The Hunger Games RPG
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› you shot me down, bang bang.

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MessageSujet: › you shot me down, bang bang. › you shot me down, bang bang. I_icon_minitimeVen 25 Avr - 21:13


     
L. Aniel Jefferson


     
     
     

     

• Prénom(s) : Lucifer, Aniel.
• Nom : Jefferson.
• Date de naissance et Age : Douze janvier, vingt ans.
• District/Capitole : District dix et Capitole.
• Métier : Hôte lors des jeux, mais écrivain à ses temps perdus.
• Situation familiale : Parents disparus, petite amie décédée, fils décédé, une sorte de clone génétique qu'il ne connaît pas et un psychologue à moitié taré.
• Célébrité choisie : Dylan O'Brien.

   
✻ ✼ ✻ ❄ ❆ ❇ ❈ ❉ ❊

   [Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]
   

     

      Caractère
     
      "Je suis l'écume sans fin du monde, je suis la tristesse et le bonheur incarnés en une seule personne. Je suis ce que l'on pourrait qualifier de petit ange. Je suis l'aconit-napel, je suis la beauté de la plante avec le poison qu'elle contient. Je suis la douceur et la peur. Je suis le rêve et le cauchemars, je suis le blanc et le noir, je suis le mal et le bien. Je ne suis plus rien.

« La vie est cruelle, du moins c'est ce que j'ai toujours cru. Des tas des choses ont fait qu'aujourd'hui, je ne suis plus que l'ombre de moi-même. On ne prend jamais conscience du fait que l'on devrait être heureux de vivre, on ne voit souvent que le pire côté des choses. C'est la nature humaine qui est ainsi, nous n'y pouvons rien, malgré tout ce que j'ai vécu, malgré le fait que j'ai pris conscience de cela, ça ne change rien du tout. Je ne suis plus rien, c'est terminé, la vie est trop cruelle. » – Lui même.

« Il est parti, le temps où Aniel était un garçon plein de vie, où il riait tout le temps, où il savait profiter de chaque chose qu'on pouvait lui apporter. Depuis les jours sombres de sa propre vie, il a perdu toute estime du monde. Il ne croit plus rien, c'est comme si... comme s'il s'était perdu lui même. Je ne sais pas si vous comprenez ce que je veux dire, mais Aniel ne va pas bien, il n'est plus comme avant. Il a souvent des cernes sous les yeux, ses pupilles sont toujours dilatées, il sent une odeur particulière, un mélange d'herbe et de parfum hors de prix. Je ne le reconnais plus, c'est comme s'il portait en lui toute la tristesse du monde... » – Son ancienne nourrice.

« Je ne comprends pas pourquoi les gens disent qu'il ne va pas bien. Certes il a souvent l'air ailleurs, comme lorsqu'on réfléchit énormément, mais je crois que c'est pour son travail d'écrivain. Oui, lorsqu'il est avec nous, nous autres les hôtes lors des jeux, il est souriant, toujours prompt à mettre la main à la pâte. Je ne sais pas pourquoi, mais j'ai l'impression que les gens disent cela parce qu'ils sont jaloux de lui, jaloux de ce qu'il est devenu. » – Un collègue hôte.

C'est ce que l'on appelle le principe d'auto-élévation, je me considère bien mieux que je ne le suis pour que les gens y croient. Plus le mensonge est gros plus on l'avale facilement.


Physique
     
      "Un physique peu avantageux, il faut le dire. Je n'ai pas été gâté par la nature, malgré mon un mètre quatre vingt, je crois que j'aurais pu être un peu plus beau.

Au niveau de mon visage, des cheveux noirs de jais, des yeux marrons chocolat, un petit nez en trompette, des lèvres plutôt fines mais longues. Je ne suis pas un canon de beauté, loin de là, mais mon sourire paraît-il a le don de rendre les gens dingues, je ne sais pas si cela est véridique mais que l'on me dise cela me plaît à vrai dire. Au niveau de ma coupe de cheveux, cela dépend, il y a des moments où je préfère les avoir plutôt très court, à peu près quelques millimètres sur le crâne ou des fois j'aime bien pouvoir les coiffer comme je veux donc je laisse un peu de longueur, c'est par phases diront-nous. Pour ce qui est de la chirurgie, je n'en suis pas vraiment fan, à vrai dire la seule folie que je me suis autorisé, c'est de modifier la couleur de mes yeux, au lieu d'avoir de simples yeux marrons chocolats, je les ai moucheté de paillettes dorées.

En matière de physique proprement parler, j'ai des muscles oui autant le dire comme il est. Je n'ai jamais rien fait pour à part de l'exercice comme la course à pied ou quelques pompes le soir avant de m'endormir histoire de bien me fatiguer. Les filles bavent dessus généralement, comme si j'étais une vulgaire bête de somme et pour être honnête, j'en ai plutôt rien à faire, parce que j'ai aimé une fois et que plus jamais je n'aimerais à nouveau autant que j'ai aimé.

Enfin venons à mon style vestimentaire, je m'habille comme j'en ai envie, je ne suivais pas la mode du Capitole, je ne l'ai jamais fais, je le faisais en fonction de mes humeurs, clair et coloré lorsque j'étais heureux ou sombre et ténébreux lorsque j'étais triste. Maintenant que je fume, plus rien n'a d'importance, je m'habille en prenant ce qui me tombe sous la main, au grand déplaisir de mon styliste du Capitole qui fait des bonds de quinze mètres à chaque édition que je fais en tant qu'hôte, j'ai commencé à mes dix-neuf ans, et me voilà, je viens de faire ma deuxième édition, et mon styliste en a déjà marre de moi.


      Histoire
     
      INCIPIT › Les mots ne servent à rien pour décrire la naissance d’un être sur cette planète. On naît quasiment tous de la même façon. Douleurs et hurlements de notre génitrice pendant qu’elle nous met au monde. Le sang éblouit notre existence dès nos premiers instants. Comment pouvons-nous venir à la vie de cette manière-là ? Pourquoi est-ce aussi immonde alors que cela est censé être le plus beau jour de la vie d’une femme. Croyez-vous qu’en réalité tout est beau ? Qu’un bébé naît dans un chou ? Ou alors qu’il est apporté par une cigogne dans des draps blancs ? Détrompez-vous, dès vos premiers instants vous voyez l’horreur, vous la palpez, vous en êtes la cause que vous le vouliez ou non. Ceci n’est pas une histoire sur la beauté ou l’infamie de la vie, mais ce n’est pas non plus une petite fable sur l’existence d’un garçon comme les autres, car non, je ne suis pas un garçon comme les autres, loin de là d’ailleurs. L'enfance d'un individu n'est pas forcément importante, il ne s'y passe rien d’extraordinaire, de glorieux comme l'on pourrait dire. Alors on va la passer, on y fait abstraction, tout ce que l'on peut retenir, c'est qu'Aniel est né un douze janvier au Capitole. Tiens le Capitole d'ailleurs, autant en parler maintenant. Ce jeune garçon n'est qu'une expérience génétique, vous ne vous en doutiez pas n'est-ce-pas ? Hé bien les scientifiques du Capitole ont décidé de dédoubler le génome d'un spermatozoïde afin de produire deux enfants identiques pour voir s'ils vivaient les mêmes choses et étaient pareils mentalement parlant. C'est pour cela que depuis sa naissance le petit Aniel est suivis par un psychologue. Les parents de l'enfant ne sont évidemment pas au courant, peu de monde ne le sait et l'individu qui en est la cible ne l'est pas plus que les autres. Sinon l'enfance d'Aniel est caractérisée par un point, il a toujours vécu heureux avec ses parents, ils ont toujours tout fait pour lui et ont été des modèles, des points d'ancrages pour le petit bout d'homme.

      CHAPTER I › Rendez-vous chez le psychologue, la barbe, j'y vais toute les semaines, d'après les médecins c'est parce que j'ai des problèmes mentaux. J'en ai autant que mon chat d'ailleurs, mais si je le dis, je vais encore avoir l'obligation de rester enfermé dans une cellule capitonnée pendant une semaine pour que le psychologue m'analyse. Je le déteste lui d'ailleurs, je déteste être allongé sur son fauteuil à devoir lui parler pendant deux heures entières. Je n'ai jamais compris pourquoi je dois venir depuis ma naissance, mais je viens, mes parents y tiennent, alors je leur fais plaisir. Cela fait dix ans que ça dure, mes amis me demandent pourquoi j'y vais, je réponds que je ne sais pas vraiment mais qu'il le faut. Je me souviens aussi un jour que ce soit disant médecin m'a demandé ce que je pensais des Hunger Games et des Jours Sombres, je lui ai dis que je n'en pensais rien, ça m'est égal à vrai dire, je ne vais pas dire que les enfants méritent de mourir, je le pourrais, mais non, cependant je ne ferais rien non plus pour les empêcher de perpétuer cela. Le psychologue a tout de suite noté un tas de trucs, comme si ça revêtait une quelconque importance de savoir cela. Enfin revenons à nos moutons ; en fait ce que je déteste par dessus tout, c'est son test des formes avec des tâches d'encre affreuses qui ne ressemblent à strictement rien. D'ailleurs en parlant de cela, voilà qu'il sort son porte vue. Au secours. Il l'ouvre à une page au hasard et me demande de sa voix nasillarde et affreusement aiguë : « Alors Aniel, que vois-tu ? » Je vois ta mère qui promène son abrutit de caniche. Je me retiens de lui dire des choses affreuses dans ce genre-ci, s'il savait à quel point il est exaspérant, non parce que franchement faire la même chose tout le temps c'est bien mais à force je ne vois plus l'utilité. « Je vois une tâche d'encre noire. » Je lui réponds la même chose à chaque fois, et à chaque fois il note que je suis trop terre à terre pour mon âge. En même temps c'est lui qui m'a rendu comme ça, avec ses questions à deux balles et quand il me garde en consultation pendant une semaine entière sans que je ne vois personne d'autre que lui. Bon sang, parfois je rêve d'un monde où il serait mort ça soulagerait tous les pauvres gens qui viennent le voir.

      CHAPTER II › « Monsieur Jefferson, votre conjointe est enceinte d'un petit garçon. » Un sourire éclaire mon visage, cela fait un an que je suis avec Emilia, une année de pur bonheur et voilà qu'un autre petit rayon de soleil vient poindre le bout de son nez. Nous savions qu'elle était enceinte, mais nous ne savions pas encore si c'était un petit ou une petite. Maintenant que nous le savons, il va falloir décider d'un prénom, d'un parrain et d'une marraine, et d'aménager sa chambre en conséquence. Tous les deux dans la voiture nous rentrons à la maison. Une fois arrivé, je remarque d'étranges choses. Premièrement il y a un autre véhicule stationné devant chez nous, deuxièmement, des gens sont devant ma porte. Ils sont habillés tout en noir, plutôt rare au Capitole, je commence donc à m'inquiéter sérieusement. Je demande à Emilia de rester ici tandis que je sors de la voiture et pars à la rencontre des individus. « Monsieur Jefferson ? » Je reste de marbre pour le moment, je réponds que oui c'est bien moi et tout d'un coup la seule femme du groupe reprend la parole. « Vos parents ont disparus, nous ne savons pas du tout où ils ont bien pu partir, nous sommes désolés et le président Stark vous envoie ses condoléances. » Ce dernier mot m'indique qu'il n'y a aucun espoir de les retrouver, surtout si c'est les hautes autorités qui se sont attelés à la recherche de mes géniteurs. Un coup de massue me tombe sur la tête et je m'écroule au sol, en larmes, finalement je comprends pourquoi je dois aller voir un psychologue, je suis faible, un rien me brise, c'est toujours comme ça quand j'apprends une mauvaise nouvelle.

✻ ✻ ✻

Les neuf mois sont passés, mon fils est né, mais de sombres choses se sont encore déroulés, c'est toujours ainsi dans ma vie depuis quelques temps, tout arrive d'un coup, tout se ligue contre moi pour me faire chuter. Je crois que si je n'avais pas eu Aiden, je n'aurais pas continué, elle est morte en lui donnant naissance, elle n'a pas survécu, le petit lui a provoqué une hémorragie interne et les médecins étaient impuissants. A chaque fois que j'y pense, les larmes repointent le bout de leur nez. A chaque fois que je pose les yeux sur mon bébé, je me dis que c'est de sa faute si elle n'est plus là. Mais je ne peux pas le blâmer, il n'y peut rien, il ne comprend pas. Alors je m'occupe de lui, je fais en sorte qu'il soit le plus heureux possible afin de pouvoir connaître ce bonheur d'être papa. Mais c'est dur, tous les soirs je pleure parce qu'elle n'est plus là, je devrais aller sur sa tombe, mais je n'arrive pas à m'y résoudre, ça voudrait dire avouer qu'elle est morte et je ne veux pas être exposé à la réalité de cette chose si affreuse qu'est le trépas d'un être cher vers l'autre monde.

✻ ✻ ✻

La vie est dure, je le constate une troisième fois, lui aussi est parti. Cette fois-ci, je m'en veux à mort. Il a eu un cancer généralisé et il est décédé en quelques jours sans que l'on ne puisse rien faire. Je me dis que si je m'en étais mieux occupé, peut-être ne serait-il pas... Je ne sors plus de chez moi, mis à part pour aller voir mon dealer, ma meilleure amie est devenue Marie-Jane. Je fume pour tenter d'oublier, ça marche bien d'ailleurs, mais ça ne dure qu'un temps alors dès que les effets de l'herbe s'arrêtent, j'en refais un. Ainsi tout mon argent passe dans la drogue. Je n'ai plus personne mis à part le parrain et la marraine d'Aiden, tous les autres sont morts, partis en fumée. Je me retrouve seul. En fait non, je ne suis jamais seul, ils sont tous là, autour de moi...

      CHAPTER III › Les mains contre les oreilles, les yeux pleins de larmes, les joues mouillées, je hurle jusqu'à m'arracher les poumons. « TAISEZ-VOUS ! » Ils sont là à rigoler autour de moi, comme si je n'étais qu'une bête de foire, je n'en peux plus de les entendre, ils me font mal. Leurs remarques me blessent, comme s'ils étaient en train de prendre un malin plaisir à me torturer. Je n'en peux plus, leur présence m'insupporte. Ils sont là tout le temps autour de moi à me parler, à se moquer de moi. Je veux qu'ils partent. « Papa ! » Le pire c'est sa voix à lui, il n'a jamais pu parler mais je l'entends clairement, c'est la voix que j'entends le plus, celle de mon fils, celle d'Aiden, de mon bébé qui est mort. J'ai tout essayé, les bouchons de cire, les anesthésiants, même la drogue ne m'aide pas à arrêter ces voix sorties tout droit de l'enfer. Je veux que ça prenne fin, personne ne sait que je les entends, je n'en parle pas, mais ça se voit que mon état de santé se dégrade, je ne dors quasiment plus, je suis faible, j'ai perdu énormément de poids en peu de temps, ça ne fait qu'un mois qu'il n'est plus là, mais un mois ainsi c'est déjà de trop. Pourquoi est-ce aussi terrible que cela ? M'aurait-on fait quelque chose ? « Pourquoi tu m'as laissé mourir ? » Je n'en peux plus, j'éclate en sanglots, les larmes coulent toutes seules quand je ne fasse rien pour les arrêter. Je tente de juguler tout cela, mais rien à faire, ils sont toujours plus forts que moi, que toutes mes tentatives pour les faire taire. « Laissez-moi tranquille... » Je geins comme un enfant en bas âge qui ne sait plus quoi faire pour qu'on le lâche un petit peu. Vous avez parfois l'impression d'entendre des voix quand vous êtes seuls dans votre lit ? Ne dites pas le contraire ça arrive à tout le monde. Bien moi, cette impression est permanente et le pire c'est que je suis persuadé que ce n'est pas une impression et que c'est bien réel.

✻ ✻ ✻

La lame appuyée sur mes poignets, j'exerce une légère pression et du sang se met à couler, je ne sourcille même pas, la douleur n'est plus rien désormais. On parle souvent de blessures, de cicatrices, de marques qui font mal dès qu'on les voit, qui nous rappellent des moments de notre vie que l'on aurait voulu oublier. Certaines expliquent le passé des individus qui les portent, d'autres nous rendent plus forts, ou dans le côté négatif de la chose, attire le regard de dégoût des gens parce qu'ils trouvent cela moche. Pourtant, une cicatrice est loin d'être laide, elle fait partie de nous, elle a probablement contribué à ce que nous sommes aujourd'hui. Pourtant, les pires cicatrices ne sont pas physiques, mais psychologiques. Les blessures du cœur, de l'esprit sont probablement les pires, les plus longues à guérir si elles finissent par se résorber. On a beau avoir toute la volonté du monde. Une véritable plaie spirituelle est la pire des choses dont on peut écoper, elle nous tue de l'intérieur petit à petit, comme un feu follet qui s'empare progressivement de notre intérieur en ravageant tout sur son chemin. Elle peut même nous conduire à des extrémités que l'on aurait préférés ne pas envisager, le suicide, la dépravation, la drogue, l'alcool et toute autre chose qui vise à nous détruire doucement ou d'un coup rapide. Ouais, on est beaucoup plus forts après avoir réussi à surmonter une blessure mentale qu'une physique, même si l'on est tout aussi respectables dans les deux cas. Alors oui, j'ai mal, mais je m'en moque, parce que j'ai bien plus mal psychologiquement parlant. Le sang coule au sol et rien ne va plus, la vie part de moi, je n'attends plus que cela de toute manière... Je m'écroule à terre et me laisse mourir ainsi, au moins j'irais les rejoindre et j'arrêterais de les entendre.

      CHAPTER IV › J'ouvre les yeux, je ne sais pas où je suis, je m'en fou, je sais juste que ma tentative de suicide à foiré sinon je ne serais pas vivant. J'essaye de me redresser mais je n'y parviens pas, je suis entravé par des sangles, accroché à un lit, comme si j'étais un fauve. « Aniel ? » Oh non pas lui... Je grogne immédiatement. Mon psychologue. Je tourne la tête dans tous les sens et remarque des aiguilles et une seringue non loin de ma main. Je donne un énorme coup afin de me dégager pour attraper cela et trucider cet abrutit, mais rien à faire, je ne peux plus rien faire. « Aniel, vous savez pourquoi vous-êtes là ? » Je grogne une nouvelle fois avant de m'allonger correctement et de fermer les yeux pour m'endormir à nouveau, c'est mieux que de devoir l'écouter. « Oh ta gueule, tu me gonfles depuis plus de dix ans, tu me casses les... » Je n'avais pas remarqué le tuyau branché au niveau de la pliure de mon coude, et d'un coup le monde s'évanouit autour de moi.

✻ ✻ ✻

Je suis enfin à la maison, enfin au district dix, j'ai une maison au district dix et une maison au Capitole, je réside plus au dix parce que retourner au Capitole signifierait repartir dans mon ancienne vie, mon travail d'écrivain et d'hôte me prend tout mon temps depuis l'année dernière, mais ce n'est rien, c'est moi qui l'ait voulu. J'entends toujours les voix malgré tous mes efforts pour qu'elles s'arrêtent, mais j'ai appris à communiquer avec elle, au moins elles sont moins agressives, depuis il n'est donc pas rare de me voir parler tout seul, je suis fou, je sais. Je fume toujours, je suis devenu accro, c'est malheureux à dire n'est-ce-pas ? Et pour être honnête, je ne me suis toujours pas remis de la mort de mes proches, je ne m'en remettrais jamais je crois bien. Mais il y a des choses qui font que ça aille mieux, je fais tout pour aller mieux.


Explications du clone
     
      "L'embryon a bien été dupliqué, les résultats sont encourageants. Les deux mères porteuses donnent des signes positifs, les petits se développent correctement et tout porte à croire que l'expérience se passe correctement. Les deux familles n'ont aucun contact et la famille Jefferson est installée au Capitole, leur enfant sera nommé Lucifer Aniel Jefferson et il vivra dans une bonne famille. – Dr Jenner.

      "Les deux individus adoptent des comportements radicalement opposés, l'expérience se révèle donc concluante. Le but était de voir s'ils évoluaient de la même façon et ce n'est pas le cas. Nous pouvons être fiers de notre travail. Cependant nos deux cobayes ne doivent jamais se rencontrer c'est mieux pour eux, pour leur bien être mental et psychologique. – Dr Jenner.


      Behind the screen
     
   

  • Prénom/Pseudo : Nicolas, ou plutôt caius.
  • Age réel : J't'en pose des questions moi ?
  • Comment as-tu connu le forum ? Il y a très longtemps, genre il y a deux ans sur google.
  • Le mot de la fin : Faim.
  • Code du règlement :
       

     


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Dernière édition par L. Aniel Jefferson le Sam 26 Avr - 14:27, édité 12 fois
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Ruby Prescott
Ruby Prescott
+ District Un +


♣ Nombre de message : 538
♣ Date d'inscription : 26/06/2012


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MessageSujet: Re: › you shot me down, bang bang. › you shot me down, bang bang. I_icon_minitimeVen 25 Avr - 21:15

› you shot me down, bang bang. 109111790 › you shot me down, bang bang. 109111790
J'TE VÉNÈRE C'EST OFFICIEL ! (j'adore le debut de ta fiche *o* )
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Sebastian Seifer
Sebastian Seifer
+ District Sept +


♣ Nombre de message : 167
♣ Date d'inscription : 05/08/2013
♣ Age réel : 27


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MessageSujet: Re: › you shot me down, bang bang. › you shot me down, bang bang. I_icon_minitimeVen 25 Avr - 21:40

DYYYYYYYYYYYYYLAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAN

TU ES MON DIEU
AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH
JE TAIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIME

Re re re (xjesaispascombien) bienvenu

Bonne chance pour ta petite histoire mon amour :hap:
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MessageSujet: Re: › you shot me down, bang bang. › you shot me down, bang bang. I_icon_minitimeSam 26 Avr - 8:01

    Merci tous les deux I love you
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MessageSujet: Re: › you shot me down, bang bang. › you shot me down, bang bang. I_icon_minitimeSam 26 Avr - 9:40

Ton pseudo ne comporte que trois noms... MAIS QUE T'EST-IL ARRIVE ? › you shot me down, bang bang. 202651263
Bref, rebienvenue › you shot me down, bang bang. 1219656244
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MessageSujet: Re: › you shot me down, bang bang. › you shot me down, bang bang. I_icon_minitimeSam 26 Avr - 10:17

    J'ai fais soft pour une fois duh
    Merci en tout cas ! › you shot me down, bang bang. 2965971428
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MessageSujet: Re: › you shot me down, bang bang. › you shot me down, bang bang. I_icon_minitimeSam 26 Avr - 10:33

TOIIIIIIIIIIIIII, TOIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII duh

Rebienvenuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuue
Bon courage pour la fichounette et ... et Je t'aime déjà I love you
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MessageSujet: Re: › you shot me down, bang bang. › you shot me down, bang bang. I_icon_minitimeSam 26 Avr - 10:57

    JE T'AIME AUSSI I love you
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Trishteh Yeleen
Trishteh Yeleen
+ District Onze +


♣ Nombre de message : 947
♣ Date d'inscription : 28/07/2012
♣ Age réel : 26


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MessageSujet: Re: › you shot me down, bang bang. › you shot me down, bang bang. I_icon_minitimeSam 26 Avr - 11:28

Un début prometteur, hâte de voir la suite Very Happy.
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MessageSujet: Re: › you shot me down, bang bang. › you shot me down, bang bang. I_icon_minitimeSam 26 Avr - 11:53

    Merci co-admin duh
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MessageSujet: Re: › you shot me down, bang bang. › you shot me down, bang bang. I_icon_minitimeSam 26 Avr - 14:31

[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]

Te voilà validé !



→ N’oublies pas de te rendre à cet [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] pour recenser ta célébrité.
→ Passes réserver ta place pour les hunger games [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien].
→ Tu peux dès à présent créer ta fiche de lien [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] et ton répertoire de RP [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien].
→ N'oublies pas de passer régulièrement par [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] pour te tenir informé de ce qui se passe dans le coin.
→ Et c'est [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] pour recenser tes différents points.

Je me valide avec plaisir ! J'adore ma fiche, j'adore mon avatar, j'adore mon pseudo. Non franchement je suis parfait ! Je m'aime et tout I love you

Bon jeu à moi sur le forum !

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MessageSujet: Re: › you shot me down, bang bang. › you shot me down, bang bang. I_icon_minitime

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