Physique - Caractère

Joss Joseph Jori. Un homme brisé. La vie à détruit au fur et à mesure tout ce qu'il y avait de bon en lui. Joss est quelqu'un d'assez gentil de nature. Avenant, sociable, souriant taquin, drôle. Une personne des plus agréable à vivre. Un bon ami, un amant attentionné, une connaissance intéressante. Enfin ça c'était lui avant. Il est surement présent là quelque part sous cette carapace qu'il s'est forgé en si peu de temps.

Aujourd'hui Joss est un homme froid, qui n'a confiance en personne. Il ne parle que peu. Il écoute surtout. Et, certain dise qu'il ne vaut mieux pas le faire parler. Il faudrait sans doute le faire raquer une bonne fois pour revenir tel qu'il était. Mais c'est assez risquer de s'en prendre à quelqu'un qui n'a rien à perdre et qui est capable de vous tuer en moins de temps qu'il faut pour le dire.

Avec son fils, il ne sait pas vraiment comment si prendre. Il ne le connait pas, il ne sait pas comment s'y prendre avec un gamin de 8 ans qu'il n'a jamais connu alors qu'il est son père. Le gamin lui rappelle tellement sa mère. Et tellement lui lorsqu'il était jeune. Il se déteste pour sa, il déteste le fait d'avoir cet enfant, il déteste le fait de ne pas savoir l'aimer.

En parlant d'amour. Sa dernière femme morte alors qu'il en est encore amoureux l'a laissé dans un état déplorable sentimentalement. Il ne sait pas trop où il en ai. Il refuse d'aimer à nouveau. Une femme, un homme, son enfant, des amis. Il ne veut pas que de nouveau quelqu'un atteigne son cœur pour l'abandonner. Sa plus grande peur, aimer pour de nouveau être seul.

Physiquement, on ne remarque pas de changement sur Joss. Depuis son enfance, il entraine son corps par gout de la compétition. Autre fois aussi valable en amour qu'en sport. Maintenant, c'est la cruauté son dada .. Mais c'est une autre histoire. Bâtit comme un dieu, il est couvert de tatouage avec une profonde signification pour lui, autant que de tatouage "pour le fun". Il lui manque une grande partie de la jambe droite et il à une belle cicatrice au niveau de la trachée. Brun, cheveux court, sourire enjôleur, regard transparent ses émois, il est obligé de mettre des lunettes de repos fréquemment. Par coquetterie, il se laissera souvant pousser la barbe pendant un ou deux jours. La seule femme qu'il a vraiment aimé dans ce moment lui répétant sans cesse que ça adoucissait son visage.

Histoire

Est-ce que vous avez une idée de ce que ça fait à un homme quand on lui prend tout ce qu'il possède ? Il pète les plombs. Totalement. Ouvertement. Et personne n'est vraiment jamais étonné. Mon histoire, je vais vous la raconter. Je vous allez revivre avec moi. Cette douce descente aux enfers qui ont fait de moi ce que je suis aujourd'hui.

Né au Capitole dans les tendres bras de ma mère, j'ai passé une petite enfance sans histoire dans le luxe et l'abondance du cœur de la patrie. Ma mère, une rentière des plus banales, sortait du lot par sa beau naturelle et sans "trop" de chichi pour le Capitole. Mon père perpétuellement absent ne m’intéressais gère. Je passais mon temps devant la télévision, les potins sur les stars m’intéressaient déjà. Puis, l'école et les ennuis arrivèrent. Assez gringalet à l'époque, je n'avait pas beaucoup d'amis. Mes résultats étaient assez moyen, je m'ennuyais terriblement. Puis vinrent les cours de sport. Le goût de la compétition, le respect pour ceux qui gagne, je ne voulais plus faire partis des loosers.

Ma mère décida de me pousser dans cette voix et elle m'envoya chez mon père dans le district 13. Mon père était directeur de la section des pacificateurs du District du Graphite. Dès mon plus jeune âge, j'ai commencé un entrainement de pacificateurs. Ma soif de compétition était abreuver sans nul doute. Alors que j'étais à peine âgé de 7 ans, on m'apprit à me battre, à tuer, à donner ma vie pour le Capitole. Bien évidemment, mon père occupait qu'une place ridicule dans ma vie. Absent la plupart du temps, il n'était là que pour me tapoter la tête en me félicitant de mes bons résultats. Sur quoi je lui répondait que ce n'était que pour moi que je le faisais. Il me regardait avec un sourire fier et disparaissait de nouveau.

Puis comme tout à chacun un événement bouleversa ma vie. Les Jours Sombres. Au premier rang pour voir la rébellion, j'ai vu les massacres, de pacificateurs, de rebelles, de simples habitants. Tant de sang tant de morts. Il n'y avait rien de jouissif là dedans. Les pacificateurs se glorifiaient d'avoir massacrer par centaine des femmes et des enfants de rebelles. Quelle ne fut pas leur surprise quand les rebelles prirent leur revanche. Ils attaquèrent l'école.

Je me souviens de ce matin là. Réveillé en sursaut par un bruit d'explosion, je n'avais pris le temps que d'enfiler un pantalon de pyjama et j'avais couru dehors. Les rebelles étripaient un des gardes de l'entrée. Pétrifié par la peur, je me cacha dans une caisse en bois. Au travers les lattes, j'avais vu le massacre de mes camarades et du personnel enseignant. Dire que nous devions être évacuer vers le district 2 quelques heures plus tard. Puis, j'ai vu les rebelles creuser le sol, je les ai vu radio en main, enfant dans l'autre passé des faux messages de détresses. Ils tuèrent les derniers enfants et repartirent. Les secourent arrivèrent vite. Je sortais de ma cachette et couru vers mon père. Il fit de même. Mais ce n'est pas de simples tombe qu'avait creuser les rebelles. Un champs de mine. Les secours firent exploser l'installation. Je vie mon père partir, morceau par morceau dans les airs et retomber en une pluie de sang. Moi même l'explosion m'avait touché. Mon pied droit, puis mon tibia disparurent. Laissant place à une douleur incroyable. Avant même d'atteindre le sol, une nouvelle explosion, puis une nouvelle douleur au cou. Puis le noir total.

Je me suis réveiller que 4 mois et 12 jours plus tard. Puis voir ma jambe en miette et une horrible cicatrice sur mon cou. Mon père était mort. Ma mort l'avais suivis de chagrin quelques semaines après. Mon grand frère était mort également durant cette foutue rébellion. J'étais dans le district deux et j'y resta. D'abords pour ma rééducation, puis pour continuer mon entrainement de pacificateur. Bien que mon infirmité m'interdisait maintenant le terrain, je voulais faire carrière auprès du corps d'armée qui avait réussi à nous sauver de la folie des autres districts.

Le temps passa. Mais je n'avais pas arrêter le sport pour autant. Troquant les prothèses esthétiques contre des plus pratique, je me suis vite façonné un corps, puis l'ai modeler en me recouvrant de tatouages. Je commençais à m'attirer les envies féminines. Ma première fois, je l'ai vécu à 16 ans. Avec une fille du Capitole dont je me souviens pas du tout du nom. Puis je fut approcher par un photographe. Je fis rapidement quelques photo en tant que mannequin pour sous-vêtement, puis quelques photo artistique parfois nu. Je devins vite une coqueluche du Capitole malgré mes nombreuses missions de supervision dans les districts. Très vite, je rencontrais le président Stark, nous dévirent amis.

Puis quelques temps après mes 17 ans, je reçu une longue mission dans le district 7. J'y ai rencontrer une femme. Une femme que j'ai aimé. Une femme avec qui j’eus un fils, une femme dont je du taire l’existence faute de pouvoir encore l’emmener au Capitole. J'étais fou amoureux. On s'écrivait presque tout les jours. Je continuais ma vie, et elle la sienne mais, la passion qui nous animait nous liais sans interruption. Mon fils ? Je ne lui portait pas d’intérêt. Je ne connaissais qu'à peine son nom. Elle ne m'en parlait pas. Nous n'étions pas des parents, nous étions des amants.

Bien évidemment le bonheur ne dure pas. Quelques années plus tard, ce qui nous mène à il y a 8 mois. Ma belle, mon unique raison de vivre disparue entre mes doigt. De nouveau pris par la folie des districts. Une rébellion étouffer dans l’œuf dans le district 7, une rébellion qui avait été dénoncé par un voisin de ma belle. Une rébellion qui même matée avait des partisans vengeurs. Et le pire arriva. Ma colère et ma tristesse n'avaient d'égale que mon impuissance. Aucun moyen de me venger, pas plus que de faire justice. J'allais sombrer dans la folie. Je m'appretais à mettre fin à mes jours. Une perte minime pour ce monde. Mais le destin m'offrit une alternative. Le destin sous les traits du président Stark. Une lettre. Une lettre m'expliquant qu'il avait eu vent de ma situation et qu'il avait fait le nécéssaire. Comment-était-il au courant de mon plus précieux secret ? Aucune idée. Mais il m'offrir deux choses. La sécurité de mon fils en m'offrant une maison et un travail. Un Travail qui me donnait une nouvelle raison de vivre. La vengeance. Contre les districts. Je fut nommé Juge des Hunger Games. Et les enfants paieront de leur sang la faute de leur parent.