Une nouvelle libertée




Cela fait deux jours que j’ai pénétrés dans l’arène des quinzième Hunger Games. Et depuis deux jours je suis entouré de pur brute et tueur professionnel. Et aucune victime à mon actif et déjà de belle image d’horreur était à présent inscrit à vit dans mon esprit. Et jamais elles ne disparaitront. Malheureusement. Mais je n’ai pas le droit de m’apitoyer sur mon sort au contraire je dois agir et vite. Vite et efficacement. Bref la rapidité. Mon truc quoi.

Laroche contre laquelle j’étais appuyé était humide et froide. Je décidais donc de me décalé pour ne pas mouillé les seuls habits que je possède. Et peut-être les habits dans lesquels je mourrais, ou je gagnerais. Le futur est plein de surprise et quoi qu’il arrive il y a toujours une suite et malheureusement une fin. Ma vie prenait sa courbe en ce moment même. Ma propre voie se dessine devant mes yeux et prends drôle d’arabesques. Des arabesques que j’ai souhaitais et attendus. Oui je me suis porté volontaire et je ne regrette surement pas. Ma lampe éteinte je distinguais mes camarades carrière allongés à quelque mètre de moi. Des tours de garde avaient été attribués. Jo m’avait réveillé il y a quelque heure pour prendre le tour. Et ils dormaient tous profondément. Les respirations calmes et régulières de mes « collègues » résonnés dans les souterrains. Et j’avais longuement réfléchis. Je suis fort mais je sais que Billie est là pour gagner et la fille que j’ai connue n’est plus. Et sens mentir elle me fait flipper. Dès la finale je serais découpé en petite rondelle. Un moment ou l’autre sa sera elle ou moi. Quand à Jo et Artémis eux ils seront surement allié et s’entre tueront pour la final. Moi j’étais juste là pour les aider. Non il était bien plus stratégique de partir maintenant. Dans la nuit les jeux on commencé et des tas d’arme et de provisions sont à porté de mains. Et tout le monde dort profondément. Tout est prévu. Mon sac déjà préparé à côté d’autre. Ils semblaient tous insignifiants mais ils étaient tous là pour une bonne raison. En particulier le gros sobre qui semble remplit à bloque. Un litre d’eau plus une bouteille de 50cl ainsi que trois pastilles d’eau, de quoi se nourrir et se couvrir en cas de froid. Tous mes plans sont parfaits. C’est le deuxième jour et ile me croit avec eux. Le seul problème ? Billie. Elle ne dort pas avec nous. Je me demande même si elle na pas trouvé la sortie à vrai dire. Mais je sais que je pourrais la semé en cas de problème. Et je pense qu’elle avait déjà cerné mon attention. Me tiré. Et vite !

Malgré que mes pas résonnent, ils ne font pas asse de bruit pour réveiller Jo et Artémis. Ils me prendront surement en chasse mais temps-pis. Je préfère me séparé d’eux avant qu’il ne connaisse mes points fort mes points faibles.
D’un pat fluide presque animale je prends délicatement mon sac ainsi que mes armes : mon burrin ma sarbacanes et un coup de poing américain au cas où et deux shurikens ! On ne sait jamais après tout. Le tout bien mit en place je pars le plus vite possible. Ma direction ? Le nord ! Je vois diverse trace de pas au sol et les suit. Il me faut à peine une heure pour commencer à sentir le vent fraie et surtout de la mousse. Je la touche du bout des doigts. Et aussi des traces de sang. Certains tributs avaient dut se battre lors de la trouvaille de la sortie. Une fois sortie en continuant de courir à pleine vitesse je découvre un paysage à coupé le souffle. Je suis en pleins désert. Je remets en place mon sac et continue ma direction à présent ? L’ouest. Je continue de courir dans les dunes de sable. Le froid du soir ne m’atteint pas grâce à mon endurance le fait de courir me réchauffe. Je ne sais pas combien de temps je courrais mais je continue encore et encore sans pour autant m’épuisé. Après tout j’étais habitué au long marathon qui prouvé parfois duré des journées entière. Je m’arrête à l’aurore du troisième jour. J’avais courus toute la nuit et par chance aucune personne n’avait interrompu ma course et apparemment personne ne m’avait suivit. Le vent avait soufflé fort cette nuit et toute trace de ma course avait était effacé et aucun autre tribut à l’horizon. Mon premier réflexe vidé la moitié de ma bouteille d’eau. Quoi ? Ce n’est pas raisonnable ? De toute façon désert signifie aussi oasis et donc il y en a forcement une quelque part. Je ne suis pas pros dans ce domaine mais je ne suis pas bête. Je m’assois et pose mon sac. Je me callé contre la première ruine venue. J’étais un, peu fatigué. Mais j’avais l’habitude. Ce n’était pas la première fois que je courrais toute la nuit où que j’étais privé de sommeil mais je profitais de quelques heures de repos. Je fermais à peine les yeux quelques heures le temps de récupérer mon énergie. Les carrières allaient me haïr j’en avais conscience mais bizarrement avec le ciel au dessus de ma tête après une bonne course je tomber dans un doux rêve le visage de ma sœur restant la dernière image avant on petit sommeil.
Je me sentais libre.