Seamus Enryel + District Deux +
♣ Nombre de message : 38 ♣ Date d'inscription : 14/09/2014
| Sujet: Seamus Enryel - Just a machine Dim 14 Sep - 11:45 | |
| let's have a little chat ; ▲▼ | NOM Ϟ Enryel PRENOM(S) Ϟ Seamus AGE Ϟ 18 ans à la 18ème DATE DE NAISSANCE Ϟ 24 Mars DISTRICT/CAPITOLE Ϟ District 2 MÉTIER Ϟ Pas de métier. CLASSE Ϟ Population/futur tribut SITUATION FAMILIALE Ϟ Très moyenne Célébrité choisie Ϟ Sean Teale |
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it's just you and who you are ;
Dois-je vraiment décrire mon physique ? Je n’en vois pas la nécessité après tout, vous voyez une photo de moi non ? Je peux juste vous assurer que je ferais un excellent carrière pour les jeux, non, un excellent moi. Je suis extrêmement bien bâti, « couverts de muscles » comme dirait mon cher géniteur, plutôt grand et une condition physique inébranlable. C’est tout ce que vous avez besoin de savoir non ?
Mentalement, je pense me connaître mieux que n’importe qui.
Concernant ma relation avec les autres êtres humains, je suis à la limite de la misantrophie : Je n’ai confiance en personne. Même ma famille, mon père excepté. Je refuse que l’on voie au delà de ma carapace et je n’aime pas me livrer, ni laisser le choix aux gens de décider de ma personnalité, je ne supporte pas ça. Chaque personne est pour moi un potentiel ennemi, une future proie, un autre tribut à affronter. C’est dans cette mentalité que j’ai été élevé et je compte bien la respecter. Je suis sans doute un peu parano mais on m’a appris à surveiller mes arrières et l’expérience m’a aussi mise en garde quand à la dangerosité des « autres » et l’individualisme de l’être humain, surtout au district Deux. Nous sommes élevés pour être des guerriers, pas des amis.
Je ne suis donc pas très sociable, je préfère de loin la solitude. Je ne vois pas l’intérêt de nouer des liens, surtout dans ce contexte. Bien sûr, je ne suis pas non plus complètement hermétique. Quand je me retrouve en groupe, je discute normalement mais je ne me livre jamais. Bien souvent, la discussion finit par tourner court et je n’apprécie la compagnie des autres que pour pouvoir déceler leurs véritables intentions. Tel un futur carrière, j’observe, je jauge, ceux qui chercheront peut-être à me manipuler, à me détourner de ma voie pour obtenir la place convoitée en tant que tribut ; les autres qui chercheront un but plus obscure. Mes meilleurs moments ? Je les vis à fond au centre d’entraînement. Ces moments ou, profitant de l’absence d’indésirables, je traîne au centre d’entraînement ou au terrain vague et je donne toute ma force, toute ma vie pour ma préparation. Ma préparation. Sans doute la chose qui est la plus chère à mes yeux.
Je suis loin d’être ce genre de personnes pathétiques, la tête dans les nuages et dans les bouquins, espérant vivre des aventures imaginaires dans un monde sans gouvernement totalitaire, ou vivent en paix les lutins, elfes et autres conneries… très peu pour moi tout ça. Je suis très terre à terre et je ne supporte pas les rêveurs. Cela explique sans doute ce que ma chère belle-mère appelle ma « misantrophie ». On me qualifie souvent de froid et d’insensible, j’ai effectivement du mal à compatir pour diverses causes ou en cas d’évènements tragiques. Je n’ai jamais pleuré. J’ai bien sûr eu plusieurs moments difficiles, mais le sentiment que je ressens est plus souvent de la rage ou de la colère, rarement de la réelle tristesse.
On dit souvent que je suis un peu parano, c’est sans doute vrai, mais je pense avoir de bonnes raisons de l’être.
Je suis aussi quelqu’un de déterminé. Je m’accroche toujours à ce que je veux. Ne jamais abandonner. Simple comme devise, mais efficace et surtout vrai. J’atteins toujours mes objectifs et je ne supporte pas l’échec. En ce qui concerne les Jeux, il est clair que ma dévotion à mes séances d’entraînements n’ont plus aucune limite mais cela va au delà de ça : J’aime cette sensation de dépassement, de donner le meilleur de soi-même et surtout, le bonheur qui s’insuffle lorsque la victoire arrive à mes portes. LA VICTOIRE. J’ai toujours été excellent à l’école mais cela s’est fait au détriment de mes entraînements, de mes bijoux, j’ai donc du revoir mes priorités et l’école n’en fait pas partie. La victoire aux jeux, en sont. Je me qualifierai également de courageux, je sais serrer les dents et m’accrocher quand il le faut mais je suis aussi très impulsif, je ne réfléchis pas et je fonce, ce qui m’a parfois posé problème tant mon « sang chaud » est difficile à contrôler. Mais rassurez-vous, je travaille sur ça. Il n’est pas question que mon manque de sang froid me joue des tours lorsque je serai dans l’arène.
On me dit souvent que je peux être une vraie brute quand je m’y mets, aussi bien au sens propre qu’au sens émotionnel. J’ai un caractère fort et je n’aime pas qu’on me marche sur les pieds. Ni qu’on sabote mes plans, je suis le seul dirigeant de ma propre vie et je n’ai jamais apprécié recevoir des ordres. Je supporte difficilement l’autorité, mon père excepté.
JAh aussi, j'ai un caractère assez égocentrique mais c'est pour la bonne cause.
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▲▼ Je n’ai jamais connu ma mère. Elle est morte à ma naissance, dans des circonstances tellement épouvantables qu’il lui a été impossible de survivre. « Les hôpitaux étaient surchargés de blessés après les jours sombres, le stress était intense et l’organisation était chaotique, il y a eu une complication et elle est décédée ». C’était la dernière fois que je posais une question sur ma mère, il y a Cinq ans. Depuis, je n’ai plus jamais reparlé de ça. Je ne sais rien d’autre sur elle, il a toujours évité le sujet. Le passé est le passé et je ne suis pas du genre à remuer dans les vieilles affaires. Au fond de moi, je me suis toujours douté que quelque chose clochait, que sans doute, papa me cachait quelque chose mais je n’ai jamais connu ma mère, pourquoi enfoncer le couteau dans la plaie ?
Mon père est pacificateur depuis plus de vingt ans, il a été mobilisé pendant les jours sombres et il a gardé les séquelles de la guerre. Dont une vilaine brûlure à la joue gauche. Psychologiquement, c’est un battant, un vrai. Je l’ai toujours admiré pour ça. Il m’a inculqué son savoir, ses valeurs, que j’ai immédiatement faite mienne. Pour lui, la vie entière est un combat, un jeu géant. Ce qu’il a vécu, pendant la guerre, ce n’était pas si loin de ce que vivent 24 adolescents chaque année. Seule la force, la détermination et le courage peut nous aider à atteindre notre objectif. Mon père a toujours été en parfait accord avec l’instauration des Hunger Games et il m’a très vite inculqué la passion pour les Jeux. Il voulait faire de moi un guerrier, un féroce carrière qui s’envolerait dans l’arène pour y revenir fier et couvert de richesses. Elevé seuls dans une résidence du district, j’ai entretenu une relation de confiance et d’amour avec la seule personne vraiment présente dans ma vie. Fold Enryel. Je n’avais pas de mère, ni de frère et sœur. Dès l’âge de Six ans, j’ai débuté mon entraînement pour les jeux. Mon père était mon entraîneur particulier, dans ses temps libres. J’ai d’abord appris à débuter ma condition physique puis au fil des années, j’ai débuté les premières techniques de défenses et de combats. A l’âge de 10 ans, je connaissais déjà 5 méthodes pour achever son adversaire. Bien sûr, j’étais encore trop jeune pour être capable de les appliquer mais la simple idée de parvenir à les maîtriser, de savoir que je pouvais maîtriser puis achever un adversaire en quelques gestes, revigorait ma motivation et mon acharnement. Mon père me motivait. Avec son expérience de pacificateur, il me fournissait des entraînements particuliers et m’apprenait les différentes méthodes de défenses. Il m’a toujours appris que la détermination pouvait amener à de grandes choses et que je ne devais jamais lâcher mon objectif. Gagner les jeux, c’est un honneur chez les Enryel, c’est l’accomplissement de toute une vie.
L’école, je ne me suis jamais vraiment plu. J’ai toujours eu des facilités pour comprendre mais jamais un réel intérêt et je ne supportais pas l’agitation de mes comparses. Ni leurs occupations d’ailleurs. Je les voyais, la bande à Tommy, s’amuser à jouer aux jeux de la faim, prétendre être des tributs alors qu’ils n’étaient même pas capables de mettre à terre leur adversaire. Ils jouaient. Ils voulaient tous devenir de grands carrières mais ils faisaient semblants. Moi, c’était vrai. Début de l’adolescence : ça n’a pas changé, ils étaient la, à se pavaner sur leur lancer de couteau pour impressionner les filles mais un talent, ça se garde secret. Honteux sont ceux qui exposent leur soi disant talent au monde entier. Je m’isolais des autres, que je n’estimais pas à ma hauteur et j’ai été souvent traité de « freak » ou « d’asocial ». Sauf que moi, je n’ai jamais perdu de vue mon objectif : Participer et remporter aux jeux de la faim. Personne ne peut me barrer mon chemin et pour cela, je me devais de me montrer le plus méfiant possible à l’égard de ceux qui m’entouraient. J’ai toujours perçu les autres comme de potentiels ennemis et ça n’a pas changé. Cela m’aide à me focaliser sur mon but.
12 ans. Le choc. Mon père m’annonce que nous ne serons plus seuls, il a trouvé quelqu’un, une certaine Elona Twijfell, pacificatrice également. Une grande femme blonde à qui je trouve des airs d’intrigante. Je ne l’aime pas. Pourquoi est-elle avec mon père ? Ne pouvait-elle pas trouver une autre proie ? Les séances d’entraînement privé, moments si privilégiés de la semaine, deviennent plus rare avec l’arrivée de l’intrigante. Je me montre poli mais je n’ai pas envie de discuter avec elle et je ressens bien une certaine animosité à mon égard, derrière ses marques de politesse et de gentillesse. Je comble la colère de sa présence par des entraînements plus intensifs. Je commençais à passer aux choses sérieuses : Des premiers tournois ont commencés dans le centre d’entraînement et je me suis retrouvé face à de véritables adversaires. Bien sûr, ce n’était que des pauvres ados du district mais j’en faisais à chaque fois, quelque chose de personnel. Je voulais gagner. J’ai connu des défaites mais j’ai appris à tirer le meilleur de celles-ci, bien que j’avais souvent du mal à les supporter. Forcément, face à des brutes surentraînées de 18 ans, un gosse de 13 ans ne fait pas le poids… Mon père me soutien évidemment, me donne des conseils mais rien n’est plus pareil, il a quelqu’un d’autre dans sa vie et la cohabitation devient difficile. Je les entends se disputer à mon sujet, Enola pense que je suis quelqu’un de renfermé et de potentiellement dangereux et elle ne me fait pas confiance. Ça tombe bien, moi non plus.
Quelques mois plus tard, l’intrigante donne naissance à une fille. Fiona. Le deuxième enfant de mon père et la jalousie me consume. Il n’y en a plus que pour ce bébé chiant et encombrant. Je la déteste. Elle hurle dans toute la maison, perturbe mes entraînements et surtout, elle occupe encore plus de temps à mon mentor. A coté de ça, mon père m’assurait qu’il ne perdait pas de vue notre but , que j’allais faire et gagner les jeux mais il s’éloignait progressivement. Dans ma tête, je pensais, souhaitait-il le même avenir pour Fiona ? Non, impossible, c’était une fille, c’était différent. L’arrivée de la gosse a creusé définitivement le fossé entre Elona et moi, à qui j’ai entendu dire à mon père que j’étais pourri gâté et que je n’aimais pas Fiona. Sur le dernier point, je ne lui donne pas tort. Je n’ai jamais aimé ma sœur, qui me dérangeait tant.
Je me souviens encore de ce jour. Ce moment ou ma colère a éclaté. Mon père et Enola patrouillant, j’étais chargé de veiller sur Fiona mais j’en profitais pour m’adonner à des exercices physiques mais il m’était impossible de me concentrer, cette horrible gosse n’arrêtait pas de geindre et de crier dans son foutu berceau. Elle hurlait, hurlait, hurlait et je n’avais qu’une seule envie : L’étrangler. Alors je l’ai prise de son berceau ensuite… je me souviens du cri d’horreur et du visage effaré de ma belle-mère puis des pleurs et des suffocations de Fiona. Je reçois une gifle puis après, tout est confus. Comme si je m’étais naturellement détaché de la situation, tel un rêve. Je me souviens du visage de mon père, de son regard horrifié et déçu et du coup de poing que j’ai reçu. J’ai eu mal, je saignais tellement… mais j’ai pris sur moi, j’ai serré les dents, je l’avais mérité. Putain, qu’est-ce que j’ai foutu ? L’humiliation que j’ai ressenti à ce moment la était pire que n’importe quel sentiment que j’ai jamais pu ressentir. Je regrettais sincèrement de m’être laissé aller à mon instinct. Je ne voulais pas la tuer mais elle m’insupportait tellement… Intérieurement, je me suis promis de ne plus jamais m’abandonner comme ça.
Hélas, cet « incident » a changé profondément le comportement de mon père vis-à vis de moi. Si Fiona a survécu, sa mère l’a emmenée loin. Elle a fait ses valises le soi-même, tout en me lâchant, d’un air haineux : « J’espère que tu vas crever dans ces putains de jeux ». Je n’ai rien dit mais je me sentais honteux d’avoir failli tuer sa fille et plus que jamais, j’avais brisé le lien de confiance qui me liait entre moi et mon père. J’ai eu beau m’excuser, lui promettre que plus jamais je ne ferais une telle chose, j’ai lu la déception dans ses yeux. Depuis ce jour, il a continué à m’entraîner mais rien n’était plus pareil, peut-être souhaitait-il même que j’aille mourir aux jeux, une idée auxquelle j’évitais de penser. Je n’ai plus jamais revu ma sœur et j’ignore même si mon père a ensuite revue sa fille, on en parlait jamais. La pudeur familiale sans doute. On ne parle pas de ce genre de choses et je ne me serai jamais permis de demander.
J’ai du vivre avec ce fardeau de culpabilité pendant des années. J’ai failli tuer ma sœur, dans un excès de rage incontrôlable. Mais j’en suis ressorti plus fort : Je ne suis pas du genre à me laisser abattre…Les années ont passés, entrant dans l’adolescence, j’ai commencé à développer une condition physique dont je suis assez fier. Je me suis évertué à regarder attentivement et à analyser chaque édition, observant le comportement des candidats, je me fais une idée des erreurs à éviter. Le problème de la majorité des carrières c’est qu’ils sont bien trop arrogants et se croient au dessus de tout et c’est une erreur fatale. Je ne compte sous-estimer aucun adversaire quand je serai dans l’arène. J’admire Chleo Sullivan, parvenue à honorer le district et à nous bluffer. Pas de doute, je marquerai les esprits moi aussi. Bien que je ne fasse pas ça pour la gloire mais je veux faire ces jeux… et les gagner. Ne serait-ce que pour racheter une conduite à mon père, pour lui prouver que je suis capable de faire quelque chose de grand. Honorer son entraînement.
Les années passent et la moisson des 18e Hunger Games se rapproche. A 18 ans, je me porterai volontaire, c’est quelque chose que je sais depuis des années et l’incident avec Fiona ne m’a pas dévié de mon objectif, au contraire, il l’a renforcé. Mon entraînement est devenu plus intensif, j’ai arrêté l’école pour m’y consacrer corps et âme et je suis à présent fier de pouvoir dire que suis prêt.
Ready to play. and how you wanna be proud of yourself. PSEUDO Ϟ Hahaha... Lucas, Jacques ou Jacquouille AGE Ϟ Mystère... J'AI CONNU LE FORUM Ϟ Via google of course. AGE REEL Ϟ Attendez, je dois donner l'âge de mon perso puis mon âge réel ? | LE MOT DE LA FIN Ϟ Je reviens sur le marché avec cette présentation ! En espérant que ce nouveau personnage vous plaira. LE CODE DU RÈGLEMENT Ϟ
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Dernière édition par Seamus Enryel le Ven 10 Oct - 18:00, édité 3 fois |
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Seamus Enryel + District Deux +
♣ Nombre de message : 38 ♣ Date d'inscription : 14/09/2014
| Sujet: Re: Seamus Enryel - Just a machine Dim 14 Sep - 19:54 | |
| Merci tout le monde ! Et ouais Chleo mais le Deux est le seul district carrière ou je pense avoir une place :P Par contre, petit précision, comme je veux absolument faire la 18e, il est possible (mais je pense pas/j'espère pas) que Seamus soit un personnage temporaire car si, mais j'ai pas l'impression, le garçon du deux revient pour la 18e... bah, je me ferais un autre perso en fonction de la place restante (ou je tuerai Jake pour garder Seamus mais ça craint quoi ) Et trish, il faudrait qu'on refasse un rp one day :P |
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