Physique - Caractère

Une ombre s'arrêta devant mes yeux. Une jeune fille mince, blanche comme la neige, me regarde des es yeux verts et bridés. Ses cheveux font un contraste extraordinaire avec sa blancheur. Ils sont noirs et brillants. Noirs comme le chaos et lisses comme de l'eau de cristal. Elle n'est pas petite. Elle n'est pas grande. Elle doit avoir dans les 14 ans. Le fait qu'elle soit mince lui permet de
C'est une humaine. Une jeune fille si jeune, mais son regard nous dit déjà qu'elle a vu des chose qui ne sont pas de son age... Des yeux qui disent tellement de choses sur sa personne. Elle est craintive mais courageuse. Elle est naïve mais méfiante. Elle peut aimer mais elle peut détruire. Elle est un paradoxe. Elle est simple mais compliquée.
C'est une humaine. Elle a peur de l'inconnu mais elle se sent poussée a le découvrir. Elle est naïve mais elle sent quand quelqu'un n'est pas clair. Elle est timide mais elle ne laisse pas l'injustice le dominer. Elle aime les animaux et les plantes. Elle déteste le capitole et les bouchers.
C'est une humaine.                

Histoire

 Et je vois que ses yeux me racontent son histoire. Elle, elle ne s’en souvient pas. Elle le sait, mais cette histoire est cachée entre deux souvenirs heureux de son esprit.
Elle n’est pas née dans cette famille de soigneurs du district 10. Elle vient du district 10. Elle y est restée pendant 3 ans. Elle en est partie alors que ses géniteurs y sont restés. C’était une famille riche du district 11. Elle était née lors d’une nuit froide de novembre, sa mère biologique avait donnée vie a deux filles, mais l’une fut emportée par le froid, elle était trop faible. Himiko reçu sont nom ce jour la. Ses parents biologiques lui portèrent la plus grande attention possible que deux parents peuvent donner sur un enfant. Son grand frère aussi l’adorait. Elle passa ses deux premières années comme une princesse.
Sa famille vivait bien et était respectée dans le district 11. Excepté les pacificateurs, du moins certains. Ils n’aimaient pas les Jhun’Lee. Lors du premier mois de mars après ses trois ans, son frère, Yogi, tomba dans le fond du trou. Il rentrait des champs, il avait travaillé toute la journée. Il envisageait depuis maintenant plusieurs mois de fonder sa famille. Lui et sa petite amie croyaient en l’avenir. Une bonne chose. Il ne savait pas ce qui l’attendait devant le marché d’épice de l haute ville. Il avait traversé la route sans crainte, car peu de véhicules roulaient sur ces chemins de béton. Une bande de malfaiteurs tenaient sa future femme. Ils avaient posé une lame sur sa gorge au moindre mouvement c’était fini. Himiko regardait par la fenêtre a ce moment la. Leur maison étant en face du marché d’épices, elle avait une vue directe sur la scène. La bonde avait renverser du sang de porc sur le sol et s’étaient entaillés partout sur le corps. Ils poussèrent l’amie de Yogi au sol et jetèrent les couteaux aux pieds de Yogi lorsque les claquements se firent entendrent. Des pacificateurs étaient arrivés dans son dos. Il ne pouvait rien faire, il ne pouvait pas parler, de toute façon les pacificateurs avaient ete payés. La mise en scène n’avait été crée que pour terrifier les passants.
Yogi tua un Pacificateur. Il le roua de coup comme il l’avait vu faire avec sa petite amie. Il avait été emmené a l’Hôtel de Justice pour Tentative d’Homicide Volontaire et Prémédité.
Tout sa famille était maintenant menacée. Sa sœur.
C’est pour ça qu’il s’était enfui de la ville en emportant le cadavre de son amie qu’il alla enterrer dans la foret. Il avait prévenu ses parents, qui avaient payé un passeur pour sauver leur fille, Himiko. Elle fut alors adoptée par un vétérinaire du district 10. Elle garda son Prénom mais dut changer de nom.
Une larme avait coulée de son œil. La jeune fille m’avait racontée son histoire alors qu’elle-même ne s’en souvenait pas. Son ombre bougea et disparut. Elle vivait maintenant chez les O’Keane, une famille modeste de la branche soigneurs. Elle considérai son père adoptif et son nouveau petit frère comme sa famille. Elle était rien qu’une humaine après tout.