The Hunger Games RPG
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« I'm on a highway to hell ! » La folle, l'alcoolique et la débile.

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Sören E. Teniala
Sören E. Teniala
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MessageSujet: Re: « I'm on a highway to hell ! » La folle, l'alcoolique et la débile. « I'm on a highway to hell ! » La folle, l'alcoolique et la débile. - Page 2 I_icon_minitimeLun 23 Sep - 16:18



La liberté a parfois les mains rouges de sang.

Le froid me mord les joues tandis que je tombe progressivement dans le sommeil profond de la nuit. Après les événements de la journée, dormir me fera le plus grand bien, mais à quelle condition ? Celle de mourir de froid ? La veste prise sur le corps de William ne m'est d'aucun recours, le vent passe en dessous et me congèle. Le pire est sans aucun doute la froideur du sol sur lequel je suis allongé. Une idée me vient rapidement. Retourner au cratère où la chaleur était maître, mais finalement je renonce à cette entreprise synonyme de suicide. C'est la corne d'abondance et donc par définition le repère des carrières. Je me roule en boule et frotte mon torse comme je peux pour tenter de me réchauffer comme je peux. C'est ce que font les gens de mon district quand il neige, cela propage un minimum de chaleur dans tout le reste du corps, mais cela ne suffit malheureusement pas. Plus les minutes passent, plus la température diminue. Malgré mon aptitude à supporter le froid, je sais que je ne tiendrais pas longtemps à ce rythme là. A moi de me montrer malin et de déjouer le piège des juges. Seulement, je ne vois pas comment. Allumer un feu serait totalement idiot et serait égal à agiter des lampes torches dans le ciel en hurlant « Venez m'attraper, je suis là ! » Malgré l'envie fulgurante d'aller me battre contre les autres tributs avec mes coéquipières, je dois me contrôler, je ne dois pas foncer tête baissée au risque de perdre la vie à ce niveau-là. Je laisserai ma meilleure amie seule et je me suis promis de la garder en vie afin de la faire revenir de cette horreur que sont les Hunger Games.

« Dors bien Seirina... » Ma meilleure amie s'est endormie, je la comprends, étant enceinte, les émotions ont dues êtres énormes pour elle aujourd'hui. La pauvre... Je compatis également du coté de Katrosy, elle doit monter la garde toute seule, au risque de se faire prendre, désarmée. Seulement, je ne m'en fais pas, elle saura me réveiller pour que je vienne contre-attaquer rapidement. Puis d'un coup, un petit son se fait entendre, caractéristique des cadeaux des sponsors. Je ne bouge pas, je dois éviter un maximum de déplacement. J'entends Katrosy s'activer et la sent venir vers moi et me déposer une couverture qui se met à chauffer automatiquement à mon contact. Ce n'est pas grand chose, mais au moins je ne vais pas me congeler en dormant. Je ne sais pas qui a eu pitié de moi, mais je le remercie, je remercie cette personne du fond du cœur pour ne pas me laisser mourir. Je me roule dans la couverture et enfouis ma tête en dessous en laissant un petit espace pour que l'air puisse passer afin de ne pas m'étouffer. Il ne fait pas chaud, mais je ne claque plus des dents au moins. Un vrai bonheur. Je finis donc par fermer les paupières et me laisse envahir par les rêves dont je suis souvent affublé.

Le sang, le chaos règnent en maîtres. Je ne suis qu'une simple personne démunie face à une tyrannie sans nom, face à cette horreur qui me rend esclave d'une tierce autorité. Des coups de feu résonnent dans mes oreilles, des claquements de fouets fendent l'air et donnent une impression lugubre au lieu où je me trouve. Je ne sais pas exactement où je suis, mais je sais cependant que ce n'est pas un endroit sûr pour moi, ni pour ceux qui sont à mes côtés. Ces derniers ont un visage blanc, tout lisse, comment font-ils pour vivre ? Suis-je formé identiquement ? Que fais-je donc ici ? Ce serait-ce un cauchemar ? Non, j'en doute. Je porte ma main à ma cuisse et remarque que je suis armé d'un sabre, une lame fine et tellement aiguisée que si j'y posais mon doigt, je me le couperais immédiatement. Je comprends une chose. Je dois tuer, toujours et encore. Je finis par avancer discrètement vers la grande place de cet endroit sombre et sans intonation joyeuse. Que se passe-t-il donc ici ? Je hausse un sourcil rapidement en admirant la populace qui s'est amassée autour de la potence. Des dizaines de personnes sont fouettées en public. Les gens semblent apprécier ce spectacle, moi je ne vois que le sang qui gicle, je tique légèrement en remarquant que les individus châtiés ont un visage réel, un nez, une bouche, des yeux et tout ce qui va avec. Bon dieu. Je ne comprends rien du tout. Je m'approche au plus près, ce sont des gens que je ne connais pas, mais pourtant je ne peux m'empêcher d’éprouver de la peine, au fur et à mesure que les minutes passent, ils décèdent de leurs blessures ou sont achevés par balle en pleine tête. Je tique à chaque fois que l'un d'eux est exécuté. Cela va du simple enfant, au vieillard, qu'ont-ils bien pu faire pour mériter pareil sort ? Je finis par oser demander à quelqu'un, une personne dans les alentours. « Que se passe-t-il exactement ? » La personne me regarde avec effarement. Je sais que c'est ma fin, ce sont des gens comme moi qu'on cherche. Ceux avec un visage. Je saisis mon arme sans ménagement et lui enfonce dans le ventre en filant le plus rapidement possible. Personne ne m'a vu, m’éclipsant comme une ombre, je rabats mon écharpe contre ma bouche et mon nez et enfile ma capuche que je mets jusqu'à ce que l'on ne puisse plus distinguer mes yeux mais pour que je puisse continuer de voir. Est-ce simplement pour cela que l'on les tue ? Parce qu'ils sont différents ? Parce que ce sont des personnes avec un faciès dessiné ? Je suis totalement paumé dans ce rêve qui n'a finalement aucun sens... Le pire reste à venir, je le sais et je le sens.


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MessageSujet: Re: « I'm on a highway to hell ! » La folle, l'alcoolique et la débile. « I'm on a highway to hell ! » La folle, l'alcoolique et la débile. - Page 2 I_icon_minitimeMer 25 Sep - 19:39



La nuit glacial nous prend au tripes. A chaque centimètre que le soleil perd et que la lune gagne dans ce ciel immaculé le froid s'intensifie. La glace semble envahir le monde. Serrée dans une couverture chauffante aux cotés de Katrosy je laisse le sommeil m'emporter lentement. Est ce que je dors ? Est ce que je somnole ? Je pense que je suis plutôt dans la deuxième idée, les jambes recroquevillées contre mon torse, je pense, mon esprit divaguant vers mon district et vers le monde. Que se passe t il en cet instant, l'arène est elle retransmise la nuit au capitole dans l'hypothèse ou un mort viendrai à se faire sous la face lunaire ou verront ils ce genre de chose au matin lors d'une retransmission qui les laissera se lever à l'heure qu'ils veulent ?

De la buée se forme autour de mes lèvres, un léger grelottement me prend alors que je resserre la couverture sur moi et ma compagne de nuit. Katrosy. Que ressent elle en cet instant ? A t elle peur, pense t elle à son compagnon de district dont le visage à illuminer le ciel il y a peu ? Je ne saurai dire ce qui peu traverser l'esprit de la jeune blonde. Elle qui semble si démunie, si seule dans l’arène ou rien n'est présent pour l'aider à survivre si ce n'est nous, ses amis...quoique peu t on utiliser le mot ami entre nous ? J'aimerais dire que nous le somme, dans un monde autre nous le serions. Ici...nous sommes des coéquipière, des survivantes qui cherche en l'autre l'aide à survivre le plus longtemps possible mais quand il ne restera que quelques tributs...la séparation sera inéluctable et alors que se passera t il...devrais observer son visage illuminer le ciel ou devrais je voir son regard implorant disparaître sous les coups de folie d'Emrys...ou les miens ?

Un frisson me prend et je me blottis un peu plus contre elle, je n'ai pas envie qu'elle meure. Pas plus que je n'ai envie de voir mourir Emrys ou encore Ashe. Ashe, la tribut du district deux, une carrière...une ennemie...une amie. Je serre un peu plus fort la boite de métal tiède contre nos deux corps, les yeux entre ouvert. J'observe la neige refléter avec douceur les sourires lumineux de la lune, la brise légère balayer quelques volutes de poudreuse. La nuit semble calme et pourtant...qui sais ce qui se passe en cet instant dans l’arène ? Des tributs sont ils en train de se battre ? De mourir de froid dans le silence de l'obscurité, d'être pourchassez par une meute de tributs pour qui tout ceci n'est qu'un jeu comme un autre ?

Mes yeux se ferment avec lenteur, me laissant entrapercevoir l'horreur d'une fille aux larmes de sang, le corps déchiqueté, les entrailles dégoulinant de son abdomen, déchiquetés de partout, laissant couler les excréments sur ses pieds nu et son pantalon arraché de part et d'autres. L'intestin glisse de la poche abdominale et la jeune fille se prend les pieds dedans tombant lourdement dans un bruit immonde de chair qui se déchire, un objet glissant de sa cavité buccale dégoulinant de sang et d'autres choses à l'allure immonde. Son visage se tourne vers moi, je vois ses pupilles d'un bleu laiteux se tourner vers moi tandis qu'elle tente d'articuler une chose que sa bouche sans langue parviens difficilement à prononcer autrement que par un gémissement. Mais je compris rapidement qu'elle me poser cette même question que je me posais....pourquoi...

Je m’éveillais en sursaut contre Katrosy qui ne semblait pas avoir dormi de la nuit alors qu'Emrys venait nous chercher comme pour prendre la relève. J'avais abandonnais Katrosy...la pauvre avait du passer une nuit interminable. Ne me restez qu'a assurer avec Emrys pour que ma coéquipière puisse se reposer au mieux...


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Josh B. Drugs
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MessageSujet: Re: « I'm on a highway to hell ! » La folle, l'alcoolique et la débile. « I'm on a highway to hell ! » La folle, l'alcoolique et la débile. - Page 2 I_icon_minitimeDim 29 Sep - 19:14


    Alors que Seirina dors, ou somnole, je ne sais pas... Moi je me tiens réveillée, la couverture chauffe mais il ne fait pas pour autant chaud, la boîte en métal ramène plus de chaleur que je ne pensais. Emrys, dort, Seirina aussi je pense, je suis la seule réveillée, s'il arrive quoi que ce soit c'est moi qui doit gérer, il faut que je réveille Emrys, il à de quoi se battre, quoique Seirina aussi. Je ne pense pas pouvoir me battre avec un bout de bois, surtout si mon ennemi à une arme, là, j'ai presque aucune chance. N'empêche, tout ce que j'ai appris aux entraînements m'ont vraiment aider ! Le combat au corps à corps m'a fait découvrir des tactiques pour mettre à terre en moins de deux son partenaire, et le lancer de lances etc m'a également beaucoup aidé, je pourrais me fabriquer une lance avec un bout de bois, celui que j'ai maintenant est trop petit, mais qui sait ? Puis le pose de piège à humain, ce sont les trois ateliers qui m'ont le plus rapporter. Maintenant je sais faire des pièges à animaux mais aussi des pièges à humains. C'est plutôt bien pratique.

    ***

    Mes paupières sont lourdes, il faut que je reste éveillée, sinon on est plus que vulnérables. Toutes les dix minutes je vérifie tout autour de moi si il n'y à rien. Malgré que ce soit la nuit, la lune éclaire tellement fort que j'arrive à plutôt bien y voir. Mais j'ai peur, j'ai peur des mutations génétiques et des pièges des juges. J'ai peur des autres tributs, j'aime pas être la seule réveillée là comme ça... Pour me maintenir éveillée je me fout deux trois baffes, ça agit vraiment bien ! Temps en temps je me parle moi même, ça me réconforte et évite que je m'endormes. Malgré ça il arrive que deux trois fois je m'endors trois quatre minutes, mais je me réveille toujours.

    ***

    Au moins trois heures doivent déjà être passées. J'ai l'impression que toute les 5 minutes la température baisse d'un degré de plus. C'est frustrant, j'ai jamais eue très froid, même quand il neigeait au district 12 il ne faisait largement pas si froid. C'est affreux. E froid poignant. Là, il me tarde le lever du matin, peut-être que nous aurons un petit peu de soleil ? Non, il ne faut pas abuser non plus... Je me frotte les bras et maintiens mes jambes en permanence en mouvement. Cela réchauffe légerement le corps.

    ***

    Je repense aux douches du Capitole, cette eau si chaude, les mousses agréables et masseuse... Oh... La température de l'eau qui allait jusqu'à 38 degrés.. La machine qui sèche les cheveux en deux secondes, et la matière si douce des vêtements, la soie qui nous caresse la peau, les draps si frais mais qui nous maintienne bien au chaud. Et l'agréable brise de vent que l'on avait sur la terrasse avec la sublime vue des rues du capitole. Les repas avec du choix qu'on en pouvais plus, les soupes bien chaudes est les gros gâteaux en dessert. N'oublions pas les bonnes viennoiseries du matin... C'était tellement beau, tellement bon, tellement bien, c'était presque... parfait, si seulement ça aurait pu rester comme ça. Mais non, non, on à été envoyés dans cette arène où nous mangeons des lézards au goût de veau, où la température descend jusqu'à au moins 40 degrés. Et où on à le danger de se faire tuer à tout moments. On à des belles vies non ?

    ***

    « Tu à réussie ! Tu à attrapée ton premier écureuil ma fille ! » Je souris, je m'avance toute fière vers ma première proie, quand j'arrive devant j'hallucine... mais... Ce n'est pas.... Ce n'est pas un écureuil ? J'ai tuée... J'ai tue une fille ! Une fille rousse ! OH MON DIEU MAIS C'EST...

    ***

    Je me réveille en sursaut. Je me suis endormie, la première chose que je vérifie c'est si Seirina va bien. Oui, et Emrys ? Ok. J'ai fait un cauchemars, j'ai rêvée que j'ai tuée Seirina, c'est affreux, c'est cette putain d'Arène qui me fait ça. Fait chier ! Dire que nous allons nous séparer, et nous serons obliger de nous entre tuer, enfin, je ne me voit aucunement tuer Seirina et encore moins Emrys, mais peut-être bien que eux le ferons ? Ou alors ils se feront tuer par un autre tribut, et je verrais le visage des mes ex alliés s'afficher. Ah non, je me sentirais trop mal, mais c'est bien obligé pour que je gagne... Obligé. Je ne sais pas quelle heure il est, mais il serait peut-être temps de changer la garde, car je ne tiens vraiment plus debout, et mieux vaux que quelqu'un d'autre prenne la garde... D'ailleurs Emrys vient de se réveiller, il se dirige vers nous, Seirina se réveille aussi. Emrys me dis d'aller m'installer sous la couverture, je le remercie et leur souhaite bonne chance. Je vais donc m’installer sous la couette, allongée et enroulée dans la couette je sens un peu plus de chaleur en moi. Ça me fait vraiment du bien. Je lève les yeux au ciel, je me demande si c'est le vrai ciel, ou si ce n'est qu'un ciel artificiel, virtuel, comme presque tout dans cette Arène, ça serait bien qu'il y ait au moins une chose normale, réelle dans cet endroit sinistre... J'observe les étoiles, les fies, puis me perds dedans et finalement... M'endors.
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Sören E. Teniala
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MessageSujet: Re: « I'm on a highway to hell ! » La folle, l'alcoolique et la débile. « I'm on a highway to hell ! » La folle, l'alcoolique et la débile. - Page 2 I_icon_minitimeMar 1 Oct - 16:58

Musique :



La liberté a parfois les mains rouges de sang.

Les choses tournent rapidement au vinaigre, on ne voit que par le sang dans cet endroit déluré. Les gens semblent effrayés, voir un fou furieux avec un sabre dégoulinant de sang à la main, après tout, j'ai une idée en tête. Je souris derrière mon écharpe et m'avance en roulant des épaules. Les articulations bien chaudes, je me propulse délicatement sur la potence. Les autres exécuteurs ne semblent pas me remarquer, je me fige derrière une corde de pendaison libre. Je fais un nœud rapidement mais laisse un espace délibéré pour que la personne puisse se détacher. Je vais chercher un homme dans la vingtaine, je lui passe discrètement une arme à feu, un pistolet avec un chargeur entier qu'il cache sous sa chemise qui est rentrée dans son pantalon. Je lui indique que s'il veut sauver sa famille, il doit m'aider à tous les abattre, tous, toutes les personnes sans visages, le chaos pour le chaos. On soigne le mal par le mal après tout non ? Il me regarde et acquiesce rapidement. Il vient avec moi pour que je puisse l'attacher. Je donne un rapide coup sur la pédale qui le pend en l'air. Je m'approche de l'un de mes « collègue » et d'un coup circulaire d'épée, lui tranche la tête, elle tombe et roule au sol. Il n'en faut pas plus à mon allié pour me rejoindre et déclencher la pagaille. Je saute à terre et me profile dans la foule, à chaque coup donné, une personne tombe, encore et toujours. Je retire ma capuche et rigole à gorge déployée. La force armée arrive enfin, mais que me veulent-ils ? Ne savent-ils pas que je suis quasi invincible ? Je me jette dans la gueule du loup et tranche des membres, les mutile de façon ignoble, je les tue tous, j'entends encore les coups de feu caractéristiques de mon allié qui se bat. Des hurlements et des giclées de sang résonnent à mes oreilles. Quoi de mieux pour un affrontement pareil ? La liberté, voilà ce qui le pousse à se battre, pour ma part c'est juste mon désir incontrôlé du sang qui me donne cette envie d'attaquer à tout bout de champ.

J'entends du remue-ménage à côté de moi, il est temps pour moi de monter la garde après ce délicat rêve. Un sourire se fige sur mon visage en voyant que mes deux alliées sont transies et fatiguées, tant mieux, au moins elles dormiront et profiteront du sommeil qu'elles auront pour affronter les atrocités de l'arène demain. Je finis par me poster à leur place et me faufile dans le duvet chauffant qu'elles avaient. J'attrape mon fouet et le serre dans ma main, je préfère avoir mon arme à portée de main, mon set de couteaux toujours accroché sur mon poitrail. Les étoiles sont toujours visibles, il doit être environ deux heures du matin. J'ai donc dormi cinq heures, assez pour être en forme. J'adhère totalement à la chaleur de cette couverture, elle me réchauffe, pourtant mon visage est transi, malgré la capuche que j'ai rabattu sur ma tête.

Finalement, mes deux amies côtes à côtes semblent totalement endormies, parfait, je suis tout seul, je vais pouvoir me toucher. Non je plaisante, je ne ferais pas ce genre de choses avec le froid de l'arène. Puis devant les caméras ? Non merci. Je me retourne, je vois les pieds de Katrosy qui dépassent de la couverture, Seirina en a pris un bout, je lève les yeux au ciel et me lève rapidement. Je m’agenouille pour la tirer et remettre le duvet sur les pieds de la tribut du douze. Mais au dernier moment, je m'arrête, pris d'une envie démentielle. Un couteau descend sans faire de bruit dans ma main et d'un coup sec, je plante la lame dans le tendon d’Achille de Katrosy. Parfait elle ne pourra plus se réveiller, puis comme la douleur la réveille je rigole méchamment, elle va mourir. C'est comme ça, de toute manière dans l'arène soit on tue, soit on est tué. Autant me débarrasser d'un adversaire potentiel tout de suite. Je ne suis pas fou, je ne tente pas de faire pareil dans son autre talon, d'autant plus que le sang de la blonde tâche déjà le sol. Je me recule doucement en attrapant Seirina pour la tirer derrière moi. Hors de question que Katrosy fasse du mal à ma meilleure amie. Je regarde la petite tribut de dix-sept ans, elle semble désappointé. Mes pupilles sont noires, comme lors du bain de sang, je suis aveuglé par une seule chose, sa mort prochaine. Que va-t-elle faire ? Se lever ? Pas possible, du moins pas pour un combat, elle sera incapable de prendre des appuis stables avec son tendon d'Achille perforé vu qu'il soutient sa cheville. « Game over ma belle on dirait ! »


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Une main viens se poser sur nos épaules, la main forte d'un homme, d'Emrys, qui d'un sourire léger et d'un visage altier nous intimes d'aller dormir contre l'arbre pendant qu'il montera la garde. La garde. On ne peux pas vraiment dire que je l'ai monté depuis qu'il est parti dormir. J'ai passé bien plus de temps à dormir contre l'épaule de Katrosy qu'a surveiller les alentours. Ne reste qu'a espérer que la jeune fille ai monté la garde pour moi. Quoique nous n'avons pas été attaqué et sommes toujours en vie alors pourquoi s’inquiéter plus que de raison ?

La fatigue me tenaille autant que le froid ambiant. Et bien que je commence à m'habituer à cette sensation de froid omniprésente, je ne peux refuser d'aller m'allonger contre cet arbre aux allures douces afin d'y prendre de nouveau un repos bien mérité. Capuche sur la tete serrer autant que faire ce peu, couverture chauffante bien haute sur nos épaules, je sombre rapidement dans un sommeil quelque peu agité...

Mes yeux s'ouvrent sur le jour ambiant. Le froid est toujours présent mais le monde semble avoir changé. Laissant mon regard s'évader sur ce monde de brume, j'avance à petit pas appelant mes alliés d'un pas prudent, cherchant à les retrouver dans cet étrange endroits, Serais je perdue ? M'auraient ils abandonné là sans plus d'explication ou sont ils morts ? Non il ne peuvent être mort, cela n'est pas possible... Mes pas s'accélerent dans la neige qui crisse sous mes pas, je ne veux pas rester seule ici, je ne veux pas etre abandonnée, je ne veux pas...

« maman.... »

Un bruit se fait entendre, une voix ? Le souffle de la bise qui me fait croire en des choses qui n'existent pas ?

« .. .sauve moi... »

Je me retourne de surprise, cherchant des yeux le lieu d'ou viens cette requete, trouvant alors non loin la chambre de Léopold en laquelle trone un berceau d'enfant. Etonné de ce changement d'atmosphére, je remarque alors que ma tenue est celle d'une jeune fille normale et non pas la tenue d'une tribut en arene. D'un pas lent j'avance vers ce berceau d'ou les gazouillis monte...que vais je y trouver ? Que va t 'il se passer...

Une faucille tombe du berceau, m'aveuglant d'un reflet de lumiere sur sa lame je remarque alors l'ombre humaine d'une femme au manteau d'hiver épais, un couteau à la main...je pousse un hurlement tentant de courir pour empecher cette horreur, mais la piece semble s'éloigner. La jeune fille est de dos un blason orne son manteau mais je n'arrive à bien le discerner...

« ...elle veux me tuer... »


Mon reve s'acheve dans un sursaut alors que je me sens tirée avec force par une main puissante. Emrys viens de me tirer de mon sommeil,  la couverture accroché dans ma main libre l'entraine loin de l'arbre alors qu'ensommeillé mais pleine d'adrenaline je vois un flot de sang couler  de la jambe de Katrosy, que se passe t il ? L'arme d'Emrys est couverte de ce liquide rouge et d'une parole de sa part je comprend... il a décidé de tuer notre coéquipiére...la question est...pourquoi ? 




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La liberté a parfois les mains rouges de sang.

Dans les yeux de Katrosy, je perçois un mélange d'émotions assez intéressant. La peur, elle est palpable. La pauvre petite sait que j'ai déjà deux victimes à mon compteur, elle sait ce dont je suis capable et je le sens au plus profond de mon être, comme si elle se doutait que pour elle les choses allaient forcément mal se terminer, quoi qu'il puisse advenir, à moins que les juges n'interviennent. Ce dont je doute, ils veulent du spectacle, de quoi tenir les spectateurs, s'ils viennent intervenir lors d'un combat pour y mettre fin, je ne vois plus l'intérêt de ces stupides jeux dans lequel nous sommes plus ou moins conviés. Puis je vois l'étonnement, elle ne sait pas pourquoi je l'attaque. Le sais-je moi-même ? Je ne crois pas, au plus profond de moi, cela est simplement dicté par mon envie de sang qui se développe de plus en plus, comme si je me changeais en monstre sanguinaire. Mais je la comprends dans un sens, le manque d'alcool est présent en moi, même si je ne ressens pas le besoin de boire, mon organisme compense cela d'une autre manière. Quoi d'autre puis-je voir dans les iris chocolats de mon ancienne alliée ? La douleur ? Le coup est bien parti, elle se l'est prit de toute façon elle n'aurait pu le voir vu qu'elle dormait à poings fermés. Maintenant elle ne peut plus se tenir debout de façon normale, puis étant désarmée, je ne donne pas cher de sa peau. Je finis par sourire ironiquement en penchant la tête de côté, comme si tout cela m'amusait, ce qui est le cas en réalité. Je trouve cela drôle, l'idée de savoir que je détiens le pouvoir sur elle, qu'elle est à ma merci, je suis armé, je possède encore mes six couteaux ainsi que mon fouet. Ce dernier étant dans ma main droite et mon arme de jet dans la gauche. Une idée me vient immédiatement en tête. Je me recule doucement en forçant mon amie rousse à en faire autant. Je noue en même temps un de mes couteaux au bout de la lanière en cuir de mon fouet. Un regard démoniaque se lit dans mon visage.

Sait-elle le goût parfumé du sang ? Sait-elle la douleur de sentir sa vie quitter son corps ? Sait-elle ce que cela fait d'être la victime du tueur ? Sait-elle que son existence n'est rien par rapport à celle de ma meilleure amie ? Sait-elle qu'elle ne mérite pas même le titre de tribut dans cette arène ? Sait-elle le démon intérieur qui règne en moi et qui ne demande qu'à s'exprimer ? Sait-elle le désir ardent de liquide carmin qui se développe en mon organisme ? Sait-elle qu'à la fin elle va y rester ? Oui elle le sait, et elle ne peut rien y faire.

Je plie mon épaule de façon explicite, un couteau glisse dans ma manche et frôle ma peau sans l'entailler jusqu'à tomber dans ma main qui se referme d'un geste expert sur le manche. Je souris doucement en lui dévoilant mes dents blanches. Il est facile de voir, le reflet de la lune illuminant la neige rend l'endroit plutôt visible, malgré le fait qu'il fasse nuit. Je peux ainsi distinguer les moindres recoins de son corps sans pour autant en voir les précisions. Mon premier coup de fouet part, je vise sa gorge que je désire enserrer, si cela marche non seulement le coup lui fera mal mais vu la force avec laquelle j'ai frappé, elle gardera la douleur pendant quelques heures, puis le couteau aura fait des ravages sur sa jugulaire et sa trachée. Ceci n'est pas un simple geste, il vise à la tuer. D'un second geste je ramène la lanière vers moi et fouette le sol à ses côtés pour la faire bouger, une subite idée me vient, je vais l'effrayer, lui donner envie de me supplier de l'épargner. Je veux voir la désolation sur son visage, je veux voir se peindre la terreur au plus profond de ses prunelles. Je veux qu'elle fasse tout cela avant que je ne la tue sans aucune hésitation, car voilà ce qu'il arrivera, elle mourra finalement.

D'un coup je décide de rompre le silence. Je lâche mon arme au sol et me précipite sur la blonde en la plaquant au sol. Je l'imobilise en plaçant mes jambes sur ses bras et en m'asseyant de tout mon poids sur sa poitrine que j'écrase allégrement. Je prends une de mes lames comme je le fais d'habitude et la regarde avec un air machiavélique. Elle va mourrir maintenant, mais comment ? A moi de le décider.


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MessageSujet: Re: « I'm on a highway to hell ! » La folle, l'alcoolique et la débile. « I'm on a highway to hell ! » La folle, l'alcoolique et la débile. - Page 2 I_icon_minitimeDim 20 Oct - 16:42



Un étrange sentiment m'emplit face à la contemplation de ce spectacle face à moi. Tremblante d'un mélange de surprise et d'incompréhension j'observe la scène, médusée, le regard écarquillé sur les gestes de mon ami de longue date, sur ce garçon qui dans le passé était aussi doux et gentil qu'un agneau et semblait n'avoir aujourd'hui d'autre joie que l'alcool, le sexe et maintenant le meurtre. Serrant en mes mains la couverture qu'un sponsor à eu la délicatesse de me faire parvenir je suis comme hypnotisée par ce flot de sang qui colore la neige d'un carmin magnifique dans les cris de douleur, de frayeur et de surprise de celle qui fut notre alliée.

Comment Emrys avait il pue en arriver là, pourquoi l'avoir attaqué en cet instant précis ? N'étions nous pas alliés, ne devions nous pas nous entraider à vivre et survivre dans cette hostile arène tandis que tant d'autre tenterais de nous tuer ? Et en cette première nuit glacée, déjà, il rompt l'alliance, crachant sur sa parole et sur son honneur pour répondre à ce besoin de sang qui hurle en lui. Mes yeux s'écarquille de plus en plus, la peur prenant place sur mon visage quant on me force à reculer. Veut il l'abandonnée ici, blessée au talon afin que l'on puisse fuir et qu'elle retarde de possibles poursuivant ? Non...je le lis en son regard, il veux la faire souffrir, il aime la douleur et la mort, cette tribut du quatre n'était qu'un début pour lui il perd la raison, il...

« Maman...elle veut me tuer... »

Mon sang se fige...cette voix...d’où viens cette voix... M’enlaçant moi même en mes bras, je me sent grelotter, je cherche à comprendre ce qui se passe face à moi...en moi...et je n'arrive à rien, j’entends simplement les hurlements étouffés de Katrosy par le fouet de cuir d'Emrys, le sang glissant de sa gorge alors que celle ci présente une légère entaille dû à un couteau et cette voix, cette voix qui me hurle en mon sein qu'elle veux tuer, qu'elle a tenté de tuer, elle veux...elle veux...

Le tremblements s'intensifie, un rire gutturale m'assaille, semblant surprendre autant Emrys que Katro dont les pleurs s'intensifient, ma main viens à se saisir du pommeau de la faucille, un reflet de lune se reflétant dans l'acier, me fais sourire un peu plus, alors que j'avance d'un pas quelque peu...cadencé, tel un être mécanique...

« Mon...bébé....maman va.......te proteger... »

un ricanement mauvais vint à m'emplir de nouveau alors que d'un geste ma faucille s’éleva dans les airs sous le cris strident d'une jeune fille suivi du son de la lame tranchant dans le mou tel un citron que l'on coupe. C'était un bruit agréable. De ceux que l'on entend dans les emissions culinaire du capitole. Il fallut pourtant quelques secondes pour comprendre ce qui s'était réellement passé. La faucille était profondément enfoncée de biais dans la visage de la jeune blonde, exactement comme un marque pages, du haut du front jusqu'à la bouche ouverte. L'oeil droit, tranché en deux portions laissait échapper une matière visqueuse accompagnée d'un peu de sang. La lame jetait des reflets blafards à l'intérieur de la bouche.
Un rire nerveux continuait de me secouer, les yeux comme fous, ce rire se transformant rapidement en pleurs alors que mon impression empirait, quand le cadavre de Katrosy se mit à ruisseler le long de la faucille. Je poussai un cri rauque et ôtais précipitamment le bras, le cadavre restant là, inerte, levant un visage figé dans une mort atroce devant la lune blême.

Je haletait, pantelante. Un hoquet nauséux souleva ma poitrine. Pourtant, ce n'était pas le visage cauchemardesque de Katrosy, fendu en deux qui m'ecoeurait. Mon esprit était occupé entièrement par la pensée que je venais de tuer de sang froid une fille. Quelqu'un qui, de surcroit, était encore une de mes alliées il y a quelques heures. La nausée continuait de monter, mais je la refoulée, les larmes coulant sur les joues alors que je lancer un regard affolé sur Emrys...

« C'est sa faute...elle...voulait tuer mon bébé...il me l'as dit ! »


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« I'm on a highway to hell ! » La folle, l'alcoolique et la débile. - Page 2 283472Beautyingoodbye
"Maybe, there is beauty in goodbye..."

Musique au choix :

Les douleurs sont les pires choses de la vie, il y à plusieurs sortes de douleurs, celles qui sont physiques, et celles qui sont psychologiques. Malgré que les douleurs physiques sont vraiment affreuses, celles psychologiques sont trois fois pire, les douleurs psychologiques ne s'effacent jamais, on les à pour toujours en notre mémoire, c'est une chose qui ne s'efface pas. Alors que une plaie, un os cassé, une entorse, tout ça, ça s'efface, les cicatrices disparaissent, les os ce reconstruisent, tout se soigne, cependant, ça fait mal, sur le coup, ça fait vraiment mal, de temps en temps ça fait tellement mal que.. .Que on ne sent plus rien, on à cette sensation de perdre toute contrôle sur nous même, on ne veux plus rien faire, ce n'est même plus qu'on à mal, c'est juste que on ne se sent plus. On veux plus rien faire, on à juste envie d'en finir, avec cette blessure, avec cette chose, en fait, tout ce lie, quand on se fait mal physiquement, ça joue sur le cerveau et sur le moral, c'est vrai, quand on se casse un os, il y à une histoire derrière cela, et l'histoire on ne l'oublie pas, et la douleur non plus, alors, une douleur psychologiques ou physiques c'est presque pareil, ça reviens au même on est blessé de toute façon, et on ne l'oublie pas de toute façon. En parlant de douleurs, j'en ai une qui me prends d'un coup dans mon talon. Mes yeux s'ouvrent d'un coup, que ce passe-t-il, quelle est cette douleur ? Je me relève et la première chose que j'aperçois me laisse incompréhensible... Je veux dire, Emrys vient de me planter un couteau dans le talon d’Achille ! MAIS IL EST FOU ? Non mais genre  vraiment fou ? Là, la douleur se repends dans tout mon pieds, je serre les dents, ça tue, c'est vraiment comme si on vous coupais les nerfs, c'est vraiment, vraiment, vraiment affreux. Mais le pire c'est qu'il en est tellement heureux qu'il à un immense sourire sur son visage, pourtant, il n'est pas comme d'habitude, ses pupilles si bleues sont plus pareilles, elles sont assombries, elles ne sont pas agréables à voir, il fait peur, à ce moment même il fait très peur. D'ailleurs il n'en fini pas avec ce coup et enchaîne de suite avec son fouet, je ne sais pas ce qu'il manipule il faut glisser un couteau et accroche au fouet ou je ne sais pas quoi je ne me concentre pas trop sur cela je suis trop pétrifiée pour réfléchir je ne sais m^me pas de quelle façon je vais pouvoir m'en sortir... En fait je crois que je vais pas m'en sortir il faut juste que j'attends je ne peux ni fuir ni attaquer ni... Enfin... Je ne peux rien faire ! Emrys lui souris, de toute ses dents blanches, fière de son acte, près à continuer, dans mon regard dois ce lire la peur mais au fond de moi je ressens une haine profonde... Il à donc l'intention de me tuer... Alors que je ne m'y attends pas, les lanières en cuir du fouet de ce jeune blond m'enlacent la gorge d'un coup sec, j'échappe un petit cri, une douleur se propage dans mon corps, j'en serre les dents, ça fait vraiment mal, mais pourquoi me veut-il tant de mal ? On dirait qu'il à l'intention de me faire souffrir, mais pourquoi ? Que lui ais-je fait... Je ne l'ai pas menacé si ?! JE L'AI AIDER PUTAIN ! JE LUI AI MIS, MOI LA COUVERTURE DESSUS ! J'AURAIS BIEN PU LA PRENDRE POUR MOI MAIS NON JE LUI AI MISE DESSUS CAR IL AVAIT FROID ! ET VOILÀ QUE MAINTENANT IL VA ME TUER ! PUTAIN C'EST UN GROS CONNARD EN FAIT ! UN CONNARD PUTAIN ! UN ENFOIRE !…... Il faut... Que je me calme.... Une crise de colère ne va rien arranger... Emrys enchaîne avec un coup de fouet juste à côté de moi, je sursaute, non, pas le fouet, ça fait trop mal, j'ai toujours la douleur affreuse à ma gorge et ça n'est pas du tout en train de se calmer... J'ai les larmes au yeux, cette scène me dégoûté, pourquoi Emrys me fait tout ça ? J'ai la haine contre lui, j'ai vraiment la haine, en attendant Serina ne bouge pas, elle semble perturbée par quelque chose... Quoi ? Je n'en sais rien, tout ce que je sais c'est qu'elle ne voulait pas me voir mourir, et voilà qu'elle voit son meilleur ami en train de me tuer.. Mais je me préoccupe trop d'elle,regardez mon état, j'ai la gorge qui me tue mon pied qui me lance un douleur abominable et une mort atroce à suivre... Emrys conte me faire souffrir, il veux du sang, il veux des cris, il veux de la pitié... D'un coup il me saute dessus et me coince sous son corps baraqué d'homme musclé de 18 ans... Je ne peux plus bouger, je suis bloquée, bloquée par ce connard. Il à une lame de couteau en main, que conte tu me faire ? Moi en tout cas je te cracherai à la gueule à chaque intervention de ton putain de couteau de MERDE ! Avant que Emrys puisse toucher à mon visage Serina à une réaction des plus étrange, elle tremble et ricane... C'est gentil, e rigoler, sachant que je vais mourir... Elle se dirige lentement vers moi, que compte-t-elle faire au juste ? Elle ne compte quand même pas …. Elle lève sa faucille... Avant que elle puisse me tuer, jeu un petit sourire et dis « Merci. ». Ce fut ma dernière parole.


***


Nouvelle musique au choix :



***


Je m'appelle Katrosy Odiair, je suis morte, aux Hunger Ggammes sans pouvoir dire quoi que ce soit à mes proches, la seule chose que j'ai dite c'est Merci, merci que la jeune rousse m'est tuée, au moins je n'ai pas souffert,je n'ai même pas sentis la mort. Je ne suis plus rien, mais j'étais la sœur à Minablue Odiair, la fille à James Odiair et à Lucile Odiair. J'ai passé 17 ans au district douze avec mes amis et ma famille, j'ai vécue dans la misère et la douleur, j'ai été tabassée par Chleo Sullivan, femme gagnante des Hunger Games, grâce à elle j'ai changer, j'ai combattue contre une autre fille du district 2. J'ai su faire ça grâce à Chleo, en fin de compte le fait que cette femme m'est tabassée n'étais pas si mauvais, depuis ce jour je n'étais même plus la même, j'ai vécue beaucoup d'expériences qui font que... Que je suis devenue la femme que j'étais. J'ai évolué, j'ai grandie, j'ai été prise aux Hunger Games, j'ai fait confiance à des personnes, et en fin de compte elles m'ont tuées. Ma vie était aussi banale qu'une personne aux cheveux bleus dans le capitole, pourtant des gens sont en train de pleurer ma mort, Mina' n'a plus de modèle auquel se rattacher, ma mère ne sait plus quoi faire. Comment vont-elles survivre ? Peut-être content-elle venir me rejoindre.... Je suis morte... Morte...



~~~

La mort n'est pas si mauvaise en fin de compte, c'est la chose que l'on redoute le plus dans la vie, mais en fin de copte c'est une sorte de délivrance, quand on meurt on perd ses proches, mais on retrouve ceux qu'on à perdus. On meurt, on disparaît de la population ? Non, il y aura toujours une personne qui se rappellera de nous... J'ai vécue ma vie telle que ça devait être, mon destin était de mourir dans cet endroit grâce aux mains de mon alliée, Serina Galways, celle qui à évitée que Emrys ne me fasse souffrir, tant mieux, il n'aura pas eue ce qu'il voulait, enfin si, je suis morte, mais pas de ses propres mains et je n'ai point souffert... J'ai envie de remercier toutes les personnes que j'ai croisées dans ma vie, de les remercier d'avoir pimenter ma vie, Cody, une personne qui m'a offert tant de choses... Kihara, ce garçon avec qui j'ai vécue un petit conte de fée qui fini mal, Chloé qui m'a aidé à avancer dans la vie sans que son action soit positive, et... Elie, la personne avec qui j'ai tout vécue, avec qui j'ai nourrie nos familles, ma confidente qui elle est morte aussi aux Hunger Games...La chose que je regrette profondément c'est que je n'ai pas accomplie ma promesse que j'ai tenue à ma petite sœur et à maman.. je devais tout essayer pour gagner, et je ne l'ai pas fait, je me suis laisser attaquer par Emrys.. J'ai échoué, j'ai échoué ma mission... J'ai tellement honte, que vont-elles penser de moi désormais je... Un visage apparaît, non, une silouhete, c'est un homme, il me tends la mains, je la saisie, une autre silhouette, c'est une femme mais c'est... C'est Elie... Je reconnais ces cheveux.. .Blonds, soyeux... Comme les mieux, la mort n'est pas si mauvaise en fait car... Je la retrouve, elle.. .Celle qui à illuminer mes journée... J'entends des paroles, elles me disent « Ta mère et Mina sont fières de toi, n'aies pas honte... Tu es avec nous maintenant mon amour. » Ce n'est pas Elie mais c'est... J'arrive à voir qui c'est, c'est.. Oh mon dieu... C'est bien lui, c'est bien mon parfait et extraordinaire... Papa.

~~~


Petit mot à tout lecteur ♥ :
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