The Hunger Games RPG
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Remontrances. ▬ Kai K. Kennan.

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MessageSujet: Remontrances. ▬ Kai K. Kennan. Remontrances. ▬ Kai K. Kennan. I_icon_minitimeDim 29 Avr - 21:14

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    Journée, de brin. Soirée de brin. Nuit de brin non ? Je ne sais pas, ce n'est pas encore joué. Ayant passé un jour classifiée de morose et d'ennuyant à souhait à signer des autographes à des dizaines de fans plus au moins sur-excités à l'idée de me voir. Merci Jean – le président – vous n'auriez pas du vous donner la peine de m'infliger une autre punition pour me tenir en bride. Bien entendu, des femmes affolées et avec un Q.I digne d'une poule m'ont accosté pour prendre un rendez-vous avec moi. Elles ne veulent que mon argent, ma popularité et mon physique, elles me font pitié et me dégoûtent à un point inimaginable. Je me suis fais un point d'honneur à les rembarrer avec des formules si compliquées qu'il a fallut un certain temps pour qu'elles comprennent ce que j'avais dit. Des poules j'ai dis. Encore que j'étais trop gentil, des poissons lyophilisés serait plus exact. Passons maintenant à cette soirée. Je crois que je m'en serais légèrement passée. Une soirée noyée dans l'alcool, première fois de toute ma vie. Je n'ai fais que boire. Boire pour oublier toutes les peines. Boire pour oublier mon métier. Boire pour oublier les tributs morts. Boire pour oublier ceux qui vont mourir. Boire oublier toute ma vie. Je me suis saoulé jusqu'à en perdre la raison, jusqu'à ne plus pouvoir réfléchir correctement et aligner deux pensées cohérentes. J'aspire une grande bouffée d'air frais de ma terrasse. Pour ça, je suis content d'habiter au Capitole, les cachets venant du district six sont d'une efficacité à toute épreuve. Même après m'être saoulé, je n'en ressens plus du tout les effets. Je regarde la nuit tomber sur la ville énorme. Je regarde dans les rues, je vois un flash, quelqu'un prend des photos. Je soupire, c'était mon credo il y a pas si longtemps. Je suis pris d'un accès de rage soudain et je frappe la rambarde si fort du poing que je m'en ouvre une entaille sur la main. Il ne manquait plus que ça. Je ne sourcille même pas, habitué à la douleur, elle ne m'importe plus. Je me dirige vers ma salle de bain et désinfecte. Je regarde la plaie. J'ai un morceau de plastique coincé dans la main.

    « Soirée de m... » je ne termine pas ma phrase, elle se perd dans un rictus de douleur.

    J'ai tiré sur le morceau avec une pince en plastique. Le problème c'est que la plaie à grossis à cause de ça. Je me nettoie rapidement tout et me fait un léger bandage qui ne se voit à peine. Je soupire en sentant les anesthésiants de la bande agir. La médecine fait décidément des merveilles. Je regarde l'heure, il est tard et j'ai envie de parler, de décompresser après cette journée solitaire. Je pense immédiatement à Ethna, ma jeune amie de longue date. En plus ça lui fera du bien de penser à autre chose qu'aux jeux. C'est décidé, je pars rapidement vers le porte manteau de mon entrée, enlève ma veste en cuir noir et l'enfile par dessus un t-shirt noir simple. Honnêtement, je pourrais passer pour un gothique là. Il manque plus que le maquillage, les chaînes bizarres et les bagues en tête de mort et je suis parfait. Je grimace, je n'ai jamais aimé ce style, ni celui excentrique des gens du Capitole. Je sors de chez et verrouille mon appartement à l'aide du système vocal. Je me précipite dans la cage d'escalier, je n'ai qu'une envie aller rejoindre mon amie pour me détendre. Je sors de l'immeuble et arrive dans la rue, l'hôtel n'est pas si loin que ça, j'y parvins si rapidement et sans encombres que cela m'étonne. Je pousse la porte et ignore l'appel des personnes aux guichets. J'appuie sur le bouton de l'ascenseur et j'attends. J'attends qu'il arrive. Je suis pris d'un soudain vertige. J'ai la tête qui tourne, un muet se précipite vers moi pour m'aider à tenir debout et m’amène à un fauteuil. Je m'y assois et le voit attendre que je lui demande quelque chose. Je le … non la regarde. Sa tête ne m'est pas inconnue.

    « Oh non ! Silena ! Regarde dans quel état tu es ! Pourquoi ?! »

    Je parle si fort que je risque de nous attirer des ennuis, généralement nous ne devons pas parler si fort. Mais Silena est une amie que j'avais lors de mon entraînement à l'armée. Nous étions si proches que j'avais cru avoir des sentiments pour elle. J'avais cru qu'elle était morte, mais non changée en muette.

    « Passe moi ton bras, je vais te noter mon adresse pour que l'on discute. » lui chuchoté-je.

    Je prends un stylo de ma poche et lui note rapidement le lieu où se trouve mon appartement. Je me relève, je regarde mon bandage, il est badigeonné de sang. Je grimace en voyant le résultat. Tant pis. Je m'avance vers l'ascenseur qui est maintenant arrivé à destination. J'appuie sur le bouton numéro cinq, le district d'Ethna. La musique d'ambiance est à l'image des habitants du Capitole. Affreuse. Je regarde le sol. J'ai hâte que les portes s'ouvrent. Ce qui finit immanquablement par arriver. Je me précipite dehors et arrive sur un grand pallier. Ma tête recommence à tourner. Je crois que j'aurais vraiment du me préoccuper de ma blessure, malheureusement il est trop tard pour les remords. J'avance à tâtons dans les couloirs du cinquième étage. J'ai chaud, très chaud. J’enlève ma veste en cuir et j'arrive dans le salon, je la dépose et prend un verre disposé sur le buffet, je me sers un verre d'eau fraîche. Je risque de m'évanouir si je prends pas quelque chose. Je m'en fiche. Je me dirige à présent vers la chambre d'Ethna, elle doit y être vu l'heure tardive à laquelle je me présente. On dirait vraiment un gros manouche. Je regarde la salle, il n'y a que deux muets je les regarde avant d'oser de leur demander où se trouve Ethna.

    « Bonsoir, excusez moi. Ethna se trouve-t-elle dans sa chambre ? »

    Les deux acquiescent et je me dirige donc vers sa chambre. Je vois un corps dans le couloir. Kai. Le jeune fanfaron qui s'est porté volontaire et dont j'ai cerné directement l'attitude. Il ne va pas laisser Ethna se reposer. Je le vois dans son expression. Il fait soudain demi-tour. Que pensé-je ? Malpoli en prime. J'avance vers lui pour lui apprendre la politesse à ce jeune garçon qui se croit sérieusement pour le maître du monde, il claque la porte et je glisse mon pied dans le battant juste au dernier moment. En plus de la douleur à la main s'ajoute celle de mon pied. Mais je ne grimace, ni lâche de gémissement pour autant. Je reste stoïque et lui fait face. Je pousse violemment la porte et le fait reculer. Je la ferme derrière moi et la verrouille.

    « Bonsoir Kai, je suis ravis de te rencontrer. »

    Une voix purement ironique, une attitude amusée, un air sérieux, des yeux noirs, les lèvres pincées. Comme première approche on aurait pas pu faire mieux en matière d'aversion. Je l'observe avec un air méchant et approprié à ce que je pense vis-à-vis de lui.
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MessageSujet: Re: Remontrances. ▬ Kai K. Kennan. Remontrances. ▬ Kai K. Kennan. I_icon_minitimeDim 13 Mai - 16:11

Manquerait plus que je tombe malade avant les jeux. J'ai déjà le poignet en vrac et ma confrontation avec Ethna n'a rien arrangé. Non, mais sérieusement, une mentor qui utilise les points faibles de son tributs avant les jeux, allant jusqu'à le blesser, vous avez déjà vu ça vous ? Bon c'est vrai j'étais à deux doigts de lui faire perdre connaissances, je n'y allais pas avec douceur et je dois avouer que je devais être plutôt effrayant. Enfin peu importe. Je peut-être dingue, mais cette petite princesse n'est certainement pas mieux. Ah oui, pourquoi devrais-je tomber malade ? Parce qu'il fait froid cette nuit et que  ayant un besoin intense de prendre l'air je n'ai pas pris le temps d'enfiler autre chose que ce T-shirt épais comme une feuille de papier et ce pantalon bien trop léger pour une telle température. Ouais, parce que bon rester enfermé dans un appartement avec une folle et une pleurnicheuse ça va un peu, mais ça en devient très vite étouffant. Je préférerais traîner dans les rues de ce stupide district cinq en ce moment même. Et ouais, qui aurait cru qu'un jour je regretterais ce trou à rat ? Pas moi en tout cas, et c'est pourtant le cas. La seule chose qu'on a ici c'est un toit. Je regarde le bas du bâtiment, ces personnes qui se sentent si importante aussi ... insignifiante que de simple fourmis. Un sourire ce dessine sur mes lèvres. Ouais ... Un toit. Quelle liberté c'est dingue ! Ils pourraient tout de même faire un effort pour nos derniers jours et nous laisser sortir un peu, accompagné de quelques gros bras même, histoire qu'on ne s'échappe pas si ça peut les rassurer. Mais non, on a simplement un toit, avec une vue impressionnante sur quelque chose qu'on ne pourra jamais vraiment atteindre, le Capitole. Assis sur la bordure, les pieds dans le vide je tends le bras devant moi. Un mur. C'est qu'ils sont intelligents ces petits. Un pauvre petit tribut désespéré et à la limite du suicidaire ne pourrait même pas avoir la satisfaction de s'écraser sur le sol de ce superbe capitole. Faire le grand saut comme on dit. Ça aurait pourtant le mérite d'être un bon spectacle, pour ces adorateurs de la cruauté. Un gamin défiguré par le choc, son sang sur les murs du bâtiment réservé aux tributs (Ce qui au passage serait très symbolique et représentatif de ce qui les attend.), la foule en délire de tous les côtés, une émission flash pour parler de cet événement incroyablement excitant, un nouveau tirage au sort pour une personne dans un district, ça ne rendrait les jeux que plus intéressant n'est-ce pas ? Un soupire se fait entendre. Ça pourrait être excitant de finir comme ça, au moins je marquerais les mémoires de cet endroit respirant le ridicule de toute part. Je ramène mes jambes sur la terre ferme tout en prenant appuie sur ma main gauche. Enfin ... Une chose je ne finirais pas comme ça faut croire.

J'ignore l'heure qu'il est, mais ce toit si peuplé le jour de mon arrivée est bien calme ce soir. Peut-être est-il encore trop tôt pour le voir se remplir, ou bien peut-être trop tard aussi, je n'en ai aucune idée. Je sais simplement qu'il n'y a clairement rien à faire ici. Je ne trouvais rien de plus dans la chambre que l'on m'a donné certes, mais au moins je pourrais toujours aller emmerder l'un de ces filles qui vivent avec moi. Ethna ? Céline ? Les deux options me plaisent. Je dois dire qu'il y aurait pas mal de choses d'intéressantes à faire avec ces deux chieuses. Et pour une fois je vous rassure je ne vois rien de vraiment déplacé à mettre sur mes pensées. Du moins certainement pas avec mon mentor. Elle peut-être loin d'être dégueulasse à voir, c'est vraiment pas mon délire. Je traverse tranquillement le toit, sans hâte, rien de précis ne m'attend en bas et la nuit ne fait que commencer alors pourquoi se presser ? J'appelle l'ascenseur. Et après on va essayer de me faire croire qu'ils sont saint d'esprit ... Un ascenseur pour monter sur le toit ? Un court rire m'échappe. Ces personnes sont vraiment étranges. Pour ne pas dire complètement dérangés.

Arrivé au cinquième étage je décide de finalement laisser la pleurnicheuse seule pour me concentrer sur cette mentor que j'aime tant embêter. Elle m'enverra sans doutes promener, peut-être qu'elle s'énervera, peut-être qu'elle m'évitera durant quelques jours, mais cette envie que j'ai d'aller la rejoindre, de lui faire une peur bleue en débarquant sans prévenir dans sa chambre, c'est juste irrésistible. À ces pensées ce sourire de sale gosse s'affiche une fois de plus sur mon visage. D'un pas assuré je me dirige vers la chambre d'Ethna. Je lève le poing pour frapper à sa porte avant de renoncer et de poser ma main directement sur la poignée, quand un bruit se fait entendre. Je tourne le visage vers la provenance du son et ce que je vois me fait simplement lever les yeux au ciel. Ce fameux Caius. Vos savez ce présentateur des jeux. Manquait plus que lui. Le genre de type qui m'exaspère plus que tout. Ouais y a qu'à voir son statu dans l'équipe TV et mon jugement est déjà tout préparé. Je tourne sur moi-même dans le but de faire demi tour et de retourner dans ma chambre. Pourquoi faut-il que je me tape une maudite fille du capitole ami avec tous ces moutons qui y habitent comme mentor ? J'entre rapidement dans ma chambre avant de claquer la porte derrière moi. Mais un obstacle m'empêche de fermer cette fichue porte. J'ai à peine le temps de comprendre d'où vient le problème que monsieur le présentateur vient pousser la porte avec assez de puissance pour me faire reculer. Il entre et verrouille la porte derrière lui. Qu'est-ce que je disais déjà ? Ah oui ! Ces habitants du capitole se pensent vraiment tout permis, en voilà la preuve devant mes yeux. Un sourire amusé se dessine sur mes lèvres.

« Bonsoir Kai, je suis ravis de te rencontrer. » L'ironie se lit dans le ton de sa voix. Qui se ressemble s'assemble j'ai envie de dire. N'est-ce pas le genre de phrase qu'Ethna a sortit le jour de notre rencontre ? Un léger rire m'échappe. Je le regarde de la tête aux pieds. Plutôt bien foutu le gars. Je suis loin d'être tout fin, mais j'imagine que je ne ferais pas long feux face à lui, mais d'un autre côté ... Un présentateur télé qui s'en prend à un tribut sans défense, dans ses propres quartiers, je me demande bien quelle sanction ça peut valoir. Mon regard se plonge dans le siens, ce dernier noir et menaçant, le miens pétillant, trahissant mon amusement. C'est intéressant de voir comme il est facile de se faire des ennemis hauts placés sans avoir nous-même la moindre importance. Indifférent à l'attitude on ne peut plus étrange de mon invité je m'assoie sur le lit, puis, l'expression insolente au visage je me décide enfin à répondre.

    «Oh mais que vois-je ... Un toutou du capitole. » Je me rends bien compte que provoquer de la sorte la personne qui m'interviewera et qui par la même occasion pourra me faciliter ou non la tâche pour les sponsors n'est pas une super idée, mais bon ... si je devais toujours m'arrêter aux conséquences de mes actes je ne ferais plus grand-chose dans la vie. «J'imagine qu'il est inutile de dire que ce sentiment n'est pas réciproque. » Je lui adresse un sourire faussement aimable en contradiction avec mes paroles. « Je peux savoir ce que me veux l'honneur d'une telle visite si tard ? Ou bien je dois crever ignorant.»
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MessageSujet: Re: Remontrances. ▬ Kai K. Kennan. Remontrances. ▬ Kai K. Kennan. I_icon_minitimeVen 18 Mai - 13:47

    « Oh mais que vois-je ... Un toutou du capitole. J'imagine qu'il est inutile de dire que ce sentiment n'est pas réciproque. Je peux savoir ce que me veux l'honneur d'une telle visite si tard ? Ou bien je dois crever ignorant. »

    Je ne réagis même face à ces multiples provocations. De toute façon si j'ai le malheur de le blesser – parce que je le pourrais, ayant fait mon service chez les pacificateurs – je serais plongé dans les emmerdes jusqu'au cou. Je regarde ce jeune garçon qui a toujours ce sourire insolent sur les lèvres. Je le déteste en fait. Me trouver en sa présence me donne envie de lui foutre la tête dans un mur. Je dois me contrôler. Zen Caius. Je lâche un soupir de résignation.

    « Je suis pas là pour te mettre sur la figure mais pour que tu cesses ton attitude désagréable. Tu crois que c'est comme ça que tu vas attirer des sponsors sur toi ? Sérieusement, tu as vu comme tu es pathétique ? Insulter les gens et les provoquer ne te mènera jamais à rien de bon Kai. » je le regarde avec un air complètement antipathique. « De plus, si j'ai encore à entendre parler de toi, fais gaffe à tes arrières. J'ai le droit d'aller voir les créateurs et de demander ça. »

    Je joins le geste à la parole. Je pointe sa tête comme si j'avais un pistolet dans les mains et je fais semblant de tirer. Il sourit toujours et moi aussi cette fois-ci. Je le regarde, je déteste son attitude désinvolte. Je vous l'ai déjà dit ? Mince alors, c'est dommage. Je m’assois sur le lit et hésite à ce que je vais dire.

    « Je présume que tu ne veux pas de mon aide pour ton interview ? » lui dis-je alors qu'au contraire je veux vraiment l'aider.

    Enfin vraiment, c'est vide, je le dois c'est tout. Je me dois de l'aider c'est mon travail. Je préférerais le laisser ce débrouiller seul. Mais au point où il en est, c'est mal parti il me semble. Je soupire doucement, je porte mon regard sur mon bandage il est imbibé de sang. Je crois que je n'aurais pas du négliger cette blessure. Mais trop tard. Le sort en est jeté, si je me montre faible devant Kai, il va sauter sur l'occasion pour me charrier. J'ai bien vu qu'il détestait tout le monde lui aussi. J'aurais bien envie de lui en foutre une pour lui prouver que ce n'est pas le centre du monde. Peut-être du sien, mais pas de celui qui entoure tout le monde.

    « Tu pues le phoque ma parole, ça t'arrive d'aérer ? » dis-je avec une pointe de critique dans la voix.

    Je me lève et me dirige vers la fenêtre. J'appuie sur le bouton pour qu'elle s'ouvre. Je passe la tête dehors et soupire de soulagement. Je rentre ma tête dans la chambre et me tourne vers le jeune homme. Je le regarde avec une air ironique. Autant rentrer dans son jeu.

    « Au fait, le toutou du Capitole entre nous c'est plutôt toi. Tu rentres dans le jeu du président en te portant volontaire. » lui dis-je avec un ton en antithèse avec mon regard.

    Je soupire doucement, à quoi m'attendre avec ce gamin, je sais qu'il renchérira à chaque fois que je parle. Inutile de chercher à le raisonner. Il est complètement imbu de sa personne. Je ne crois pas que ce soit réellement utile de chercher à argumenter avec lui, il trouvera toujours quelque chose à redire
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MessageSujet: Re: Remontrances. ▬ Kai K. Kennan. Remontrances. ▬ Kai K. Kennan. I_icon_minitime

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