Physique - Caractère

Je suis quelqu'un d'assez débrouillard, quand j'ai des projets, soyez en certain, je vais trouver par n'importe quel moyen, une façon de les réaliser. J'ai beaucoup d'ambition, il me semble que ces deux qualificatifs viennent de pair, malgré que je suis assez ambivalent dans mes choix de vie. Je déteste les gens qui ne sont pas fiable, je le prend en général comme une attaque personnel. Je crois que chaque personne mérite le temps qu'il est sensé lui être attribué et que ces quelques minutes peuvent être vital ou fatal dans le monde dans lequel on vit.
Je suis farceur et charmeur. Je peux me vanter d'être de bonne compagnie, parce que j'ai du charisme et les gens aime ça. Je suis souvent au centre des fêtes, entourés de femmes suspendues au moindre de mes paroles. Je ne le fais pas délibérément, c'est simplement un don inné chez moi. C'est sans doute reposant. Quoique on pourrait me reprocher d'être assez imbu de moi même, il faut bien des défauts, si non ça pourrait faire peur au gens.
Quant à mes facultés relationnel, je peux dire que je ne suis pas le genre de personne qui entretiens des amitiés de longues dates. Je reste au près des gens le temps qu'il faut, mais sans plus. C'est fatigant de s'empêtrer de personnes superflus et ça me ralenti sur un plan personnel. Donc le secret pour me garder pendant longtemps dans votre réseau, c'est de ne pas nouer de liens trop profond. L'engagement ne fait donc pas partie de mes valeurs fondamental, à noter que l'amour n'en fait pas partie non plus.

Si vous voulez d'autres détailles superflu, je pourrais vous dire que je suis un grand amateur de café. Celui-si m'accompagne pratiquement à chacun de mes pas. J'adore me nourrir avec des plats cuisinés par les plus grands chefs. La musique « Indie rock » est celle que je préfère, surtout lorsque je suis en voiture. Je déteste au plus haut point le bruit du sèche cheveux, de la balayeuse et du robot culinaire. Il n'y a rien que je trouve plus insupportable au goût que les chips au cornichons et les plats surgelés.

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Mes cheveux sont bruns, leurs longueur suivent les envies de mes stylistes. Je porte la barbe et la moustache depuis mes vingt-deux ans. J'ai des lèvres fines et la peau de mon visage est légèrement marqué par le manque de sommeil dut à une vie bien remplie. Mes yeux sont bruns et rieurs, je parle beaucoup par leurs entremises. Je suis relativement grand du haut de mes 5 ''11, dans la moyenne tout au moins. Je suis souvent vêtu de façon extravagante, avec des plumes et du maquillage selon l'envie, mais je ne vois pas qui ça pourrait surprendre. Il faut bien suivre la mode, surtout quand on est une figure publique.

Histoire

Je suis désolé de vous décevoir, à peine ai-je commencé à relater les faits, mais je n'ai pas d'histoire à couper le souffle à raconter. Rien de bien dramatique ou d'époustouflant. Pas de maladie incurable, de mère morte à l'accouchement, de père absent, de femme tué par un quelconque ennemi. Rien de tout cela, je suis en fait l'une des personnes les plus ordinaires que vous aurez la chance de rencontrer ici.
Je suis né le premier décembre d'une mère et d'un père amoureux. Ils ont les moyens relatifs à chaque habitant du capitole, ni trop riche, ni trop pauvre. Nous habitions une maison de banlieue et de jolis parterres d'arrangement floraux entouraient la bâtisse. Je suis l'unique enfant de cette union et heureusement d'ailleurs, car l'histoire n'en serait que de plus en plus barbante. Bref, j'aurai bien aimé vous épargner le devoir de savoir ma vie, mais il me semble que certain trouve ce genre de détaille nécessaire à leurs survie.

Donc reprenons le fil de ce que je racontais, j'ai fais l'école primaire, joué dehors avec les autres gosses du quartier, harcelé mes parents pour qu'ils m'achètent tel ou tel babioles. Vécu les peines en lien avec les horribles débâcles que recèle l'adolescence. J'ai eu une copine une fois, je lui faisais l'amour de façon abusive, comme n'importe quel garçon de quinze ans victimes de ses pulsions. Je lui achetais des fleurs, lui disait ô combien elle était belle avec ses cheveux roses et son rouge à lèvre pourpre. Puis un jour elle m'a plaqué pour un fils d'aristocrate. J'ai pleuré, comme n'importe quel enfant dont les rêves furent brisé par ces promesses d'amour éternel qui ne se concrétiseront jamais. Puis le temps à passé et la vie a repris son cour normal. J'ai jamais vraiment trouvé l'amour attrayant, par contre je suis une victime de la passion. J'ai toujours entretenus des relations passagères et sans lendemain, préférant aviser mes compagnes pour ne pas m'empêtrer de donzelles qui s'amourachent trop facilement. Lorsque le désir et la découverte en atteint un point stagnant, je vais voir ailleurs, tout simplement.

Après cela, viennent les questions existentielles: « Que faire? » « Quelle sera mon avenir? » « Qui suis-je? » Alors je me suis cherché. J'ai fais des études en relations humaines, en psychologie et pour finir je me suis recyclé à l'âge de vingt-cinq ans dans l'univers du show-business. À travers ces années, j'ai réussi à rassembler une petite fortune de laquelle je ne suis pas peu fière. Il est agréable de savoir qu'on a la capacité de surpasser ses parents. Je me suis installé dans un loft avec une vue des plus magnifiques sur le capitole, avec domestique et styliste. Avec le temps, on prend rapidement goût au luxe. En quelques mois, je suis passé de commentateur de défilé de mode à assistant à la production. Très vite on m'a embauché comme animateur d'émission de radio ou mon nom se fit connaître rapidement. Vue ma verve et mon talent, les propositions de contrats se multipliaient et les femmes, ah oui les femmes de toute sorte se succédaient dans mon lit.
Un jour alors que je sirotais un bubble-tea bien calé dans mon fauteuil en cuire, mon attention fut retenu par les entrevues des tribus des Hunger Games. Ma personne fut rapidement énervé par la femme qui dirigeait le tout, Joyce je ne sais quoi. Elle était sensé présenter ces adolescents sous leurs meilleurs jours pour attirer des sponsors. Malheureusement, vue son jeu, il semblerait plutôt qu'elle essayait de vendre sa propre personne. Je n'ai jamais eu de véritable opinion au sujet des jeux, pourtant, si j'avais été l'un de ces gosses, j'aurais aimé que quelqu'un m'aide à marquer les gens par ma personne. Ce n'était pas vraiment dans cette voie que cette fille les lançaient, bien au contraire. Je n'avais jamais vue une entrevue qui manquait autant de punch. Outré j'entrepris des démarches pour prendre sa place. Ce qui fut assez aisé, vue l'effet que je faisais déjà au capitole.

Après avoir fais joué mes contactes, j'ai réussi à décrocher l'emploie avec l'approbation d'à peu près tout le monde, cette Joyce n'avait pas fait sensation.

Quant à moi, je sais déjà que j'ai un avenir prometteur, peut-être plus pertinent que l'histoire de ma vie.