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| Sujet: Nathan Thunder ~ Mentor ~ District 2 Dim 16 Déc - 19:17 | |
| Nathan Thunder Date de naissance et âge : 5 Novembre / 22 ans District / Capitole : District 2 Situation familiale : Deux parents, un frère et une soeur, famille heureuse. Métier (si adulte): Mentor Groupe (Tribut etc...): Mentor Avatar : Thomas Dekker
Physique & Caractère(en 8 lignes minimum)Je m’appelle Nathan Thunder, mais si l’on m’avait donné le choix, je me serais appelé Robin. Oui, vous devez vous demander qui est cet abruti qui raconte sa vie et qui n’est même pas content de son propre nom. Cet abruti, c’est moi, donc. Je suis un contestataire, on va dire. Personnellement, je n’aime ni mon prénom, ni celui de mon frère ni celui de ma sœur, nommés respectivement Maxence et Kaliska. Et donc, forcément, moi, j’écris pour configurer mon monde parfait, avec mes préférences, mes choix. Il est vrai que je ne l’ai pas eu souvent, le choix. Dès tout petit, on a dicté ma vie. Normal, me diriez-vous, un enfant obéi à ses parents. Je déteste être mené. Mon père m’a mis une épée dans les mains, mais c’est moi qui ai décidé de m’entraîner pour être le meilleur. Pour quelqu’un d’autre, ce détail insignifiant n’aurait eu aucun impact sur sa vie, il ne s’en serait même pas rendu compte. Mais pour moi, ce petit détail était important. J’ai eu également le choix de devenir « tribut de carrière ». Par contre, c’est le hasard qui me précipita à seize ans, deux ans trop tôt, dans l’arène. J’ai gagné quand même, alors on s’en fiche de ce détail… N’est-ce-pas ? J’aime beaucoup écrire des histoires, souvent fictives, et me battre, que ce soit avec des armes ou à mains nues. J’ai d’ailleurs un certain talent pour le combat, ayant commencé l’apprentissage des armes à huit ans et des arts martiaux à cinq. Je me bats souvent contre mon père dans des combats amicaux, pour me défouler, mais quand j’ai besoin de m’isoler des bruits de la maison – il faut dire qu’avec un frère et une sœur de respectivement neuf et douze ans, je n’étais pas tranquille tout le temps – je me rends dans le grenier de la maison, ou je peux rester des heures à lire et écrire toutes sortes de choses. Bien évidemment, presque personne n’est au courant de cela, sinon j’aurais rapidement perdue ma réputation de battant et meilleur combattant de ma génération. J’étais un puissant combattant, effectivement. Sinon, comment aurais-je gagné la neuvième édition des Hunger Games ? J’avais toujours voulu y participer, mais c’est le hasard qui m’avait précipité dans ces Jeux, deux ans trop tôt, comme je l’ai déjà dit. A seize ans, j’ai été tiré au sort, et personne ne s’est porté volontaire. Il ne me restait plus qu’à revenir vainqueur, et c’est ce que j’ai fait. Malgré le fait qu’il y avait plusieurs tributs plus âgé que moi chez les carrières, je me suis naturellement imposé comme co-chef, avec le tribut du Un, clair qu’avec mon caractère, j’aurais tué quiconque m’y opposant, de toute façon… J’allais tuer tout le monde, en fin de compte. A nous deux, nous avions tué presque un tiers des autres tributs, peut-être même la moitié, mais au final, c’est moi qui en suis ressorti vainqueur. Avec des blessures de partout, certes… Mais il faut avouer que le Capitole fait bien des merveilles, de ce côté-là. C’est la seule chose bien qu’il sache faire… Kss. Oui, oui, je déteste le Capitole. Le District 1. Le 4. Le 3, le 5, le 6, le 7, le 8, le 9, le 10, le 11 et le 12. Je déteste tous ceux qui viennent d’un de ces Districts. Seul le Deux en vaut la peine. Le Un, ils sont trop attachés aux diamants, à l’or, tout ça… Les armes, c’est bien plus classe et tellement moins superficiel ! Le Quatre… Ah là là, ces bouffeur de poissons qui se disent carrières ! C’est à te dégoûter de l’eau. Et le reste, bah c’est des faiblards qui craignent le jour de la Moisson. Tellement plus pathétique. S’ils s’entraînaient aussi, ces abrutis, ils seraient plus puissants ! Ils pourraient aider dans les champs le jour et s’entraîner le soir, ou la nuit, je ne sais pas ! Comme ça, ils ne gueuleraient pas qu’ils se portent volontaire pour sauver la vie de leur proche… Ils se rendent même pas compte qu’en se portant volontaire pour cela, ils sont égoïstes. Ils veulent juste ne pas vivre sans une personne qui compte pour eux, et en faisant ça, ils rendent tristes ceux qu’ils ont sauvés. M’enfin bon, j’vois pas pourquoi je les juge… Ils ne viennent pas du Deux, donc ils sont forcément inférieurs. Sinon, ils n’y a que de rares personnes qui échappent à mes sarcasmes. Effectivement, je suis assez aimé dans le District, je ne suis pas un asocial ou quelqu’un du genre. Alors même si personne ne s’est porté volontaire pour mon édition, je sais que j’ai pas mal d’amis. Juste qu’un carrière qui se fait sauver par quelqu’un d’autre, c’est la honte quoi. Et tout le monde sait que je suis un tribut de carrière. Alors personne va venir, et tant mieux pour moi. Juste que j’ai pas eu le choix, et ça, ça m’énerve. On s’écarte du sujet. Donc oui, j’ai des amis, mais c’est moi le meneur de la bande, on va dire. Et donc, dès qu’ils font une petite maladresse, un petit écart, je me moque d’eux, c’est plus fort que moi. Mais sinon, mon petit frère, ma petite sœur et mes parents échappent à mes moqueries. Il y a plusieurs autres personnes, bien sûr mais comme ça, j’ai pas d’idées, hein. Ah si en fait. Les Sullivan. Cette famille qui a vu naître l’une des meilleures carrières de notre District, et qui a d’ailleurs gagné la 14ème édition. J’ai été son mentor, d’ailleurs, mais contrairement aux autres tributs que j’ai eus, elle m’a tapée dans l’œil. Elle n’arrêtait pas de rabaisser son camarade, et ils ne pouvaient pas se sentir, mais mon choix s’est porté sur Miss Sullivan, parce qu’elle me ressemblait. Et au final, elle a gagné. Elle a mon respect, et, sa famille et elle sont, on va dire, immunisés. Mais ce ne sont pas les seuls, hein. Ceux qui ne sont pas faibles, qui savent se battre et qui exprime clairement leurs idées, et qui ne sont pas trop proches de moi, sont également « sauvés », selon l’expression de ma mère. Ah oui, mon physique… Bah disons-le, hein, je suis plutôt beau gosse. Châtain, les cheveux en bataille, les yeux vert-brun. J’avais auparavant quelques boutons d’acné, presque invisibles, mais bel et bien là, que le Capitole a empressé de faire disparaître. Ma mère dit que c’est là-bas que j’ai perdu mon innocence, ce qui est probablement vrai, mais certainement pas parce que l’on m’a enlevé ces boutons. J’ai un corps vraiment trop parfait, mais au sens littéraire, trop parfait. Aucunes cicatrices ni moindres petite impureté, ce qui serait impossible dans la vie de tous les jours. On sent bien le passage du Capitole. Je ne sais pas si c’est bien ou pas. Mes mains sont fines, mais mes bras sont musclées, forcément. De taille moyenne, ni trop grand ni trop petit, ni trop gros ni trop maigre. Donc voilà pas grand-chose à dire là-dessus.
Histoire(en 15 lignes minimum)Je suis né un 5 Novembre, un jour de soleil, avec un peu de nuage. Un jour comme les autres, quoi. A cinq ans, mon père m’enseignait les bases du karaté et du judo, et après s’être rendu compte que j’étais doué pour les combats, m’a inscrit dans une salle d’entraînement, avec des enfants de mon âge. J’étais déjà attiré par les armes à cet âge-là, mais j’étais encore trop jeune. Donc je me consacrais uniquement aux arts martiaux. A l’âge de six ans, il y a eu la Rébellion des Districts. Eux qui voulaient améliorer leur condition, ils l’avaient empiré. Je me souviens encore des rares tueries du District 2, et celles que l’on passait en boucle à la télé, celles des Districts périphériques. Elles m’avaient traumatisé, et je pense que cela a renforcé mon besoin d’être puissant et respecté. Mes parents ont tout de suite compris l’intérêt des Hunger Games. Calmer la population sur le long terme, pour éviter de nouvelles rébellions, mais mon père ajoutait en s’esclaffant : « Dans quelques décennies, peut-être même des siècles, tu vas voir, les gens vont se rebeller contre les Hunger Games ! ». Ma mère ne le contredisait pas parce qu’elle était au fond d’elle persuadée de cela, elle aussi. Arrivé à l’âge de huit ans, lors de la Seconde Édition des Hunger Games, j’ai enfin eu le droit de manier une épée. J’étais devenu puissant grâce aux arts martiaux, et les épées les plus lourdes pour mon gabarit ne me faisaient pas peur. Mon père m’avait même fabriqué ma propre épée pour mon anniversaire. Il était, lui aussi, un commerçant d’armes, comme bon nombre de personnes au District 2. Sauf que lui, il tenait un commerce d’armes blanches faites à la main. Quand quelqu’un cherchait une arme sur mesure, on venait souvent chez mon père. Il gravait des noms, des animaux, des motifs sur les gardes des couteaux, des épées, des haches… Presque toute sorte d’armes se trouvait dans l’arrière-boutique, où je me promenais souvent, n’ayant pas encore le droit d’aller à la forge, c’était bien trop dangereux à mon âge. Mon épée était une lame magnifique, argentée, avec un loup gravée sur la garde, et mon prénom sur la lame. A l’époque, elle était bien trop grande pour moi, et je ne pouvais pas la manier, mais dès que je fus assez grand, je me baladais avec sans cesse, à la hanche. Elle m’avait manquée dans l’arène, où je n’avais pas osé l’emmener de peur de ne jamais la revoir, et où de toute façon je n’aurais jamais eu le droit d’amener une arme personnelle. Dès que j’étais rentré dans mon District, je m’étais précipité dans ma chambre, où j’ai eu le bonheur de la retrouver inchangé, et l’arme trônait toujours fièrement sur le mur, accrochée par la sangle du fourreau, et désormais, je me balade toujours avec elle. Au District 2, c’est courant de se balader avec ses armes, mais revenons à l’époque. A mes dix ans, ma sœur Kaliska est née, et comme dit plus haut, je n’ai jamais eu mon mot à dire dans les prénoms de ma famille. Je me rendais compte que j’aimais beaucoup les enfants. Je pouvais jouer toute l’après-midi avec Kaliska que je ne voyais pas le temps passer. La grande guerre avait un peu traumatisés mes parents, qui avaient décidé d’attendre un peu avant d’avoir de nouveaux enfants. Et quand ma sœur a eu trois ans, et moi treize donc, j’ai eu un nouveau petit frère, Maxence. Tous les deux étaient bruns, mais Maxence avait les yeux bleus et Kaliska les yeux bruns. Je jouais avec mes deux petits frère et sœur pratiquement tout le temps, quand je ne m’entraînais pas. Mais bientôt leurs cris incessants commencèrent à être pesants, et je crois que c’est à ce moment que je décidais de me mettre à l’écriture. Loin de leurs bruits, dans le grenier, j’y passais désormais les heures que je ne consacraient plus à mes cadets. Bien sûr, je jouais encore avec eux, mais dès qu’ils se mettaient à pleurer, je faisais mon lâche et fuyait dans le grenier. Quand Maxence eut six ans, la crise se calma enfin, et je pouvais de nouveau les amuser. Mais quand il avait six ans, j’en avais dix-neuf, et j’avais gagné les Hunger Games. A seize ans, j’assistais à ma 4ème Moisson, pour les 9ème Hunger Games. Je haussais un sourcil quand mon nom sortit de l’urne. Néanmoins, je marchais lentement vers l’estrade, où ils avaient posé un fauteuil, vacant : le fauteuil du mentor. Mon futur fauteuil. Je lançais autour de moi des regards de défi et mes yeux lançaient des éclairs. Quiconque se porterait volontaire se prendrait mon couteau caché dans ma botte. Je pense que tout le monde l’a compris, puisqu’au final, personne ne s’est manifesté. On a dit des paroles. Je ne sais plus lesquels. Moi, j’étais trop occupé à fixer la caméra avec un regard de défi. Je lançais un défi au Capitole. Et là, je fixais le Président. On m’emmena dans une salle où les proches venaient me dire au revoir. Ma sœur avait six ans et comprenait à peine l’ampleur de la chose, mais elle savait que je partais, et elle me fixa avec des yeux remplis de larmes. Maxence, trois ans, me regardait sans comprendre, alors que mon père me répétait les choses à savoir sur les points vitaux des êtres humains, règles que je connaissais par cœur. Ma mère me regardait elle aussi, les yeux pleins de larmes. Quand elle vit que je ne regardais pas, que je n’écoutais pas mon père, elle m’attrapa par les épaules en criant : « Tu ne comprends pas dans quoi tu viens de t’embarquer ! ». Je ne répondis pas. Mon père soupira et ils furent emmenés à l’extérieur. C’est ma mère qui ne comprenait pas. Le Capitole. Beurk, dans le train, j’étais assis juste à côté du gars qui avait présenté la Moisson. Il faisait la conversation, et je lui répondais poliment, alors que ma compagne de District restait muette. Je savais que me mettre ce gars dans ma poche serait une bonne chose. D’ailleurs, j’ai eu raison, car n’ayant pas de mentor, j’aurais du mal à avoir des sponsors. A la fin du voyage, je retrouvais un message dans ma poche. J’avais bien senti qu’il avait essayé d’être discret, mais quelqu’un d’entraîné se devait de sentir quand quelqu’un l’effleurait… Donc voilà, il y avait un message dans ma poche : « Je serais un de tes sponsors ». Okay, tu pouvais pas le dire en face ? T’avais peur de décevoir l’autre ? Pff. Arrivé au Capitole, repas avec quelques personnes bizarres, blablabla… Puis les entraînements. Enfin.
*Flashback*
Je décapitais les mannequins les uns après les autres, je m’en fichais du regard des tributs. Ils pouvaient bien connaître mes forces, rien à faire. Je n’avais parlé à personne. Après un petit entraînement, je m’adossais contre un mur pour observer mes adversaires. « T’es même pas essoufflé ! Pas mal pour un gamin ! » Je me tournais lentement la tête. Un gars blond me fixait du regard, les bras croisés sur sa poitrine, un sourire moqueur sur le visage. Derrière lui, il avait sa petite armée de carrières. Dont la fille du 2. J’avais même pas retenu son prénom, elle venait du quartier bourge, et j’avais pas envie de la côtoyer tellement elle me faisait pitié. « Qui tu traites de gamin, blondin ? » répliquais-je en le regardant dans les yeux. Il perdit immédiatement son sourire et fit un pas vers moi, mais un gars l’arrêta. Certainement le bouffeur de poisson de cette année. Tous ou presque faisait au moins une demi-tête de plus que moi. « J’vous avais dit qu’il accepterait jamais, soupira la fille de mon District. - Qui t’as dit que je viendrais pas ? » Elle ne répliqua pas. Peuh, soumise… « Bref, vous voulez me recruter dans votre alliance de carrière, je présume ? Vous savez reconnaître les bons éléments, malgré le fait que vous n’êtes pas du Deux. - Tu serais pas un peu raciste, gamin ? Tu dois avoir quoi, seize ans ? Ici, on est quasiment tous des volontaires de dix-sept, dix-huit ans. Toi, tu t’es fait tirer au sort. Donc t’as rien à dire, soit tu viens avec nous, soit tu seras le premier à mourir dans l’arène, vociféra le blond du Un. - T’as vu l’alternative que tu me proposes ? lançais-je en haussant un sourcil. - T’es des nôtres ou pas ? dit la carrière du Quatre en tendant la main. - A ton avis ? ricanais-je sans pour autant serrer sa main pour assurer l’accord. Soit je suis avec vous et je survis, soit je me fais poursuivre par les personnes les plus puissantes réunies ici présent. - Tu comprends vite pour un gamin, se moqua le garçon du Quatre. - Et pourtant, moi, j’ai pas passée ma vie à bouffer du poisson. » Son regard changea et ce fut à son tour de faire un pas, menaçant, vers moi. On le retint. Le garçon du Un me jeta un regard mi-dégoûté mi-intéressé, et me serra la main, contre mon gré.
*Fin du Flashback*
Et malgré mon mauvais caractère, on m’accepta tout de suite dans l’alliance et les jours qui suivirent, ils apprirent à ne pas répondre à toutes mes remarques. Je n’avais eu aucun scrupule à tuer le bouffeur de poisson quand il avait essayé de me voler mes armes et de tuer tout le monde dans notre sommeil, pendant son tour de garde. Penser pouvoir faire ça… Pathétique. J’avais eu encore moins de scrupule à tuer le garçon du Un, qui était mon seul obstacle vers la victoire. Oh bien sûr entre tout ça, il y avait les interviews et les salons télé spécial Hunger Games, mais dedans, je raconte ma vie, et vous la connaissez déjà à travers ce texte. Bref, je suis revenu comme premier gagnant du District 2, après la tournée des vainqueurs. J’étais passé dans tous les Districts, forcément. Je n’avais pas ignoré les regards haineux des Districts carrières, parce que déjà j’avais tué les tributs du Quatre et du Un, en n’arrêtant pas de les traiter devant les caméras de « fils de bourges », « fils à papa » et de « bouffeur de poissons ». J’avais adoré cette tournée. Puis des gamins m’ont été confiés, un an seulement après mon retour, et sont morts. Lors de la 10ème édition, les tributs qui m’étaient confiés étaient plus âgés que moi. C’était extrêmement gênant, même pour moi. Ils étaient tous morts, ceux qu’on m’avaient confiés. Tous sauf une. La première édition en tant que mentor, j’avais culpabilisé, mais au final, s’ils étaient morts, c’est qu’ils n’avaient pas assez envie de gagner. Chleo, elle, avait vraiment la rage de vaincre. Enfin bon, je suis pas là pour raconter sa vie à elle, tout ce que je peux dire c’est qu’elle avait été incroyable tant devant les caméras qu’à l’arène. La preuve, elle a gagné. Cette année écoulée a été assez calme, mais maintenant, nous étions repartis dans la fièvre des Hunger Games. Tellement enivrants, tellement… excitants, c’est ça, les Hunger Games. Imaginez un nouveau vainqueur de la part du District 2… On montrerait qu’on est vraiment les meilleurs. Bref. J’ai actuellement fini cette mini-autobiographie de moi-même, et je pose ma plume. Le Capitole m’appelle, même si j’ai aucune envie d’y aller. De plus, cette année encore, je vais devoir laisser ma lame à la maison. Pas le droit aux armes, dans le Capitole, sauf dans l’arène. Ils ont peur des agressions. Bon, j’ai dit que je posais la plume, alors je la pose. Pour de bon, cette fois.
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Dernière édition par Nathan Thunder le Mar 18 Déc - 20:23, édité 4 fois |
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