Mes cheveux sont blonds, ondulés, sans frange et assez longs. J’ai les yeux noisette, mais le contour de mon iris est noir. Je suis de taille moyenne malgré que mes parents soit très grands et assez fine. Mon visage est ovale et bien proportionné, tout comme mon corps.

Au niveau du caractère, je suis assez têtu et j’ai horreur d’être mise à l’écart ou de ne pas être au courant, même d’un petit détail. Je suis très autonome depuis que j’ai perdu mon père et temps que je n’ai pas réussis ce que je veux faire, je recommence encore et encore jusqu’à y arriver (même si ça peut durer très longtemps, je vous l’accorde). J’aime beaucoup faire rire les gens, je suis impulsive et quelque fois isolante.

Mon père tenait une boulangerie dans le district 7. Nous vivions essentiellement sur sont revenu, même si les personnes qui avaient de l’argent pour s’acheter du pain régulièrement ne courait pas les rues, cela suffisait à nous nourrir et à nous loger confortablement. Parfois, il baissait même les prix pour que les personnes qui souffraient de faim ne dorment pas l’estomac vide. Et puis, il y a deux ans, il est mort d’une grosse grippe. Et tout s’est écroulé. Nous n’avions pas les moyens de nous payer un médecin et les infirmiers étaient tous très occupés à essayer de sauver d’autre malade plus gravement atteint par l’épidémie. Tout ce que l’on a put faire, s’était de soulager sa douleur. Ce qui n’améliorer pas son cas.
Après sa mort, ma mère a entreprit de reprendre la boulangerie. Mais ce n’était plus pareil. Nous ne pouvions plus nous permettre de baisser les prix pour quelques malheureux, car toute notre vie reposait sur un seul salaire. J’ai donc essayé d’aider ma mère. Mon petit frère, à seulement douze ans, sonne aux portes pour essayer de vendre notre pain. Nous arrivons tout juste à survivre.
Depuis qu’il est mort, mon père ne m’a laissé qu’un souvenir : un couteau. On se le passe de génération en génération, et, puisque c’est moi l’aînée, c’est à moi qu’il me l’a confié. C’est un couteau ordinaire, à l’exception près que dessus, il y a gravé : « Les morts ne sont pas vivants. ». Quand je suis désespérer, je le lance sur un planche en boit contre un mur de ma chambre. Petit à petit, je vise de mieux en mieux.