Nous allons bientôt être présenté au capitole dans nos somptueuse tenue créé par notre génial styliste, c'est vrai que j'avais hâte de voir ce qu'elle nous avait concocté. Je me lève durement de mon lit ça devait être l'heure du petit déjeuner et j'avais une faim de loup(garou *sors*). Je passe sous la douche histoire de bien me réveiller et d’être tout frai pour cette longue journée, il fallait absolument que je parle à Prunille pour qu'elle me conseille pour l’interview avec Caius, que j'ai trouvé bien sympathique quand je l'ai rencontré alors qu'il traînait à l'étage, j'en ai déduis qu'il venait voir Prunille vue comme il était gêné que je le surprenne là. Ça me faisait du bien de voir que certaine personne trouve quelque chose de bien a quoi se rattacher dans ce monde, c'est vrai que ce n'était pas donné a tout le monde de trouver la bonne personne. Moi je n'ai jamais vraiment rencontré de fille qui me corresponde vraiment ou peut-être Léna la fille du district Sept qui m'avait en quelques sortes hypnotiser, mais le soucis s'est que je ne voulais pas vraiment m'avancer dans tout ça. Une histoire d'amour avec cette fille n'était évidement pas possible en vue de notre situation de tribut des Hunger Games. Mon destin était vraiment tragique, mais il fallait que je l'accepte et que je me donne à fond pour espérer remporter les jeux et rentrer chez moi et si je m'attache trop à Léna ou a Nawel tout ça partira en fumé donc je devais laisser mes sentiments de coté et me donner à fond dans tout ça. J'enfile un jogging et un sweet et sors de ma chambre me dirigeant tout droit vers la table remplis de pleins de bonne chose, j'entendis immédiatement la voix stridente de notre accompagnatrice qui me faisait sifflet les oreilles. Je m'installe à une chaise et pris un croissant et en mange une bouchée. Le silence régnait dans la salle, il fallait surement que je dise quelque chose je n'avais mêmes pas dis bonjours en arrivant tellement mon ventre gargouillait.

Bonjours, Prunille il faudrait qu'on parle de quelques points en vue de l'interview qui se prépare et j'ai rencontré le présentateur il est plutôt sympas in ?

Je lui fis un petit clin d'oeil pour lui montrer que je savais pour eux, mais je ne dirais rien de direct pouvant prouver qu'il se passait quelque chose entre eux. Ça serai vraiment mal de faire ça et de gâcher leur histoire, leur espoir dans la vie.

Sa réaction me fit vraiment bien rire intérieurement, mais je ne devais rien laisser paraître au risque qu'il se fasse dénoncer par l'accompagnatrice. Elle se ferait une joie de tout balancer au président pour se faire bien voir. C'est sur que je n'avais pas vraiment été prudent sur ce coup, mais c'est sortit tout seul et de toute façon l’accompagnatrice est tellement bête qu'elle ne s'en apercevra pas. J'aime comment elle essaye de cachée la surprise qu'elle à eu, elle ne pensait vraiment pas que j'aurai pu savoir ça, elle était un peu grillé, mais je ne dirais rien en présence de cette chose qui était assise à coté de nous. Elle avait le visage peinturluré de maquillage, c'était vraiment moche. Je finis mon croissant et regarde Prunille finir sa phrase.

Madame l'accompagnatrice, auriez-vous l'obligeance de nous laisser seul quelques minutes s'il vous plais ? Nous voudrions parler calmement de tout ça. Merci

Je ne savais pas que j'avais tout ces mots en moi, mais ça avait un bon effet elle commença a se lever, surtout quand j'ai insisté sur le merci de la fin de ma phrase. L'accompagnatrice sait très bien que je la méprisse et me fait bien comprendre qu'elle non plus ne peut pas me sentir. A peine avait-elle quitté la pièce que je soupira un bon coup.

Enfin seul, alors mademoiselle la cachottière, quelque chose à me dire pour ta défense ?

Ma première impression sur Prunille n'avait pas vraiment été la bonne, on pourrait dire que je l'enviais d’être riche et d'avoir gagné les Hunger Games, c'est vrai que d'un coté elle était tranquille et protégé, mais d'un autre coté elle vivra toujours avec toute ces images horrible des jeux. Notre relation n'a pas vraiment bien commencé non plu, j'étais encore sous le choc de la moisson et du fait que je m'étais porté volontaire à la place d'Eron. Je ne regretterai jamais ce geste que j'ai fais pour lui sauver la vie. Je ne me serai jamais pardonné de l'avoir laisser partir sans intervenir. Je sera le collier qu'Eron m'a donné avant que je n'entre dans le train, fermement avec ma main. J’espère qu'ils me laisseront le prendre dans l’arène ça sera mon port-bonheur. Je sortis de mes pensées et retourna avec Prunille.

Je serais muet comme une tombe.

Je lui fis un énorme sourire et elle enchaîna pour ne pas trop s'attarder sur le sujet. C'est sur qu'on ne se connait pas vraiment et que se confier à moi ne serait pas vraiment une valeur sur pour elle. Elle parla ensuite du fait qu'il fallait que je protége Nawel, c'est sur que sans moi elle avait vraiment moins de chance et je m'en voudrai si il lui arrivait quelque chose alors que je pouvais faire quelque chose. Donc maintenant je m'étais mis en tête que je devais la protéger.

Je vais faire ce que je peux Prunille, mais je ne promet pas de la faire gagner, ça va être dure, très dure, j'ai vue quelques tributs et ils sont plutôt bon, je vais m’entraîner le plus possible pendant ces quelques jours et on verra bien ce que ça donne.

Je lui fis un petit sourire, qui voulait tant en dire. Je ne savais pas vraiment ce que je valais en faite, c'est vrai que j'ai plutôt un corps d'athléte, mais je n'ai jamais vraiment pratiqué de sport de combat, d'accord je suis bon en lancé de hache, mais ça ne fait pas le tout. Je suis aussi pas mal habile et je sais ne faire aucun bruit quand je marche. Je surprenais souvent tout le monde par ma discrétion. Mon plus gros problème est que je ne réfléchis pas vraiment a ce que je fait en général, espérons que mon impulsivité m'aidera et me fera prendre les bonnes décisions.