je n’avais que quelques années. Un livre qui m’est chère et qui si injustement se retrouve dans l’oublit. Une vague de nostalgie s’élève en moi alors que je repose l’ouvrage en écartant deux amples piles de bouquin que je connais d’hors et déjà. L’intéressement se portait davantage sur ce qu’il y avait après cela, que allais-je trouver ? Je sais que cette pièce sombre, humide regorge de souvenir, je sais que je vais trouver des merveilles, des trésors qui deviendront les miens puisqu’au yeux de tous ils ne sont plus que désigné par l’absence. C’est ainsi que je me retrouve à feuilleter à album de famille qui avant joncher fièrement dans le salon. Ma mère l’a enfouie ici suite au décès de son grand-oncle, allez savoir la raison de cet acte moi je préfère le clore pour mieux me plonger dans une caisse rongée par les années. Quelques mousses ont éluent domicile sur la surface rongée du bois vieillit et une odeure gatée ainsi que rance s’en échappe. J’ai d’abord un léger mouvement de recul puis une moue glotte. J’observe ce caisson en évalue le taux de bactérie puis me résoue à prendre du bout des doigts un épais livre à la couverture bordeaux. Je passe ma paume sur cet ouvrage qui me semble avoir prit l’eau puis l’ouvre avec un certain zêle. C’est en quelque sorte le patrimoine de ma famille alors bien entendu chaque vieillerie à toute mon intention. Je feuillette les premières pages jaûnies et délabrées, pour certaines ce n’est même plus des pages entières c’est davantage des lambeaux résiduels de papier. Mes yeux défillent le long de la page numérotée 876. Je suis confronté à .. à un problème, un soucis particulièrement porteur d’offense. Aussi insolite cela soit-il, je semblais avoir perdu le don de la lecture. Sur le coup ahuris puis véxé pour finir désemparé je m’obstine alors à faire la rédaction répétée de ces phrases s’enchaînant. Il n’y avait pas à tortiller là-dessus ce n’était pas ma langue. Je demeure abasourdi et perplexe alors que je passe à d’autres pages. Au fil de ces dernières j’apperçois des images, une plante que je n’ai oncques aperçut de ma propre vie, une bestiole étrange croisement subtile entre un ample chat et des crocs étonnament long et ressortis répondant à l’écriture suivante : « tigre à dent de sabre ». Arrivé à un certain nombre de page un intercalaire rose est situé et cette fois-ci ce ne sont plus des séries de ce que j’ai déduis être des définitions et illustrations mais des faciès d’hommes ou de femmes dont quelques noms me sont familier à l’ouïe puisqu’ils portent ceux de connaissances mais si oncques ces braves devaient être d’illustre figure emblématique du passé je n’en connaissais absolument aucune. Je découvris ainsi Benjamin Frankiln, Charles Baudelaire, James Bond est bien d’autre qui s’avéraient être de parfait inconnu. Je m’échinais à vouloir conprendre ce segrenue dialecte qui m’étais étrangé mais rien n’y faisait. J’y ai passé une bonne heure sans me mentir et lorsque je relève la tête j’apperçois une date au début de l’ouvrage. 2011-2012 avec une écriture « Larousse ». Je présume que ces chiffres s’avèrent être indicateur de temps ce qui me fis dans un premier temps m’interroger sur l’âge de ce bibelot qui je crois est un dictionnaire ou peut-être une encyclopédie ainsi qu’en dépit de ses nombreuses pages illisibles, résiduelles ou sans écriture dût au temps n’est finalement pas si mal conservé. Néanmoins le plus palpitant fut de s’imaginer l’Histoire de ces noms que j’ai crû lire de façon satisfaisante. James Bond était peut-être un illustre membre du district neuf, un paysan ou un maire ? Enfin … peut-être n’y avait-il point de district ? Peut-être y avait-il même d’autre terre que Panem ? Un monde rêvé, mon monde rêvé ? Il y a bien peu de chance. Cela dit voilà qui m’ouvra d’autres horizons auxquelles songer. Refermant l’ouvrage délabré avec minutie je me promettais de revenir m’en faire une pseudo-lecture après la moisson de demain
.


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