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| Sujet: Caelyn - Bring Me To My Life *Completed* Mar 31 Juil - 1:18 | |
| Caelyn Stonwen Date de naissance et âge : 30 Octobre - 19 ans District / Capitole : District 2 Situation familiale : Seule et c'est tout. Métier (si adulte): Musicienne Groupe (Tribut etc...): Population Avatar : La jolie Kathryn Prescott
Physique & Caractère
Caractère :
We're going off tonight To kick out every light Take anything we want Drink everything in sight We're going till the world stops turning While we burn it to the ground tonight Burn it to the ground - Nickelback
‘’T’es dégueulasse’’ ‘’ J’ai jamais connue pire que toi, conasse’’ ‘’Si j’apprends que t’as couchée avec mon mec, t’es morte’’ ‘’Qu’est-ce que je vais faire de toi, t’es comme ton père’’ ‘’Je te hais’’ ‘’Agace, fille facile, putain’’ ‘’Je te veux, me veux-tu ?’’
Je ris et rien d’autre.
On me dit souvent que je suis…spéciale. Croyez-moi, ce n’est pas une qualité loin de là, c’est ce qu’on dit des gens qu’on n’arrive pas à qualifier la plupart du temps; souvent détestable voir même horrible. Je ne le cache pas de toute façon, je n’ai jamais été une personne bien et ce même lorsque que j’étais une gamine. Certes, à première vue je suis la charmeuse de service, débordant de confiance en moi et prête à tout pour arriver à ses fins. Certains disent que c’est de la détermination, d’autres de l’arrogance. Je penche pour le deuxième personnellement. Derrière cette analyse en un seul coup d’œil, se chance une personnalité beaucoup plus tordue, beaucoup plus complexe. D’un côté je suis une manipulatrice. Je vis pour le contrôle, j’aime avoir le pouvoir de foutre la vie des gens en l’air. J’aime voir les gens souffrir émotionnellement et physique, je crois que c’est mon côté psychopathe. Il paraitrait que ça se fait soignée, je préfère encore m’y plongée à fond. Les gens me détestent la plupart du temps. S’ils ne me détestent pas, c’est que je n’ai pas encore eu la chance de les prendre au piège.
S is for the simplety E is for the ecstasy X is just to mark the spot' Cause that's the one you really want Yes, sex is always the answer, it's never a question 'Cause the answer's yes, oh the answer's yes Not just a suggestion, if you ask a question Then it's always yes, yeah S.E.X - Nickelback
Je suis connue comme étant la déchéance à l’état pure. Sexe, drogue, alcool et pire encore. Rien de toute cela ne me fait peur; c’est mon quotidiens. Je l’ai voulu et j’aime ça. Gars où fille, ça a peu d’importance; tant que j’ai du plaisir. Non, je ne suis pas une fille facile. Non, je ne suis pas une agace non plus. Je choisis mes proies, ne couche pas avec moi qui le veut, ne touche pas à mes précieuses petites bouteilles ceux qui ne le méritent pas et ne planent pas ce que je ne veux pas qu’ils planent. Merde on ne vit qu’une seule fois et j’suis complètement tordue de toute façon; j’crois pas que je puisse empirer véritablement mon cas.
Where did I go wrong, I lost a friend Somewhere along in the bitterness And I would have stayed up with you all night Had I known how to save a life How to save a life – The Fray
Il y a un seul problème dans tout ça, c’est la facette caché que personne ne voit de ma personne. J’aime. J’aime et j’ai peur d’aimer. Alors quand j’aime, je vais encore plus mal, pour me protéger. Et voir la personne que j’aime avoir ma, ça me fait souffrir. Au fond, j’ai mal moi aussi et je veux oublier tout ça. Je vous l’avais dit mes poulets, je suis spéciale.
Physique:
I wanna love you, but I better not touch (don't touch) I wanna hold you, but my senses tell me to stop I wanna kiss you, but I want it too much (too much) I wanna taste you, but your lips are venomous poison Poison - Alice Cooper
Je suis attirante, je le sais et j’en profite. C’est mon physique qui m’a valu la plupart de mes surnoms d’ailleurs : La veuve noire, le poison et j’en passe. Je dégage cette sorte d’aura de charme et de danger qui attire les gens. Je suis magnétique. Je sors du lot, j’aime être hors du commun. Je suis toujours là à me balader, cigarette au bec où bouteille à la main, avec Gabriel ma guitare bien attachée dans mon dos.J'ai une démarche lente de nonchalante, un brin sexy sans m’en rendre compte. On me remarque quand je marche dans la rue, je détonne du reste de la population banal du district.
Le plus marquant est surement la couleur de mes cheveux, du jamais vu dans le district sauf sur une personne avant moi; mon père. Ils sont rouges. Pas roux, pas brun cuivré; rouge comme une pomme bien mûre. Ce n’est pas de la teinture, c’est bel et bien ma couleur naturelle. C’est le genre de chose qu’on voit seulement chez la population de capitole, pas étonnante que je détonne autant ici. Une longue chevelure rouge cerise qui flotte dans le vent continuellement, c’est difficile de ne pas le remarquer. Mes yeux sont verts. Pas un vert forêt, ni vert olive et encore moins un vert bleuté, mais plutôt un beau vert lime électrique. Ma peau est blanche comme la neige, probablement parce que je bois trop et ne mange pas assez. J’ai de belle lèvre pulpeuse à l’apparence toujours humides. J’ai des courbes que mes tenues vestimentaires ne cachent pas vraiment.
Je suis tel un fruit interdit que plusieurs convoitent, mais très peu atteignent.
Histoire(en 15 lignes minimum)Naissance:
I've found a reason for me To change who I used to be A reason to start over new and the reason is you The Reason - Hoobastank
À la base, comme tout le monde j’imagine, je suis née. Je suis la fille de deux parents, ça prend encore deux personnes pour faire un bébé non? Deux personnes, mais pas obligatoirement de l’amour pour autant. La preuve, j’étais un accident et probablement non désiré, même si ma mère n’a jamais voulue l’avouer. Ma mère, Anne, était une personne bien, mais trop jeune pour avoir un enfant. Âgée de 19 ans à peine, elle venait tout juste d’hérité de la boulangerie de son père à sa mort lorsqu’elle a fait la connaissance de mon papa. Elle avait la réputation d’être une fille calme et posée avec le cœur sur la main. Cela nuisait quelque peu à son commerce d’ailleurs, elle donnait autant de pain gratuit qu’elle en vendait au bout du compte. Gabriel, mon père, quant à lui était un musicien nomade de 23 ans, de passage dans le district ma mère l’avait recueilli gratuitement pour qu’il dorme dans un bon lit plutôt que sur le sol de la grande place.
Il avait été attirée par sa douceur et sa grâce, elle avait succombée pour son charme fou et l’interdit qu’il représentait. Ce n’était peut-être pas un coup de foudre, mais il y avait un chimie physique entre eux que ma mère tentait de combattre, alors que mon père au contraire tentait de faire exploser. Elle ne voulait pas s’abandonner dans les bras d’un inconnu de passage, il lui a promis qu’il ne serait pas seulement cela. C’est sur la table de la cuisine que ma mère a rendu les armes. Des promesses faites par mon père qui leurs ont tout de même accordé 9 mois de bonheur et une fille.
Je suis née une durant une douce journée d’automne, maman avait tous justes 20 ans. Papa et elle étaient comblés, une petite fille à eux. Le portrait craché de mon père, ses yeux, ses cheveux et son menton. Suite à ma naissance maman se plaisait à croire que leur histoire d’amour hors de l’ordinaire deviendrait peut-être normale à présent. Qu’avec un enfant papa oublierait ses histoires de musique et l’aiderait avec la boulangerie, qu’on formerait une petite famille heureuse pour toujours. Elle avait tort. Les promesses, ça ne veut jamais rien dire.
Il est parti durant la nuit, quelques jours après ma naissance. Maman dormait du plus profond sommeil et moi aussi. À son réveil, maman était seule dans son lit. La pièce ne comportait plus aucune trace de mon père. Le reste de la maison non plus d’ailleurs sauf une petite fille qui dormait bien sagement dans son landau, une guitare bleu qui avait été laissé dans la chambre de l’enfant et un mot griffonné à toute hâte sur un vieux sac de farine en papier.
‘’ Je suis comme un oiseau; j’ai besoin de voir du pays. Je ne peux me retenir ici plus longtemps; je n’ai jamais été fait pour ça. Elle aura la meilleure mère qui soit’’
Mon père avait compris que s’il restait plus longtemps, partir serait encore plus difficile. Peut-être qu’il a aimé ma mère, peut-être que non. Chose certaine, il avait fait des promesses en l’air et ma mère ne s’en est jamais réellement remise.
Enfance:
Oh, baby, baby, it's a wild world It's hard to get by just on a smile, girl Oh, baby, baby, it's a wild world I'll always remember you like a child, girl Wild World – Cat Stevens
‘’Tu es comme ton père, qu’est-ce que je vais bien pouvoir faire de toi’’
La phrase qui a surement marqué mon enfance. Au plus grand drame de ma mère, dès mon plus jeune âge j’ai commencé à m’intéresser à la guitare beaucoup plus qu’à la fabrication du pain. En fait quand je n’avais pas le nez fourrez dans un plan foireux pour voler les bonbons du voisin, j’avais les mains collé à Gabriel. Oui, j’ai donné le nom de mon père à ma guitare. J’avais 5 ans quand j’ai décidé de la nommer comme ça. Je sais une guitare c’est féminin, mais on s’en fou. Ma mère essayait de me convaincre que la musique c’était mal, de ne pas me lancer la dedans. Elle me forçait à passer de longue journée à la boulangerie, elle s’épuisait à essayer de me montrer un métier qui ne m’importait pas. En fait à la boulangerie je passais le plus clair de mon temps à faire des petites boules de pâtes et à les lancés aux clients. J’étais déjà une peste manipulatrice à l’époque, va savoir pourquoi.
Je dirais qu’elle a complètement laisser tomber lorsque je suis entré à l’école. J’avais 6 ans, on m’en donnait 8 à cause de mon physique. Ça été comme ça toute ma vie d’ailleurs, j’ai toujours eu l’air plus vielle que mon âge, ce qui est loin d’être un désavantage au fond. Bref, elle a laissé tomber parce qu’elle était trop occupé à discuter avec les professeurs de mes problèmes multiples.
‘’Votre fille aime faire mal aux autres’’ ‘’Votre fille est brillante, mais utilise son ingéniosité négativement’’ ‘’Votre fille est surtout amie avec des garçons deux ans plus vieux qu’elle, c’est étrange’’ ‘’Votre fille ne fait aucun devoir’’
Enfin bref, rien de particulier à raconter sur mon enfance jusqu’à mes 10 ans disons. J’avais l’air d’en avoir 14 ans, ça déplaisait à ma mère et j’adorais ça. J’avais des courbes, j’étais déjà attirante et les garçons plus vieux me regardaient avec des yeux de prédateurs. Malheureusement pour eux, j’étais loin d’être une proie; c’était moi la prédatrice.
On peut dire que 10 ans, ça été le début de mon plongeon vers la déchéance. Il y avait ce garçon, Billy. Il avait 12 ans. Bien sûr, avant lui j’avais déjà embrassé des garçons, mais lui il m’a éveillé à autre chose, au plaisir d’avoir ce que personne ne réussit à avoir. Toutes les filles rêvaient de lui, aucune ne pouvait l’obtenir. Avec mes airs de fille de 14 ans, moi je l’ai eu. On s’est fréquenté 6 mois, jusqu’à ce qu’il ne m’amuse plus. C’est le premier gars avec qui j’ai eu des préliminaires plutôt chaud. Il était bien et gentil, mais à quoi bon rester avec quelqu’un qu’on a déjà. Je l’ai largué en m’assurant de lui faire une mauvaise réputation sur ce qu’il avait dans le pantalon. Il n’a toujours pas eu une copine depuis d’ailleurs.
Et c’est comme ça que je me suis lancé dans mon adolescence, j’allais maintenant jouer dans la cour des grands.
Adolescence (11 – 15 ans)
It's my life It's now or never I ain't gonna live forever I just want to live while I'm alive It's my life Bon Jovi – It’s my life
Le début de mon adolescent fut une période très remplis; j’ai découvert qui j’étais et ce que je voulais faire, mais aussi c’était quoi la vie dont ma mère tentait de me préserver. À 11 ans, j’ai changé d’école pour rejoindre la grande école du district où tous les enfants plus âgé allaient. C’était comme me servir le monde sur un plateau d’argent; un paquet d’adolescents et d’adolescentes avec les hormones en ébullition, y’a rien de mieux pour causer du trouble. En fait, je me suis tellement plu à faire mal aux gens en agissant comme la plus grande des vaches qu’après un an plus personne une seule personne fréquentant mes classes voulaient m’adresser la parole. J’ai alors appris ma leçon numéro 1; la subtilité c’est réellement important.
À 12 ans, j’ai commencé à fréquenter Ethan, un garçon de 16 ans à qui je dois beaucoup j’en a bien peur. C’est avec lui que j’ai perdu virginité au même âge d’ailleurs; il avait du talent y’a pas à dire. Il m’a présenté ses amis, des gens très peu recommandable; ceux que ma mère avait justement voulu que j’évite. J’ai commencé a séché mes cours de l’après-midi. On se retrouvait tous dans un hangar désaffecter. Je jouais de la guitare durant de longues heures, alternant cigarette et alcool entre chaque chanson. Bien des fins d’après-midi d’ailleurs, je suis rentré à la maison en rampant; j’ai même déjà été malade sur le beau tapis d’entrer de ma mère. C’était bien comme époque déjà, mais j’avais soif de plus; et je l’ai trouvé.
Je me suis lassé d’Ethan lorsqu’il a commencé à être possessif, je venais tout juste d’avoir 13 ans. Bon d'accord, le fait qu'il devenait jaloux était peut-être ma faute. Je dois avouer que c'était le coup de grâce de m'envoyer en l'air avec son meilleur ami et son frère la même journée. Surtout de lui annoncer comme ça, l'air de rien. Il devait sûrement beaucoup m'aimer pour endurer tout ça, l'idiot. Après cette relation étouffante, je me suis promis de ne plus jamais avoir de relation. Les relations de couple c’est réellement un problème parce qu’il y en a toujours un qui aime plus que l’autre et toujours un qui finit par blesser l’autre. À quoi bon me lancer dans du compliqué quand on peut faire simple. J’ai donc commencé à enchainé les coups d’un soir, un après les autres. Je ne rentrais chez moi qu’au petit matin, même pas du tout parfois. Ma mère était malade de me voir agir ainsi. Je me fixais une cible différente après chaque coup, prenant un véritable plaisir à les séduire, les baisés; pour ensuite les blesser au plus profond. J’ai même eu des aventures avec des filles, des aventures très satisfaisantes d’ailleurs. J’ai découvert que j’étais bisexuelle; après tout tant mieux pour moi ça fait plus de choix. C’est d’ailleurs une conquête d’un soir qui m’a fait découvrir les plaisir de la drogue. C’est un tout autre univers qui s’est ouvert à moi, la joie de pouvoir planer quand bon me semble, seul ou en bonne compagnie. Conseil d’une expérimenté; il faut faire l’amour sous l’extasy au moins une fois dans votre vie. C’est plus qui jouissif comme sensation.
Maman est morte, j’avais 15 ans je crois. C’est un de mes seuls derniers souvenirs clairs de cette époque, le reste étant réellement embrouillé. Un problème au cœur qu’on ne pouvait prévoir, voilà ce que les médecins ont dit. Il y a eu des funérailles; plusieurs personnes du district y sont venues parce que ma mère était aimée de tous. Mon père n’y était pas, je doute même qu’il sache encore aujourd’hui qu’elle est morte ou même qu’il se rappelle de son existence. Lorsqu’ils ont mis le cercueil en terre je n’ai pas pleuré. J’ai ris parce que c’était le plus beau jour de ma vie.
Le lendemain j’ai vendu la boulangerie et la maison. L’argent m’a permis de louer un petit appartement miteux de 3 pièces au cœur du centre-ville du district. C’était vieux, la peinture s’écaillait et sa empestait; mais c’était chez moi. J’ai abandonné l’école dans la même semaine, une perte de temps total et de toute façon je n’y allais plus. J’ai commencé une carrière de musicienne dans les bars, trois fois semaine dans un, 3 fois semaines dans l’autre. Cela m’accordait une seule journée de congé. Ce n’était pas très payant, mais bien assez pour vivre.
C’est d’ailleurs dans un bar que ma vie à basculé. La journée où j’ai rencontré Freddie
Adolescence et Aujourd’hui (16 – 19 ans)
But you didn't have to cut me off Make out like it never happened and that we were nothing And I don't even need your love But you treat me like a stranger and that feels so rough No you didn't have to stoop so low Have your friends collect your records and then change your number I guess that I don't need that though Now you're just somebody that I used to know Somebody that I used to know – Goyte
Pour bien comprendre ce qui est advenue dans ma vie durant cette période sombre, je dois d’abords vous expliquez qui est Freddie. C’est un garçon de 19 que j’ai rencontré un jeudi soir d’hiver, je venais tout juste de terminer mon spectacle hebdomadaire et je mourrais d’envie de me grillé une cigarette. J’ai hissé Gabriel en sur mon dos et je suis sortie affronter la caresse hivernal. Il était là dehors en t-shirt manche courte malgré le froid hivernal, nonchalamment accoté sur un mur avec une cigarette entre les lèvres. Il m’a tout de suite coupé le souffre avec son teint mulâtre, ses cheveux noirs en bataille et ses grandes mains. Il dégageait une sorte d’aura de confiance en soi et de virilité qui poussait les gens à le remarquer sur le champ.
Je me suis appuyée sur le mur à côté de lui, profitant de ma première inhalation de tabac qui s’insinuait tranquillement dans chacun des branches de mes poumons. Je m’en souviens, j’ai même lâché un soupir de satisfaction en expirant; laissant la fumée s’échapper vers le ciel sombre.
‘’T’as du feu, ma cigarette c’est éteinte’’
Sa voix, elle était profonde et rauque. Dès que je l’ai entendu j’ai su que ce soir je le voulais dans mon lit, même si beaucoup d’autre m’avait déjà offert de quoi à boire et que j’aurais pu avoir un coup d’un soir en claquant des doigts. J’ai allumé sa cigarette, avant de me diriger vers l’intérieur. Sa main c’est posé sur mon bras, stoppant mon avancé.
‘’Je t’ai entendu jouer, t’as du talent’’
Je me suis retournée, un petit sourire en coin arrogant ornait son visage.
’Alors, chez toi où chez moi?’’
‘’Chez moi’’
Pas plus complexe que ça, Freddie et moi nous sommes envoyés en l’air toute la nuit jusqu’au petit matin avec pour seul témoin mon petit appartement et ma guitare. Je peux vous jurer que ce fut meilleur que tout ce que j’avais connu avant, comme si il avait su lire les moindres désirs qui me frôlaient l’esprit. Il est parti que très tard en après-midi, je me suis surprise à vouloir qu’il reste, je refusais d’admettre que j’étais bien dans ses bras. En soirée, il était encore au bar. Je n’ai pas réussi à remarquer aucun autre homme ou femme de l’endroit, j’ai commencé à développer une fascination malsaine pour lui. Nous nous sommes encore retrouvés dehors après le spectacle, pour fumer une cigarette. Un sourire de satisfaction ornait son visage.
‘’Besoin de feu?’’
‘’Avoue que tu me veux?’’
Oh que oui je le voulais et par la suite nuit après nuit, c’est lui qui était dans mes draps où moi qui était dans les siens. À force, nous avons appris à nous connaître, même à nous aimer je crois bien. Il était comme moi, brusque et franc, amoureux d’alcool, de drogue et de bonne chair. Sa philosophie : Tu ne vis qu’une fois. Bref, il me ressemblait beaucoup. Ce petit manège à durée pratiquement 1 an, avant que nous décidions de devenir un couple officiel et même de nous installer ensemble.
J’ai signé l’arrêt de mort de ma vie avec Freddie cette journée-là. J’ai commencé à lui faire du mal sans m’en rendre compte. Au début c’était simplement des flirts ici et là, puis c’était des baisers échangés avec des gens lorsque que je trainais au bar tard le soir. Finalement la situation a dégringolé au point ou je ramenais des gens chez nous pour m’envoyer en l’air. Freddie à même fini par m’attraper au lit avec une fille et un garçon en même temps. J’ai vu dans ses yeux, tout l’amour qu’il avait pour moi et la souffrance qu’il ressentait. Ce qui était bien avec mes relations précédentes c’est que je n’aimais pas alors je ne souffrais pas de voir l’autre souffrir. Dans le cas de Freddie, j’ai eu mal.
Je l’ai quitté; j’ai eu le cœur brisé moi aussi.
‘’Je t’aime, mais je ne peux pas rester avec toi. Je fais mal à tout le monde même à ceux que j’aime Freddie et ça me blesse à mon tour. Je souffre et je ne peux pas le supporter.’’
‘’On est bien ensemble’’
‘’Pourquoi je voudrais souffrir…t’es impossible’’
Voilà, à 18 ans j’ai quitté la seule et unique personne que je n’ai jamais aimé. Quitté la seule personne que mon corps réclamait et que mon cœur aussi apparemment. J’ai réintégré un petit appartement de 4 pièces cette fois-ci. Pour oublier la douleur, j’ai commencé la fête à gauche et à droite. C’est encore ma vie aujourd’hui d’ailleurs, ma vie se résume à une débauche constante. Probablement que je suis comme mon père, pas faite pour avoir un port d'attache autre que ma guitare, mais bien pour voyager.
Je suis sexe, drogue, alcool et Rock and Roll maintenant. Toujours aussi méchante, toujours aussi manipulatrice.
Derrière l'écranPrénom / Pseudo: POULPINETTE A.K.A El' Âge Réel : 19 jolies printemps mes amours Comment as-tu connu le forum ? : Ahumm...je suis un peu Admin dessus; juste un peuCode du règlement : Validé par Ariel la sirèneAutre chose ? : Bonjour, je suis le double compte de la si fantastique El'! En remplacement de Luna qui est morte seule et abandonnée dans le district 9! J'avais pas prévue créer mon nouveaux DC tout de suite, mais je boss dessus un perso dans le genre depuis vraiment longtemps et je meurs d'envie de la jouer ! JSinon euh..je vous aime les amours! [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]
Dernière édition par Caelyn Stonwen le Mer 1 Aoû - 6:23, édité 1 fois |
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