Elina Parker.

Il parait qu'il faut obligatoirement des amis, des gens à qui se confier, et même si j'ai du mal à m'attacher aux gens, je crois que je t'aime bien en fin de compte. Tu as toujours été là depuis que ma mère et ma petite soeur sont mortes, tu as vécu en même temps que moi cette tragédie, et plus encore tu m'as soutenu. Depuis tu essayes de me faire revoir la vie en couleur, même si le chemin risque d'être plutôt long et sinueux. J'ai peur à le dire, mais je crois que je me suis attaché à toi et que tu deviens ma meilleure amie, l'une des seule que j'ai en réalité.

Ethna Knight.

Ma chère marraine. A vrai dire, je ne sais même pas pourquoi mes parents t'ont choisis pour avoir un rôle aussi important dans ma vie alors que tu n'avais que quatre ans quand ils ont pris cette décision. Quoi qu'il en soit je ne la regrette pas. Même si je ne me souviens plus très bien du lien que l'on avait avant que ma mère ne décède, je sais que l'on était très proches, voir complices et on s'entendait comme de joyeux lurons. Mais ce n'est plus vraiment pareil. Depuis la mort de ma mère et que tu as gagné les jeux, notre lien a quelques peu changé. Cependant tu as sentis que je n'étais pas bien et tu as décidé de venir m'aider lors de mes entraînements physiques au cas où je serais envoyé dans l'arène. Tout a changé, mais on reste les mêmes au fond, marraine et filleul pour la vie.

Luna Nina Johnson.

Luna. Histoire de combat non ? Je n'ai jamais été proche d'elle, on s'est parlés quelques fois à l'école, ou pour tuer le temps, mais on ne sait rien de l'autre, pas une relation fusionnelle, ou même une petite histoire de copain, rien du tout. Je ne l'aime pas vraiment, du moins c'est ce que je crois, mais au fond on est pareil, identiques, comme si on devait toujours se battre pour trouver la paix intérieure, et ça me fait stresser, car je n'ai jamais vu une fille qui me ressemble autant. Seulement on a été sélectionné tous les deux pour les quinzièmes Hunger Games, c'est moi ou le sort ne m'est pas favorable ? Ne croit pas que j'hésiterais à te tuer, ce n'est pas le cas.

April Haydon Gordon.

Je t'aimais, je t'aime et je t'aimerai, tels sont nos états d'esprits, on était ensemble avant que ma mère ne meurt, on coulait le parfait amour, mais j'ai été brisé et je ne te voyais plus, je voulais juste essayer de faire passer mon hyperactivité et on s'est séparé, ou plutôt je t'ai quitté, pour éviter de te faire du mal, car je suis devenu violent. Mais je l'aime toujours, je pourrais mourir pour elle, même si je me suis éloigné d'April, je veille sur elle autant que je peux, car c'est mon âme soeur et je le sais.

Lucas Dnierp.

Lucas est le tribut du district huit. Même si je ne préfère pas m'attacher, je dois quand même essayer de me faire un minimum d'amis dans l'arène pour pouvoir me couvrir au cas où. J'ai donc décidé d'aller au même atelier que ce garçon pour discuter un peu, ensuite on s'est entraîné au combat mais seulement après on a vraiment parlé. On est pas en alliance certes, mais si on a besoin d'aide pour tuer les carrières au cas où, je sais où aller sonner.

Léo Lefoudre.

Je sais bien que l'on est dans les Hunger Games et qu'un seul d'entre nous s'en sortira vainqueur, pourtant, aucun d'entre nous ne mérite de mourir, pas même les tributs de carrière même s'ils adorent les jeux, en réalité, ils ont été élevé pour, mais je n'ai jamais compris, sauf que là n'est pas la question. Toi, Léo, je ne sais pas pourquoi, mais je te laisserais en vie si on se croise une fois, mais la seconde fois, je n'hésiterais pas. Un petit délais, ce n'est pas négligeable.

Eron Magdabel.

En réalité, je ne te déteste pas, loin de là, je ne veux pas ta mort, du moins pas directement. Même si on s'est légèrement embrouillé pour une histoire sans importance, ce n'est rien. Je m'en fou de toi, pourtant une partie de mon être réclame la vue de ta mort, peut-être mon côté violent et paranoïaque, mais je n'y peux rien, je veux absolument voir la façon don tu mourras dans l'arène, et si je peux t'aider, je ne le ferais pas, ne compte pas sur moi. Par contre, je me refuse de te tuer de mes propres mains, ça m'horrifierait au plus haut point.

Chleofee Sullivan.

La mentor d'un district de carrière qui s'intéresse à un tribut d'un district moyen ? Y a de quoi faire baver les gens. Je me fiche de ses raisons, mais le fait qu'elle ait vu ma moisson et m'ait espionné lors de ma première journée d'entraînement me ravis plutôt. Parce que ça veut dire que j'en vaux la peine. Elle a même osé m'aborder sur le toit à la vue de tous. Je n'ai pas cherché à comprendre, pourtant, ça m’intrigue, mais bon passons, je l'ai interrogé sur son passage devant les juges pour en apprendre un peu plus histoire de les captiver, c'est tout ce qui m'importait.

Seed Holt.

Je ne sais pas ce qui m'a prit, je me sens redevable envers toi, comme si je voyais en toi la petite soeur que je devais avoir, non ne le prends pas mal, c'est juste mon côté protecteur qui ressort. Depuis notre discutions sur le toit, j'ai décidé de t'aider, je te prendrais sous mon aile dans l'arène et je veillerais sur toi. Je te promets que je ne te ferais jamais de mal et qu'avec moi tu seras en sécurité, tu ne mérites pas d'être ici.

Elie Anderson.

On est dans les Jeux de la Faim, pas là pour faire copain copain avec les autres tribus, je dois penser à sauver ma vie avant de penser à celle des autres. On a très bien décelé les capacités de l'autre, coriaces, et c'est pas le peu de le dire, petite provocation, jeux à qui écrasera l'autre lors des entraînements, celui qui tuera le plus vite, celui qui aura les meilleures notes, gamin n'est-ce pas ?