Voyage en train

Le train nous attend, Aryel et moi, nous sommes accueilli par la stupide présentatrice, Néophyne je ne sais plus quoi... elle nous sourit et nous invite à entrer dans le train, ce dont je n'ai absolument pas envie, j'observe ce train un instant, il semble encore plus luxueux de près, j'ai rarement vu quelque chose d'aussi immense, il est signé du capitole ou grandeur, richesses et puissance sont les maîtres mots. Moi et Aryel entrons à l'intérieur, les compartiments sont nombreux et vastes, j'ai presque l'impression de me retrouver dans la maison d'une personne riche, mais non, il s'agit bien d'un train, des tables soigneusement dressée s'y trouvent ainsi qu'un gigantesque espace pour s'y déplacer à notre guise, un écran est également placé en haut au milieu du compartiment, on y trouve même une radio... on nous offre le luxe avant de nous envoyer à la mort, voila c'est ça.

Je m'installe sur une table proche, tout près des vitres ou je peux apercevoir une dernière mon district et ces gens qui s'y trouvent, je leurs fais un dernier signe d'au revoir et ils nous fixent tristement, nous, les condamnés à morts. J'ignore si mon district va me manquer, je ne connais rien d'autre que celui-ci et d'un autre coté, la misère, la puanteur, l'hypocrisie, l'injustice et les dures conditions de travail ne me manqueront pas, je pense un instant à mes proches puis chasse cette pensée de mon esprit, je les ais revus pour la possible dernière fois, j'ai laissé échapper des larmes et ce fut la dernière fois.

Alors que le train s'apprête à démarrer, je me sens étrangement serein, je n'ai pas encore vraiment l'impression de réaliser ce qui est en train d'arriver, passé le choc de mon nom moissonné, je n'ai pas vraiment peur et c'est justement ça qui m'inquiète. Je jette un dernier oeil aux usines et maisons du district qui défilent pendant que le train commence sa route, à peine le sentiment de nostalgie vient en moi que nous quittons déjà le district, il n'est plus qu'un petit point bien loin dans le paysage. Je suis impressionné par la vitesse de ce train, là ou chez nous, les moyens de transports sont toujours horriblement lent et mal fabriqués, je me rappelle mon bref séjour dans le Un, le district le plus proche du capitole, j'ai au moins déjà un aperçu de ce que ressemblera réellement le capitole, quoique les avancées technologiques sont parait-il, nettement plus avancée que dans n'importe quel district. Pour le peu que j'ai pu voir du capitole, rien ne me plait vraiment, tout sonne surfait et faux.

L'accompagnatrice est la pour me plonger hors de mes rêveries et me rappeler ma malheureuse situation actuelle... elle nous parle du fait que notre mentor n'arrivera que bien plus tard, que nous allons être émerveillé de notre séjour au capitole, de toutes les choses que nous allons découvrir etc... pire que ça, cette espèce d'énergumène nous donne des conseils pour se mettre les sponsors en poche, ce qu'elle peut me barber, j'ai envie de la renverser hors du train histoire de s'en débarrasser, je me demande ce qu'il se passerait dans ce cas... je serai probablement punit en étant directement tué dans l'arène. Aryel a l'air tout aussi désintéressée par ce qu'elle raconte que moi, nous nous regardons un instant mais nous ne disons rien, le voyage continue, nous sommes en route pour le capitole, vivement qu'on en finisse.


Fin du voyage :

Le voyage touche à sa fin, j'ai pu goûter aux plaisirs du caviar, du film " A night in the Capitole" et à la chanson mielleuse et niaise d'une certaine Iris Delnova, je ne m'y connais pas grand-chose en musique mais je peux quand même dire que les goûts capitoliens sont atroces, sérieusement, comment peut-on aimer ce genre de musique niaise ? Jusqu'à ma mort je me poserai cette question. Alors que le voyage prend fin, j'aperçois le capitole, c'est encore plus luxueux que le district Un, je dois dire que je suis impressionné... des tonnes de bâtiments s'y dressent , certains plus anciens, d'autres récents, des tours immense surplombent la colline, cette vue du capitole est à la fois impressionnante et dérangeante, c'est tellement un autre monde que le district Huit, j'ai vite l'impression d'être un étranger qui s'apprête à passer ses derniers jours dans un monde qui est à l'opposé d'ou j'ai grandis et vécu, ce sentiment est plutôt désagréable. Nous sommes arrivés à la gare, je peux apercevoir plusieurs capitoliens qui trépignent d'impatience à l'idée d'apercevoir les futurs tributs, je constate que notre chère accompagnatrice, Néophyne, n'est décidément pas une exception en matière d'habillement... ils sont tous comme ça au capitole, le nez refait, le corps d'une plastique irréprochable... les femmes m'impressionnent, se croient-t-elles au carnaval ? J'en ai bien l'impression, avec leurs visages saupoudré de blanc et leurs cils couverts de mascara. Cette vue de la population ignorante et superficielle du capitole est loin d'être agréable, en fait, j'ai hâte de me retrouver la ou on résidera.

Nous sortons du train discrètement, j'aperçois au loin une foule dense se condenser pour venir nous voir,nous, les animaux. Nous arrivons rapidement à la résidence des tributs, nous sommes emmenés dans une luxueuse limousine, je remarque que les rues sont tout simplement immense ici. Arrivés à la résidence, j'ai l'impression d'être dans un monde parallèle, étant dé scolarisé depuis plusieurs années, j'ignore totalement quel est l'engin dans lequel moi,Aryel et Néophyne sommes en train de monter, tout est métallique et nous moutons brusquement, drôle de sensation.

Nous arrivons à notre résidence, laquelle est on ne peut plus luxueuse, Néophyne nous explique que étant donné la (relative) pauvreté de notre district, nous avons droit à une résidence fortement luxueuse, nous pouvons également manger à notre faim, qu'en bon nous sembles, elle nous indique les lieux importants et nous prévient avec un sourire gêné et faussement soucieux qu'il est possible que notre mentor n'arrive pas , si c'est le cas, nous voila grandement désavantagé par rapport aux autres tributs, tant pis, je ferai avec. Néophyne nous quitte, nous laissant "profiter" des luxes et des plaisirs présent aux capitole... bon débarras !

Nous voila seuls, Aryel et moi, elle fait le tour de la résidence et semble fascinée par ce qu'elle y trouve... je ne serai pas étonné qu'elle joue avec le feu en volant quelques objets précieux de la résidence, je suis sûr qu'elle n'a pas changé et qu'elle cédera tout autant à ces envies de kleptomanes. J'observe la superbe vue du capitole, du haut de ma résidence, je dois avouer que toutes ces lumières sont impressionnantes... tout est impressionnant au capitole, pourtant, j'ai envie de rentrer chez moi, il y règne une ambiance étouffante ici, je déteste les capitoliens et leurs mentalités. De toutes façon, me voila enfermé, inutile de tenter de m'enfuir, un champs de force me renverra directement la ou je suis censé être : dans ma résidence, en attente de la mort.

Aryel était encore toute retournée de cette confrontation avec ses parents, ces salauds du capitole l'avait sans doute faire exprés... On la mena au côté de Lucas dans un train à l'apprence exterrieur des plus banales, ce ne fut que lorsqu'on la fit entrer qu'elle eut la souffle coupé. Tout ce luxe... Cela lui rappella les oies qu'on gave avant de les tuer, elle eut un petit rire amer.

Il ya avait un petit bar, Aryel en parfaite petite délinquante aimait boire de l'alcool, surtout qu'elle n'était pas saoul rapidement, elle se servit un rasade de Rum et vida son verre d'un trait, quel goût! Elle n'avait jamais goûter une telle merveille! Elle alla pour se resservir un verre avant de s'arrêter au milieu de son mouvement en sentant un regard lourd, en levant les yeux elle vit... Comment elle s'appelle déjà? Néopi... Néophy... Ah oui! Néophyne! Elle vit donc Néophyne la fixer d'un regard lourd de sous entendu. Aryel finit de se servir son verre et le vida d'un trait avant de regarder la femme avec un air de défis. Elle n'avait pas interrêt à lui dire quoique ce soit, déjà qu'elle l'avait condmnée à une suite sans avenir, alor lui interdir de boire du bon Rhum et elle allait creuvé.

Néophyme se mit alors à leur faire tout un sermon inutile... Sur le tournois, elle n'y connaissait rien, elle parlait de chose futile et elle parlait même d'un victoire possible, Aryel ne put retenir son ricanement en entendant "et si vous gagnez..." Elle finit par ne plus écouter et alla s'asseoir à côté de Lucas, la femme continuait à parler mais Aryel n'écoutait pas.

La fin du voyage arriva lentement au gout d'Aryel, bien qu'elle ait dormit durant les trois quart du voyage sur le canapé de cuir noir, couverte avec un plaite aux couleurs vives elle regarda par la fenêtre en se frotant les yeux et en bâillant, elle posa sa main sur le bras de Lucas, il regardait le capitole le regard émerveillé avec une pointe de dégoût.

Aryel était comme lui, elle trouvait ça magnifique, mais en même temps prenait conscience de l'ironie de la situation, comment ces gens allaient les noyé dans le luxe, pour ensuite les regarder creuvé comme des chiens dans une forêt, jouissant de leur position pour décider de vie ou mort de chacun des 24 rtributs dont elle fesait partie, elle trouvait ça horriblement barbare, mais elle n'y pouvait rien et elle détestait ce sentimnets d'impuissance, son seul et unique pouvoir était de faire de son mieux pour vivre et leur en boucher un coin. Aryel Siffla de frustration. Elle regarda Lucas et se rendit compte qu'il avait l'air horrifié, mais il n'y avait pas que leur sort qui lke préoccupait, il faudrait qu'elle pense à lui demander ce qu'il s'était passer pendant qu'elle dormait.

Il furent emmené à l'exterrieur, Aryel fut choqué par l'accoutrement des capitoliens, même au carnavale dans son district les gesn étaient moins déguiser. Elle bâilla de nouveau. Il furent emmener dans leur demeure, au huitième étage. La femme les laissa sur quelques paroles inquiétante concernant leur mentor. Aryel s'en foutait reoyallement. Elle se mit à faire le tour de l'apprtement, magnifique mais beaucoup trop grand pour deux. Elle arriva par derrière sur Lucas qui regardait pas la fenêtre. Elle se mit sur la pointe des pieds et passa sa tête au-dessus de son épaule au niveau de son oreille.

"Bouh!"

Il sursauta légèrement.

"oh, ne va pas me faire croire que tu ne m'avais pas vu! Et arrête de tirer cette tronche on va creuvé, autant en profiter,"

Elle alla chercher une nouvelle bouteille de Rhum, elle en bu une longue gorgée et tandit la bouteille de verre à Lucas. Comme il la regardait dubitatif elle rit. Elle fit de nouveau un tour de l'apprt, elle vit des bijoux en or qu'elle fourra dans sa poche, oui, elle était comme ça, elle n'y pouvait rien... Elle trouverait bien le moyen de les envoyer à sa soeur...

Aryel était malheureuse, elle voulait juste profiter de ce temps avec un mec qu'elle considerait plus ou moins comme un ami.

- Tiens, tu peux te soûler comme tu veux, moi ça ne m’intéresse pas... et je vois que tes instincts e cleptomane ont pris le dessus.

Elle se fige, se retourne et le regarde, son regard se voile.

-Ecoute moi bien morveux, ces chiens du capitoles vont se délécter du massacre dans lequel on va tous les deux mourir, il ne faut pas se voiler la face. Alors je ne vais pas me priver de leur voler ces quelques bijoux et de les envoyer à ma soeur parce que je suis tout pour elle et que je ne suis plus là. Alors si tu as quelques chose à redire tu le gardes dans un coins de ta tête. Piger?

Elle le regardait méchament, ce garçon était bien étrange, malgrés le fait qu'il allait être envoyer à la mort il gardait ses principes. Elle attrapa la bouteille de rhum on put une longue gorgée et attrapa une pomme dans laquelle elle mordit avec vigueure. Elle aimait le goût de l'alcool et avait la chance de ne pas se saoûler avec facilité donc, elle pouvaiot boir, elle connaissait ses limites, c'était le principal.

- Si tu pouvais être plus respectueuse ça m'arrangerait, je ne suis pas ton chien. Après, je m'excuse pour ce que j'ai pu dire, je comprend que ça ait pu te blesser.

Aryel le regarde les yeux rieurs. Non, il ne l'avait pas blesser, mais mise en colère, ça, oui, avec ses principes respectables il avait raison la plupart du temps, mais ici, il allait devoir apprendre à être moins polis. Elles'assis à une chaise et attrapa une pomme qu'elle lança au jeune homme pour tester ses réflèxes. Il la rattrapa sans difficulté et lui lança un regard interrogateur. Aryel avait la flemme de lui expliquer ses intentions. Si leur mentor ne venait pas, il faudrait qu'il s'aide pour s'entraîner, qu'ils discutent tactique et tout... Mais elle n'avait pas envie de lui dire qu'elle comptait sur lui, comme il devrait compter sur elle pour cette partie du jeu.

Aryel haïssait les capitoliens, ils allaient se délecter d'un spectacle sanglant ou des enfants allaient mourir. Des enfants bordel! Ils n'avaient encor rien vécu! Les plus jeunes n'avaient que 12ans! Elle, elle s'en fichait bien de mourir, elle avait vécu sa vie à 200à l'heure, mais ces enfants... Elle retînt un grognement qui aurait paru animal si elle l'avait laisser sortir et serra la machoire. Néanmoins, elle n'allait pas leur faire de cadeau, elle n'en avait pas le droit. Elle n'avait pas le droit de priver ses enfants de toutes dignité par pure caprice. Elle n'avait jamais eu de conscience elle n'allait pas commencer à en avoir maintenant.

Son regard devait être terrifiant car Lucas la fixait... Etrangement. Elle avait peur, bien plus peur qu'elle ne le voulait, elle était frustrée par cette peur. Pourquoi commencer à avoir de la peur dans un tel moment? Elle serra le point, broyant par la même occasion sa pomme. Elle avait peur, oui, mais elle se dit que ç'aurait été de ne pas avoir terrifier qui aurait été étrange, alor elle cessa d'être frustré, elle se laissa gagner par la colère. Il fallait qu'elle soit en colère, pas frustrée, en colère, la frustration ne sert à rien dans l'arène.

Elle regarda de nouveau Lucas. Oui, ils allaient devoir s'entraîner ensemble pour arriver à quelques chose.

-Lucas... Il va falloire qu'on travail en équipe jusqu'à l'arène.

Dit-elle tremblante de rage. Comment elle allait faire? Tuer un enfant, de sang froid? Elle n'en serait peut-être pas capable... Elle ne voulait pas y arriver, ces enfants, elle allait apprendre à les connaître... Ces enfoirés du capitoles allaient les faires se connaître et ensuite, les envoyer se battre les uns contre les autres sans aucun scrupules... A croire que même leur coeur avait été silliconné.

- ... au moins si on se retrouve à s'affronter, ce sera un combat honnête, on connaîtra les points forts et points faibles de chacun. Ce sera un combat honnête.

Aryel le regarda, un combat honnête? Comment un combat peut-il être honnêtre en sachante d'avance qui gagnera? En connaissant la force et la faiblesse de l'adversaire? Non. il ne serait pas honnête, et il n'y aurait pas de combat, Aryel se refusait cathégoriquement à combattre contre un ami. Bien qu'elle en en ait peu, elle avait des principes, et ne pas tuer ses amis en fesait partis, il la tuerait si ça l'amusait, mais elle ne se battaity pas avec ses amis. Elle tuerait, ça oui, c'était sûr, elle y serait obligé, mais elle ne tuerait pas Lucas. Elle tuerais des enfants de 12 ans, des jeunes de son âges mais Lucas, elle ne le tuerait pas, elle refusait de se battre avec lui en dehor des entraînements. Et paf!

-Ah oui, honnête? Te crois-tu capable d'être honnête avec moi après avoir été mon partenaire? Te crois-tu encor capable de te battre avec moi autrement que pour t'entraîner? Moi, au risque de te paraître faible, je ne te tuerais pas, tu me tueras si tu en as envie mais je ne battrais jamais comme ça avec toi.

Répliqua-t-elle froidement. Oui, il la tuerait, sans doute, surtout après qu'elle lui ait dit qu'elle elle serait incapable de se battre contre lui, il la tuerait, le plus vite sera le mieu, quelqu'un de moins sur la route de la victoire, c'est pas mal non? Elle lui lança un regard, qui disait clairement, toi tu me hais, moi je t'adore. Oui, elle l'adorait, ce garçon arrivait à la faire rire, à la faire s'énever, a la faire éprouver des sentiments. Elle l'adorait ça oui, c'était son ami et elle ne pourrait en aucun cas se résoudre à tuer son seul ami. Mais elle ne lui montrerait pas qu'elle l'appréciait, alors elle se leva en vitesse et lui sauat limite dessus pour lui déposer un baiser sur la joue avant de lui murmurer.

-Mais si tu veux que je me batte, fais moi te détester, par contre si tu tiens à la vie ne change rien.

Bon OK c'était ultra grillé mais elle n'avait rien trouvé de mieu à dire alor elle lui lança juste un regard froid puis éclata de rire.

-Bon elle est pas ultra relax l'ambiance là... Tu veux faire quoi?

Non en effet, elle non plus ne savait pas quoi faire, comme elle était debout elle se pencha en arrière dans un pont impressionant puis se releva et se retrouva debout sur ses mains elle se releva en bâillant. Elle se sentait fatigué bien qu'elle est envie de se défouler. On lui avait souvent dit qu'elle était comme un chevreuil, souple, rapide, discrète, gracieuse mais niveau force... QUE DALLE!!! elle allait devoir travailler ses atouts au lieu de vouloir déveolpé cette force en trop peu de temps.

Aryel le regarde, oui il avait l'air partagé...

- Un combat en connaissant tout de l'autre, j'appelle ça honnête car personne n'est désavantagé. Ensuite, tu pense peut-être que tu ne pourras me tuer et sache que non, je ne souhaite pas du tout te tuer mais que fera t-on si il ne reste plus que nous dans les jeux ? Si on ne s'entretue pas, le capitole s'en chargera avant nous et d'une manière encore plus cruelle, tu a vu comment sont ces gens, ils ne cherchent que du spectacle, du sang. Ensuite, non je ne veux pas te détester mais...

Aryel se figea il n,'avait ni tort ni raison. Elle, elle le savait s'ils restaient seuls à la fin, c'est lui qui gagnerait. Elle ne pourrait se résoudre à le tuer. Bon ok, elle n'avait surtout pas envis de se salir les mains avec le sang de ce... Non, non, il ne fallait pas qu'elle se voile la face, elle l'appréciait voilà tout.

-Je sors, j'ai besoin de prendre l'air.

Aryel se figea et réflechit aux paroles du garçons, il n'avait d'ailleur pas finit sa phrase... Non, il n'irait nul part. Aryel, pour une fois dans sa vie allait jouir des privilèges de faire un caprice. Elle sourit de toutes ses dents, un sourires joyeux, de ceux qui font fondre les coeurs de glaces. Il se leva et elle s'approcha de lui.

-Ah? Tu veux sortir? Oh non! Reste! Tu n'as même pas finis ta phrase! et l'air est trop poluer ici...

Elle se figea en entendant sa voix, raté! elle avait l'air d'une aguicheuse! Elle fronça les sourcils.

-En fait, je devrais plutôt dire un truc comme: Non, tu reste là! On a pas finis de parler! Mais en fait, je n'en sais rien parce que je veux juste pas que tu me laisses toute seule.

Dit-elle les sourcils froncés, oui, elle ne savait vraiment pas comment prononcer sa demande, elle devait avoir l'air ridicule mais piurtant en regardant bien le jeune homme, elle vit ses joues rosirent, et elle rougit à son tour.

-Ah bon sang je suis ridicule si Ethan me voyait il ferait une de ces crises de...

Elle s'était figé... Ethan, son amour, elle n'allait plus jamais le revoir... Non ilo ne fallait pas être défaitiste, elle voulait qu'il la regarde sur l'écran géant et qu'il soit fier de ce qu'elle ferait, alor elle reprit la parole.

-Il ferait donc une belle crise de jalousie.

Finit-elle joyeusement, bien qu'au fond d'elle elle soit bien plus triste de perdre Ethan que de mourir prochènement... Mais au fond, quand elle serait morte, ce serait Ethan qui la perdrait, bah! Il trouverait sans doute une autre petite amie, bien plus mignone docile qui ne lui en fasse pas voire de toutes les couleurs! Elle rit de bon coeur au souvenir de ce qu'ils avaient fait ensemble.

-Tu crois qu'on peut commencer à s'entraîner? Ici je veux dire. Enfin j'ai un peu peur pour la cérémonie... J'espère qu'ils ne vont pas nous habiller à la mode de chez eux...

Ajouta Aryel très sceptique à l'idée de porter des vêtements de carnaval...

Aryel sourit, elle le comprend dans le fond. Elle non lus n'a pas envi de se faire d'ami, puisqu'elle allait le perdre. Elle bâilla et recula, elle lui fit une courbette.

"Sort donc mon cher... J'ai hâte de voir qui nous aurons comme adversaire..."

Dit-elle en s'étirant. Comme il la regarde incrédul elle le pousse vers l'ascensseur et lui donne un coup de pieds dans les fesses.

"Bon tu vas pas passer ta vie ici tu voulais pas sortir? Alors dégage!"

Il sort toukours un peu secoué et Aryel s'affale sur le canapé, s'assoit et se met en boule les genoux replié. Elle avait si peur, elle ne connaissait pas cette endroit et s'y retrouvait seule. Elle était seule. Lucas n'était pas Aria. Elle allait passé ses quelques jours seule.