Longue matinée pleine des visionnages des saisons passés. Chaque saison à vu naître un nouveau mentor, muni d'une nouvelle technique, d'une nouvelle tragédie qui a vu gagner un district différent de celui de l'année précédente....
Observant la façon dont Heather est parvenue à vaincre les pièges de l'arène, je me demande ce que celle ci offrira à nos tribut de l'année. Finiront ils dans une arène de sable ou de neige ? Une île déserte ou les ruines d'une ville ancienne... Parlant de ruine ancienne voici que les soixante secondes de mon édition apparaissent...ma gorge se noue, mon corps se crispe. Alors que j'observe ce simple film qui ne semble prendre qu'une image des choses j'ai l'impression de revivre mon enfer. Je nous revois tous courir aussi vite que possible, la mort de plusieurs tributs au bain de sang, dont les deux pauvres jeune filles tombée sous mes coups....Un sanglot reste coincé au creux de ma gorge alors que je vois ma compagne de district mourir sous les coups de la jeune fille du un...que je m'étais senti seul à cet instant, je me rappelle de la tristesse et du désespoir qui m'avais prit lorsque dans la nuit oblongue je venais de voir son portrait apparaître puis...disparaître à jamais.
Puis l’édition continu, je vois les différents jours qui passent, les morts qui s'entassent puis la finale...le pauvre garçon du douze contre l'hyper entraîné du district deux.
Sans même y penser, ma main passe lentement sur mon torse, là ou devrais se trouver cette affreuse cicatrice, souvenir de cette éventration qui m'avais était faite. La douleur me reviens à l'esprit, cette sensation affreuse de tenir ses entrailles dans la main, les serrer contre moi pour ne pas les laisser s'échapper , je revois la pioche s'enfoncer dans la chair du tribut du deux, je me souviens du désespoir que j'avais ressenti, ce coup était le dernier dont j'avais la force d’exécuter, si il n'étais pas passer, je serai aujourd'hui, cadavre pourrissant dans le district ou je suis venu au monde alors que le district deux aurait un mentor de plus....
D'un geste rapide, j'éteins la télévision , quittant le sofa pour retourner dans ma chambre, me doucher, me changer l'esprit ou...peut importe.
Bien entendu je ne pouvais retourner dans ma chambre sans avoir à m'admirer dans le reflet du miroir et bien entendu...à m'admirer. Je restais ainsi devant le miroir à m'observer, mes prunelles noisettes et mon teint mat, mes cheveux aussi doux que la soie et bouclé à souhait....j'avais vraiment plusieurs années à m'occuper de mon physique. Ma main caressa lentement mes abdos musclé à souhait. Il n'y avait pas à dire, j'étais réellement le plus beau et le plus attirent de tous les mentors de Panem. Je prenais soin de moi, je remercier la vie en m'offrant à ce monde dans un délice de beauté et d'autosatisfaction. Bien des gens disent de moi que je ne suis qu'orgueil et narcissisme, mais il nous faut bien trouver une raison de vivre non ? Tandis que la mentor du dixième district s'enferme dans sa méchanceté et ses remarques désagréable, je préfère rester dans mon idée de beauté éternelle. J'avais survécu à l'arène a ses tributs et ses pièges, j'étais devenu une icône incontestée de la beauté et de la mode, chacun m'admirer je le savais pertinemment et chaque année je parvenais à trouver bien des sponsors pour mes tributs... Le plus dur était bien entendu de choisir le tribut que je sauverai, car comme vous le savez on ne peux sauver qu'un seul de nos tribut et il me faudra faire mon choix d'ici deux jours...lors qu’enfin nous aurons les notes de ceux ci.
Mais pour l'instant je devais trouver ces fameux sponsors. Mon moral était remonté au beau fixe grâce à ma beauté et mon charisme légendaire et je décidais ainsi de partir à la chasse aux sponsors. Changeant de tenue pour un pantalon extrêmement moulant et une chemise que je laissais à moitié ouverte, je m’apprêtais à sortir lorsque l'idée de prendre mon ipod dernière génération me vint à l'esprit. Je serai bien plus attirant installé dans un fauteuil a écouter de la musique qu'a courir après ces capitolin. Je devais les laisser venir à moi c'était tellement plus amusant.
L'attrapant rapidement dans un des tiroirs de ma commode je passe les écouteurs à mes oreilles, lançant la musique alors que je me dirige vers l’ascenseur de notre étage pour descendre. La descente ne durera que quelques instants à peine avant que je ne me retrouve au rez de chaussée.
Les portes de métal s'ouvre alors sur le hall ou je retrouve l'un de mes sponsors, un de ceux qui a déjà promis de m'offrir son soutiens...accompagné de cet idiot d'Ulyss ?!
Putain c'est quoi c'est ça, cet enfoiré cherche à me piquer mon sponsors ?! Alors là, ça ne va certainement pas ce passer comme ça, ses tributs ne sont que des bouseux à peine sortir des jupes de leur mere et dont le mentor et le plus débile de tous, alors il n'as aucune espoir à avoir sur les sponsors et sur MES sponsors ! Avançant d'un pas cadencé je rejoins les deux personnage affublé d'un de mes plus beau sourire alors qu'une de mes oreillette glisse laissant entendre à qui le veux la chanson que j'écoutais à l'instant, une vieille mélodie d'avant panem que j'avais trouvé par le plus pur des hasard lors d'une excursion dans les rues du capitole, bien entendu elle était mièvre au possible avec son titre de Nothing Compares 2 U mais je la trouvais sympathique....
Me postant donc entre le mentor et le sponsor je venais quérir les informations sur ce qui semblait se passer à présent

« Bonjour monsieur Connor, comment aller vous ? Êtes vous venu vous enquérir des tributs du district douze ? »

Lorsque je rentre de l'entraînement aujourd'hui, je ne trouve ni Valentin, ni Vulphy. Peut-être sont-ils en train de parler ensemble. Mais bon, qu'importe. J'entre dans ma chambre, appelle le service et commande un fondant au chocolat. Pourquoi ? Parce que j'en ai envie, tout simplement. Et parce que bientôt, je ne pourrais plus profiter des grâces du Capitole. Alors autant en profiter maintenant. Je passe ensuite dans la salle de bain pour prendre une douche rapide. Cinq minutes plus tard, je suis de retour dans ma chambre, en peignoir. Le gâteau est là, avec un petit jus d'orange. Supeeeeer. Je déguste rapidement le dessert, puis me met en quête d'une tenue un peu passe-partout. Mais il y a partout des tiroirs remplis de vêtements, et trouver un simple pantalon ou une petite chemise n'est pas facile. Mais après un petit quart d'heure de recherche, je finis par tomber sur un pull blanc tout à fait acceptable, et un jean près du corps deux minutes plus tard. J'enfile le tout, puis, ne sachant pas quoi faire, je m'affale sur le lit et tente de me vider la tête. Sans résultat d'ailleurs. Mes pensées sont préoccupées par l'Arène, qui approche à grands pas, et mon district. Que deviennent ma mère et ma soeur ? Parviennent-elles à subvenir à leurs besoins sans trop de mal ? Et Katrosy, qu'est-elle devenue. Songer à tout ça me donne mal au coeur, et j'essaye de penser à autre chose.

Au fil de mes réflexions, des pensées à propos de l'Arène commencent à tourner en boucle dans ma tête. Des trucs sympathiques, comme « Je n'a pas parlé à Vulphy de l'Arène. Il est mon dernier recours ! », « Comment vais-je bien pouvoir me débrouiller pour essayer de revenir vivante d'une Arène où 24 tributs vont se battre à mort ? », ou encore « Peut-être qu'une alliance pourra retarder l'heure de ma mort... », et enfin « Si je me fait choper par les Carrières, ils se feront un plaisir de me torturer... J'espère que ça ne vas pas trop affecter ma mère et ma soeur. ». Plutôt cool, hein ? Un flot interminable de questions toujours plus horribles arrive dans mon esprit, et je suis incapable de leur trouver une réponse. Je crois qu'il faut que je parle à Vulphy. Certes, je n'aime pas spécialement cet homme et son ego démesuré, mais c'est la seule personne sur qui je peux compter pour l'instant. Ouais, il faut que j'aille le voir. Mais où le trouver, là est la question. Je me lève brusquement et part en quête de mon mentor. Naturellement, je commence par la chambre de ce dernier. Qui se trouve être vide. Je poursuis mon enquête chez Valentin, mais je trouve ce dernier endormi. Je passe dans le salon, où je vois Astate en train de se prélasser devant un feuilleton débile. Je lui demande si elle a vu Vulphy. « Oh, il est descendu dans le hall. » me répond-elle de sa voix haut perchée. Je la salue rapidement et sors de l'appartement du district 12. Des flèches lumineuses nous indiquent la direction de l'ascenseur. J'appelle la grande cabine de verre. Les portes s'ouvrent, j'entre, j'appuie sur le bouton indiquant le rez-de-chaussée. La vitesse de l'ascenseur est telle que je ne sens même pas la descente. Les portes s'ouvrent de nouveau.

Un petit nombre de personnes se promènent ou discutent dans le Hall. Quelque peu perdue, je promène mon regard sur la salle en espérant voir Vulphy. Je l'aperçois, face à une personne qui m'est inconnue -sûrement un capitolien-, et quelqu'un d'autre, au visage qui m'est familier, bien que je ne l'ai jamais rencontré. Je m'approche vivement des trois personne, et finit par reconnaître le troisième individu comme Ulyss Alenko, l'un des vainqueurs des Hunger Games, surnommé « Lucky » par tout le monde. Car s'il a gagné, c'est d'abord un coup de chance, ce qui lui a valu ce surnom un tantinet débile. Beaucoup médisent de lui, et pensent qu'il ne mérite pas sa victoire. D'accord, il a eu beaucoup de chance. Mais les Hunger Games, c'est aussi une histoire de chance. Sinon, on serait vraiment tous dans la merde. Tout ça pour dire que je l'aime bien, cet... Ulyss / Lucky. Il a un talent naturel d'auto dérision, et il a l'air gentil. Je m'avance donc vers mon mentor. « Vulphy, j'aimerais vous parler... ». Honteuse, je me rend compte que j'ai interrompu ce qui me semble être un début de conversation. Mes joues se colorent de rouges. « Désolée, je n'avais pas vu que vous parliez. Nous pourrons discuter plus tard. »

@Secyloa

Monsieur Connor, riche capitolin qui aime le district douze. Ils sont bien peu en ces lieux à aimer mon district et à vouloir nous aider à survivre. Je me souviens bien de ce monsieur Connor qui, avec monsieur Lynch avait été le seul à offrir son argent pour ma survie. De ce jour, il a etait presque chaque année fidèle à mon district. Quel ne fut pas sa frustration de voir ma petite Eycko mourir l’édition précédente et qu'elle ne fut pas la mienne par la même. Aujourd'hui, j’espérais de tout cœur parvenir à lui vanter les mérites de ma petite Elie. Oui, mon choix est fait et bien que ce soit dur pour Valentin, je mise sur Elie. Il est toujours dur de devoir faire ce genre de choix, celui de savoir qui nous désirons sauver, qui nous désirons laisser mourir. Parfois, notre idée n'est pas la bonne, parfois elle peu nous permettre de sauver notre tribut. Valentin à de la force et un sourire d'angelot, mais c'est surtout un enfant effrayé et bien que les entraînements aient déjà commençai je sais parfaitement qu'il n'a pas la carrure de vaincre. Peut être que je me trompe, mais cela m'étonnerais fortement.
Mon arrivée dans le Hall fut donc bouleversé ou plutôt inquiétée par la présence d'Ulyss Lucky Alenko aux cotés de ce sponsors dont j'ai tant besoin pour mon district. Est ce là de l’égoïsme ? Peut etre et je le conçois parfaitement. Chaque district deviens ennemi en ces moments alors que nous sommes une même nation qui souffre de voir ses enfants mourir aux yeux du monde. Devons nous nous réjouir de la mort d'autrui ? Non, je ne le conçois pas, mais il est tout naturel de préféré les siens. Une mère voyant son enfant mourir sous les coups de l'enfant d'un autre n'hésitera pas une seconde à le tuer pour le bien de son propre sang. C'est ce qu'on appelle l'instinct maternelle. Je suis un homme et pourtant je me doit d'avoir cet instinct et de souffrir en ma chair la mort de mes enfants d'adoption. Alors je ne peux laisser cet homme à Ulyss, mentor triste et stupide à mes yeux qui n'as gagné que par chance comme l'indique son surnom.
Oh, je ne lui reproche pas sa victoire, oncques je n'irai dénigrer la victoire d'un mentor car que ce soit de la chance ou de la force, le plus important et d'avoir sue en sortir vivant et surtout...de savoir survivre après ces drames qui nous ont tant émue.
Allant d'un pas décidé vers les deux hommes, je m'interpose en coupant la parole de façon plus qu'impolie certes, mais qui est malgré tout assez simple, puisque je ne fait que saluer le si précieux sponsor de notre district. Je ne prend bien évidemment pas la peine de saluer mon confrère mentor qui semble jeter un œil d’intérêt sur la douce mélopée s'extirpant des oreillettes de mon mp3 que j’arrête en l'instant, mais la conversation ne débutera pas puisqu’au même moment ma jeune tribut arrive, jeune ange aux cheveux d'or qui semble tout droit tomber des cieux avec son sourire si innocent....l'aura t elle encore une fois sortie vivante de l'arène ? Je ne peux que prier pour que cela soit possible, l'arène détruit bien des choses, chacun d'entre nous peut le constater et nous en avons d'autant plus eu la preuve il y a quelques jours à peine avec le décès prématuré de notre consœur du district quatre. Elle demande à me parler en privé avant de s'excuser de nous avoir interrompu ce à quoi j'étais prêt à lui répondre mais le boulet du onze me pris de court

Non ! reste ma belle ! Ton idiot de mentor à juste couper une conversation dans laquelle il état convié.

Puis son regard se tourna vers moi m'obligeant à ecouter ses inepties

J’espère que dans tes choix pour elle tu réfléchis plus que dans cet instant où tu es le trouble fête de l'instant qui t'étais pourtant consacré, sinon, notre belle espoir s’éteindra avec ton rêve de pouvoir te passer de jeux au moins une petite année.

Mon sourcil se hausse durant un instant alors que mon regard se tourner vers ulyss

Pardonne moi d'être venu saluer Monsieur Connor, Ulyss. Néanmoins, je tiens à te rassurer sur les compétences de mon mentorat après tout, Eycko fut à deux doigt de gagner l'année dernière, quant à l'idée de prendre une année sabbatique, cela ne m’intéresse pas !

Mon sourire s'étire. Oui, je suis le genre de personne qui ne prendrais pas d'année sabbatique si sa tribut venais à vaincre lors de cette édition. Apres tout, ne dit on pas que l'on est mieux à plusieurs que seul ? Chacun de nous pourrait se porter sur la survie d'un des deux tributs au point que l'on pourrai vaincre plus souvent lors des prochaines editions. Et puis...je connais quelques personnes de cette ville qui me manquerais fortement si je venais à ne pas venir...
Néanmoins, je devais m'occupais de ma tribut de l'année, il était bien beau de parler de victoire et de penser dejà aux prochaines éditions, mais il faudrait dejà qu'elle puisse vaincre les tributs de cette édition.... je n'avais qu'une solution pour l'instant, lui présenter son possible futur bienfaiteur...

«Bref, tu ne me dérange jamais Elie, nous parlerons après, pour l'instant laisse moi te présenter monsieur Connor, qui est venu s'enquérir de ta personne et de tes chances pour les jeux. »

A peine ai-je terminé ma phrase que Ulyss "Lucky" s'adresse à moi, un sourire ma foi charmant étirant ses lèvres « Non ! reste ma belle ! » Qui que quoi dont où ? Ma belle ? Je me demande, un instant, s'il se fiche de moi. Mais son sourire est tellement sincère que le prend comme un compliment, et un sourire timide naît sur mes lèvres. « Ton idiot de mentor à juste couper une conversation dans laquelle il état convié. ». Je lève un sourcil, quelques peu surprise. Je croyais que mon Mentor et celui du 11 s'entendaient bien... Quoique, en ce moment, ce n'est pas très surprenant : tous les Mentors doivent tenter de choper des Sponsors pour leurs tributs. Ulyss se tourne alors vers Vulphy et, son ravissant sourire disparu, parle d'une voix presque mélancolique.« J’espère que dans tes choix pour elle tu réfléchis plus que dans cet instant où tu es le trouble fête de l'instant qui t'étais pourtant consacré, sinon, notre belle espoir s’éteindra avec ton rêve de pouvoir te passer de jeux au moins une petite année. » Je suis surprise de voir qu'il veut s'assurer que Vulphy m'aidera du mieux qu'il peut, sachant que je serais peut être forcée de tuer ses propres tributs. Je crois que j'apprécie de plus en plus le Mentor du 11. Ce doit être quelqu'un avec qui il est très agréable de discuter.

« Pardonne moi d'être venu saluer Monsieur Connor, Ulyss. Néanmoins, je tiens à te rassurer sur les compétences de mon mentorat après tout, Eycko fut à deux doigt de gagner l'année dernière, quant à l'idée de prendre une année sabbatique, cela ne m’intéresse pas ! » réponds Vulphy. D'un côté, il a raison. Mais je n'apprécie pas le fait qu'il place Eycko dans sa phrase. Ne vous méprenez pas, j'ai beaucoup apprécié cette fille, mais... Elle est morte dans les trois derniers. Je suis sûre que je n'y arriverais pas. Et je n'ai pas envie que ce "monsieur Connor" soit déçu par mes capacités, que je juge médiocres. Je me mord la lèvre pour empêcher un soupir de franchir la barrière de mes lèvres, tandis que Vulphy continue « Bref, tu ne me dérange jamais Elie, nous parlerons après, pour l'instant laisse moi te présenter monsieur Connor, qui est venu s'enquérir de ta personne et de tes chances pour les jeux. ». Pour tout vous dire, je me fiche complètement de ce monsieur Connor, et je n'ai franchement pas envie que mon Mentor nous présente. Cela me donne l'impression d'être une bête de foire. Bon, c'est un peu ce qu'on est, mais je n'aime pas ça. En même temps, ce Sponsor pourra m'être bien utile, une fois dans l'Arène. Je refoule donc ma mauvaise humeur et tend une main vers monsieur Connor. « Enchantée, Monsieur. ». Je me tourne vers Ulyss, et enchaîne aussitôt « Et ne vous en faites pas,... » je ne sais pas trop comment l'appeler, mais je me reprends vite. J'espère mon hésitation est passée inaperçue. « ... Monsieur Alenko. Vulphy m'a déjà beaucoup aidé, et je pense qu'il donnera du meilleur de lui même lorsque je serais... Dans l'Arène. » je me racle la gorge et passe mes mains derrière mon dos, pour dissimuler leurs tremblements.

@Secyloa