The Hunger Games RPG
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Evanescence Eden Rangwever ━ Don't look back ever...And fight.

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Evanescence Eden Rangwever ━ Don't look back ever...And fight. Empty
MessageSujet: Evanescence Eden Rangwever ━ Don't look back ever...And fight. Evanescence Eden Rangwever ━ Don't look back ever...And fight. I_icon_minitimeLun 20 Mai - 19:30

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Evanescence E. RANGWEVER


Don't look back ever...And fight.





prénom :Evanescence Eden.
nom :Rangwever.
date de naissance & âge:22 ans, en fondant cette affirmation sur ses attraits physiques, étant donné l'absence intégrale de la moindre trace d'un passé quelconque. Ainsi, sa date de naissance,de par une exactitude des plus prononcées, demeure irrévocablement et inexorablement indéterminée..
statut :Célibataire.
district: District 12.
groupe : Mentor.
featuring :Feat. Tumblr.// RIHANNA//







PERSONNALITY (Caractère)


Evanescence?Qui était-elle? Par une démonstration d'autonomase des plus conformes à la véracité des attraits les plus constitutifs de cet individu empli d'une abstrusion incommensurable, tant elle en était abyssale, elle n'était autre que l'incarnation la plus idyllique de Satan, par une oxymore ésotérique, protagoniste au passé amphigourique, et aux souvenirs souillés d'une putréfaction accablante de manière irrévocable. Par une démonstration d'autonomase des plus conformes à la véracité des attraits les plus constitutifs de cet individu empli d'une abstrusion incommensurable et d'une réminiscence accablante, tant elle en était abyssale, elle n'était autre que l'incarnation la plus idyllique de Satan, par une oxymore ésotérique, protagoniste au passé amphigourique, et aux souvenirs souillés d'une putréfaction accablante de manière irrévocable.Assaillie inexorablement et inéluctablement de moult questions empreintes d'une rhétorique considérable, d'où elle ne discernait que quelques bribes syllabiques constitutives aux phonèmes, Evanescence se contentait constamment de tergiverser avec son subconscient déchu qui manquait de la subjuguer, afin de demeurer détentrice de son âme sibylline. Les ténèbres insondables auxquelles la jeune femme était astreinte et inopinément assujettie obstruaient diamétralement et formellement son regard glacé en proie à une valse macabre relativement indissoluble d'entités chimériques des plus métaphysiques. Mais quelle pernicieuse et délétère tragédie, quel infâme et scélérat mélodrame exacerbant le comble de l'aberration s'étaient vus assigné et octroyé la funeste alternative que de corrompre et de dévoyer intégralement et irréductiblement cette femme du District Douze de par l'âme dont elle était la détentrice? Telle était la question. Une question relativement exhaustive, à laquelle demeurait une vaste multitude de conjectures aussi diversifiées et singulières les unes que les autres; néanmoins, pas la moindre réponse. Quoique celle-ci s'avère d'une inexactitude des plus marquées. En effet, la véracité de celle éventuellement formulée par quiconque ne serait absolument pas des plus abouties, de par par la contingence et la précarité alors occasionnées dans l'émanation de cette prétendue réponse. Ainsi, on se contente ,avec le paroxysme de la superficialité, d'en déduire abjectement que cette métamorphose et satanique est dû aux dixièmes Hunger Games, auxquelles le mentor avait été contraint de participer, de par le tirage funeste et inéluctable qu'était la Moisson. D'une certaine manière, les dires de cette présomption commune n'étaient que partiellement erronées. En effet; car, autrefois, derrière cette enveloppe charnelle empreinte d'un éternel masque impassible affiché constamment sur son visage aux traits légers et taillées de la manière la plus édénique qui soit, Evanescence n'en était pas moins vivante. Une femme qui avait choisi de vivre. Certes, elle n'avait jamais manifesté le moindre-aussi infinitésimal était-il- intérêt par rapport aux sollicitudes ineptes, inénarrables et saugrenues que ressentaient les jeunes femmes d'un âge relativement similaire au sien, toujours en se fixant sur un plan exclusivement et irrévocablement physique, comme les délectations et les allégresses de la vie d'adolescente de manière quotidienne, l'attraction envers les garçons globalement exhaustivement-bien qu'elles disposaient amplement des attraits physiques nécessaires qui, singulièrement sa personne, s'avéraient inexorablement rémunérateurs et salutaires-. Elle ne subvenait à la moindre corrélation sociale, à la moindre fréquentation aussi lucrative et attrayante était-elle, si bien que nul ne fut commotionné par sa nomination relativement inopinée lors de la Moisson de mai, alors qu'elle n'était âgée que de dix-sept printemps. Ou du moins, presque. Car en effet, il subsistait bel et bien un unique individu considérablement huppé qui présidait de manière implacable et titanesque son coeur de cendre, qui connaissait absoluement chaque parcelle de son être. Absolument tout. Il la connaissait par ailleurs davantage qu'elle ne se connaissait elle-même. Jaden. Jaden... Cinq ans après, Evanescence n'état absolument plus dans la capacité de prononcer distinctement ces quelques phonèmes se répercutant en une cacophonie abominable dans son âme souillée, alors qu'une véritable mélodie aux saveurs idylliques en étaient produites autrefois, sans friser l'accès d'hystérie absolue relativement redouté. Le verdict empreint d'une fatalité satanique et monumentale s'était lourdement abattu ce jour là, engendrant une course effrénée du muscle intégralement substantiel que constituait le coeur de l'adolescente à la longue et épaisse chevelure noire. La frustration incommensurable et monumentale, l'affliction et la désolation, l'irrésolution et l'incertitude ne faisaient que s'enchevêtrer davantage dans un flot sentimental des plus plantureux, exacerbant la vigueur déjà titanesque de la complexité de ce contraste émotionnel des plus prononcés, qui faillit l'emporter par la même opportunité. Jaden, Tribu masculin du District 12, officiellement nominé et réquisitionné lors des dixièmes Hunger Games de Panem. L'avènement d'un compte à rebours des plus impitoyables, dont les aiguilles mènent un affront garguantuesque et sanglant. Et le dénouement fatidique. Lorsque l'épée transcendante et coruscante, originellement destinée de manière inéluctable à traverser la poitrine de la jeune femme, perfora l'abdomen musclé qui se dessinait devant elle en signe de protection suprême, avec des allures de scènes sacrifiques dignes des enregistrements cinématographiques. L'arrêt. Il avait pronnoncé quelques morphèmes, avec dureté. "Ne te retourne pas. Et bats-toi." Et elle s'était aussitôt exécutée, franhissant avec une puissance considérable tout obstacle aussi faramineux était-il. Sans se retourner. Après avoir remporté cette dixième édition des célèbres Hunger Games, Evanescence s'était éteinte, tel un rayon incandescent radieux qui cède sa place si éléphantesque à l'obscurité insondable et sempiternelle. Néanmoins, une nouvelle flamme amère et empreinte d'une véhémence inimitable fut progressivement élaborée dans l'esprit abscons du vainqueur du District Douze. Cette avidité insatiable d'une haine soupçonnée de se considérer comme le summum .Evanescence conserva des séquelles irréversibles des Hunger Games, à l'instar de la poignée dérisoire de par son volume des plus restreints de survivants, vous maculant irrévocablement durant toute l'éphémarité de la vie humaine d'une souillure indélébile. Plongeant dans la drogue et l'addiction, Evanescence fut finalement considérée en tant que mentor des Tribus du District Douze. En réalité, d'une certaine manière, la seule chose dont elle était véritablement capable, c'était de leur répéter ce qui l'avait brisée. Ne jamais se retourner...Et se battre.







IN FRONT OF THE MIRROR (Physique)


De manière divinement divergente, antagonique à la plus illustre majorité du commun des mortels féminin d'un âge approximativement similaire au sien, de par sa personnalité pour le moins indicible et inénarrable, Evanescence n'exhibait nullement la prérogative des plus abouties et des plus agréantes que constituait son physique. Et pour cause; selon sa conception philosophique relativement semblable à une abstraction des plus abyssales, l'humain exacerbait le paroxysme le plus homérique et le plus phénoménal qui soit de la mégalomanie et de la présomption, que de s'expertiser lui-même en tant qu'être doté de quelconques attraits physiques s'avérant relativement illustrés et cultivés, et de se prétendre sculptural. Néanmoins, de surcroit, en plus du fait des plus singuliers qu'elle n'ait jamais tenté d'exploiter davantage son apparence globale ainsi que sa physionomie déjà relativement développée, Evanescence était ce que l'on pouvait considérer comme un miroir brisé, semblant subsister en toute quiétude. Cédant sa féminité déjà relativement restreinte dès sa nomination même à la dixième Moisson, et ce sans le moindre repenti, Evanescence était généralement vêtue de vêtements sombres dissimulant habilement ses courbes généreuses derrière l'épaisse texture teintée de jais. Ses mains, relativement âpres de par la corrosion cutanée progressive qu'engendraient les combats incessants,surmontées par d'épais ongles longs, expertes dans le maniement des armes telles que l'arc et le revolver, révélaient alors des plus inconsistantes lorsqu'il s'agissait de fournir et de procurer un réconfort aussi minime était-il, auprès d'autrui. Décidément, ces mains, s'apparentant davantage à celles d'un soldat confirmé que d'une femme, étaient conçues et édifiées pour décimer inlassablement, non pour manifester une quelconque ataraxie. La silhouette de la jeune femme originaire du District Douze se démontrait relativement fine et élancée, indubitablement bien proportionnée, malgré sa musculature considérablement étoffée de par les entraînements consistants et copieux, ainsi que l'effort physique fourni perpétuellement, qui n'en demeure pas moins féminine, dans l'incapacité frisant l'exacerbation de la formalité que d'égaler celle d'un homme, ne pouvant guère araser une stature si colossale. De par sa perspective singulière , en l'occurrence relativement filiforme et svelte, circonférée de multiples traits considérablement édéniques et idylliques, sa peau teintée d'un doux mordoré parsemé d'une panoplie des plus intégrale et des plus exhaustive de reflets ambrés, frisant le point culminant du chaste et du virginal, et trompant perfidement par l'apparence euphorique qu'elle immole constamment à l'exacerbation de la prospérité et de la béatitude des prunelles d'autrui, Evanescence est taillée à partir d'un cristal immaculé et orné maculé du sang souillé de ses sculpteurs. Sa toison ondoyante teintée de ténèbres insondables selon un reflet conforme des obscurités de son âme relativement abyssale, aux abords sibyllins et catabalistiques, constitutive à l'exacerbation de l'abstrus, oscillait perpétuellement et inlassablement le long de ses reins, avant de renouer avec leur sérénité initiale, empreinte d'une quiétude déconcertante tant elle en était titanesque, avant que la jeune femme ne sombre dans la détérioriation physiologique. En effet; son retour de la funeste arène eut des séquelles et des incidences éléphantesques quant à son équilibre déjà préjudiciable et précaire, concernant son aspect physionomique comme psychologique. Ensevelie sous l'amertume, la haine et la véhémence, immergée par une atroce réminiscence, Evanescence sombra de manière graduelle dans l'addiction à des quantités faramineuses et considérablement nocives de drogues multiples, se rasant partiellement son crâne meurtri et en proie à un supplice semblable à l'hypertrophie, et séctionnant négligemment ses mèches dotées d'une épaisse texture ébène, réduisant sa longueur somptueuse de moitié. Quant aux prunelles de la vainqueur ténébreuse, elles étaient incontestablement teintée d'une nuance céladon s'apparentant davantage à la cendre, dépourvu de la moindre manifestation émotionnelle, répercutant un aspect empreint d'une vacuité des plus abouties. La détentrice de cet attrait physique des plus sensationnels, à savoir Evanescence, assujettissait copieusement les quelconques individus misérables qui étaient voués à s'enchevêtrer au coeur de son cheminement empli d'un charisme dévastateur. Un nez fin, des lèvres charnues et légèrement rosées s'énumèraient en un portrait exhaustif des plus idylliques et le comblaient avec brio.





ONCE UPON A TIME (Histoire)


PROLOGUE






« La vie ? À quoi bon sert-elle quand on ne sait pas quoi en faire ? Tant d'âmes perdues dans ce vaste espace doivent se poser la question, car tel est leur cas. Car tel est son cas. Les erreurs ne sont pas toujours mauvaises, elles nous apprennent, elles nous font ressentir pour continuer à avancer. Mais pour ça, il faut sûrement savoir se faire pardonner. Pourquoi culpabiliser, rester et bloquer sur une même mauvaise chose tant de temps pour se torturer l'esprit, se faire saigner intérieurement ? Ce sang qui s'échappe de son flux quotidien, qui quitte la bonne route de son destin pour pouvoir s'évader et faire mourir à petit feu ce corps... Mourir... C'est déjà une part de ce destin... Alors pourquoi le tromper, le détourner alors que tout peut s'arranger si on y met une réelle volonté ? Les larmes coulent, les sourires naissent avec. Tant de liens engendrés par la vie en elle-même. Le matin, quand vous vous levez, remerciez vous seulement cette lumière qui vous inonde de clarté ? Alors faites le à l'avenir. Mais quand viendra la mort, remerciez la aussi, de vous emmener dans un monde qui se vaudra peut être mieux que celui-ci. Elle vous protégera tout ce voyage de ses grandes ailes sales, cet abris sombre et noir... À moins que vous considérez la vie comme un rêve, et qu'alors ces plumes sont juste là pour vous en extirper et vous embarquer dans la réalité. Alors, la mort serait peut être une réalité ? Quelques part, la mort doit en être belle puisque personne n'en est revenu. »




ACTE 1
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Inhalant amplement et intensément la fraîcheur qui émanait des vapeurs obstruées constitutives à la prédilection du règne de l'imminence de la souveraineté aux airs inébranlables du crépuscule, dans un cadre parfaitement symphonique, -en l'occurence un mariage singulier d'oranges, de pourpres et de rosées, simulant la douce agonie de cet univers vespéral-Evanescence s'imprégnait pleinement de cet univers lénifiant, paupières closes, consciente de son éphémérité. La lumière feutrée et diaphane, emblème lunaire, ne tardait nullement à enrichir le tableau de cette douce torpeur bleutée, émanant d'un croissant de lune éclatant, baignait la salle de bain d'une vacuité considérable, et parsemant les parois fines et régulières de multiples incandescences aux aspects aberrants et irrationnels . Nul ne vint perturber cet équilibre harmonieux, cet idéal des plus aboutis, alors que l'adolescente à la toison de jais bénéficiait de toute la richesse de cet instant. Redressant une main imperceptiblement tamisée de dorée, elle révoqua délicatement la bretelle des plus filliformes de son débardeur teinté d'un ivoire jadis limpide et immaculé, désormais souillé d'une quantité faramineuse d'une substance visqueuse et épaisse pourvue de marron, émanant une arôme constitutive et typique de la terre fraîche tapissant et jonchant intégralement les bois luxuriants et emplis d'une verdure inimitable faisant office de bordure du District Douze, avant de laisser inébranlablement et inflexiblement choire la matière textile infâme et poisseuse le long de son enveloppe charnelle relativement vulnérable. Réintérant cette même opération jusqu'à s'avérer intégralement dénudée, Evanescence se dirigea d'une démarche relativement feutrée, l'oeil placide et flegmatique, en direction du miroir chatoyant et resplendissant de par l'intensité des plus notables des faisceaux colorés qui transparaissaient à grande peine à travers l'épaisse et infinitésimale vitre souillée par une opaque et râble substance charbonneuse et cendrée, toisant succinctement avec une austérité inénarrable de par l'importance de cette dernière l'image illusoire de l'être qu'elle constituait de par l'ensemble le plus exhaustif de la moindre de ses cellules, cet être terne et sempiternellement impassible. Clôturant et enceindant finalement inopinément ses lugubres conjectures internes, s'extirpant nonchalement de cet état d'inertie des plus fieffés et des plus absolus frisant l'inanimosité et la langueur la plus édénique, Evanescence entreprit d'incliner de par une gestuelle impondérable et impalpable, le goulot faisant office d'accession d'eau chaude, qui, en l'occurrence, ne produisait le liquide que sous température minime et réfrigérante, si bien que l'on se voyait dans l'indisposition la plus précaire de disposer directement de l'abondante substance éventuellement réquisitionnée. Néanmoins, aussi déconcertant et ahurissant cela pouvait-il paraître, l'écoulement cristallin qui émanait du robinet métallique et enseveli sous l'épaisse couche de calcaire corrodant, jusqu'à se déverser le long de l'extrémité souple du bras tendu d'Evanescence n'était autre qu'un fluide inexorablement fûmant et calcinant de par l'intensité titanesque de la température produite. Après mûre réflexion, cela n'était aucunement mirifique et prodigieux et pour cause; le Capitole avait prit un soin considérable à alimenter, exceptionellement, de par une fidélité idyllique et proverbial à la coutume de la Moisson, pendant laquelle le réseau d'alimentation de l'intégralité la plus formelle de Panem se devait de disposer des ressources nécessaires afin de se prédisposer en conséquence pour la cérémonie officielle transmise en direct dans quelque District que ce soit, et que la plénitude la plus illustre du pays soit en mesure de suivre comme il se doit, conformément à la loi du Capitole, les Jeux, ainsi que les festivités associées. Ainsi, il était bel et bien irréfutable et irrécusable que de disposer de la source chaude, étant donné les circonstances faramineuses. Evanescence, expertisant scrupuleusement d'un oeil relativement circonspect le niveau d'eau ardente dont les fines vaguelettes ne manquaient nullement de s'empresser insouciemment de lécher abondamment les parois nacrées bordant la baignoire ample, avec une expression empreinte d'une quiétude et d'une volupté idylliques, s'enchevêtrant avec brio dans une douloureuse langueur, destitua subitement l'arrivée d'eau exclusivement copieuse qui se déversait avec une vivacité consternante dans l'eau cristalline et limpide. Les Hunger Games. Cette vaste sinécure des plus infâmes, souillée jusqu'à en atteindre le paroxysme de la putréfaction, trônant inlassablement et intarissablement, aux allures sempiternelles, au centre des coutumes traditionelles de Panem, de par son élaboration âgée de près d'une décennie, par le gouvernement suprême qu'était inéluctablement le Capitole. Le Capitole...Il faisait subir impitoyablement un calvaire des plus authentiques à l'intégrité la plus assidue et la plus véridique des Districts. Royalement hermétique, imperméable et considérablement frigide devant les constantes et perpétuelles élégies calamiteuses des innombrables victimes qui s'amassaient irrévocablement en un vaste et putride monticule poisseux de par les flots sanglants et pourpres continuellement et irréfutablement déversés en quantités titanesques, il ne cessait de faire perdurer ce véritable apocalypse sanguinolent, de par une allégorie des plus confirmées. D'ailleurs, c'était faux. Le Capitole ne présentait aucunement la moindre indifférence au martyr qu'enduraient les pauvres habitants des Districts; bien au contraire, il se délectait de la souffrance la plus lancinante, la plus cuisante qui soit. Telle était sa nature innomable, nauséabonde et fétide, emplie d'une immoralitée burlesque et caravalesque de par l'ahurissement qu'elle suscitait de par sa cruauté affligeante. Finalement, la jeune femme à l'importante chevelure d'un ébène charbonneux lui effleurant et flattant délicatement les reins avec une souplesse déconcertante se résigna à immerger sa jambe généreusement enrobée et submergée par la copieuse souillure boueuse et relativement pâteuse, délectant les légères irritations parsemant la surface polie et satinée de sa peau fraîche, acquérant de manière graduelle et ascendante une fièvre des plus pronnoncées typique de la température majorée et anoblie de l'eau, puis de par une soudaine impulsion partiellement supervisée, pénétrant intégralement dans la liquidité fluide et translucide émanant d'abondantes vapeurs attestant de l'importance de la chaleur qui emplissait la baignoire couleur porceleine, qui consumma dès lors le moindre membre de la jeune fille, aucunement acclimaté à cette fameuse température. Tentant vainement de réprimer un énième spasme emprient d'une frénisie déconcertante semblable aux saignements copieux d'un hémophile, qui se perpétuaient et l'assaillaient inlassablement avec une véhémence irrationnelle, ses incicives, aux abords nacrés de par leur saturation blanchâtre, ne récriminant de divertissement ,quel qu'il soit, plus subjuguant et ésotérique que de meurtrir et d'endolorir foncièrement sa fine lèvre inférieure, frisèrent d'une marge infinitésimale et risible l'incision de cette dernière. D'une main consumante et humectée d'eau, s'extirpant tel un cygne maculé de souillures diverses et multiples de la spacieuse soupe nautique, avant d'effleurer de par un contact relativement succinct la source, interrompant sèchement par la même occasion l'épanchement diaphane dans sa somptueuse et voluptueuse course sempiternelle, pour enfin s'emparer avec volubilité d'une flasque réhabilitée de par une texture des plus prosaïques et irrévérencieuses s'apparentant davantage au plastique produit abusivement par le Capitole, bridant vivement et hermétiquement un fluide teinté d'une couleur rose pastel relativement ubuesque, constitutive des vocations et propensions liées aux différentes teintes des plus aberrantes, carnavalesques et obscènes du Capitole, exacerbant l'exhaustivité la plus aboutie de la panoplie extravagante et rocambolesque. Déversant la texture fluctuante et mouvante dans la baignoire afin qu'elle forme une alchimie des plus mirifiques avec l'eau, Evanescence se laissa choire avec une langueur comblant le summum de l'inertie le long de la paroi humide et moite de la baignoire, sombrant dans les doux et redoutables-selon une démonstration parfaitement antinomique et un contraste flagrant- bras de Morphée, paupières closes, succombant à cet effluve paradisiaque, à cette exhalaison édénique et auguste.

"-Ev'? Qu'est-ce que tu fiches?"

Ce timbre vocal empli intensément les tympans de l'interpellée, en l'occurrence Evanescence, avant que sa tonalité n'ébranle considérablement ses neurones réfrigérés, s'enchevêtrant avec une cacophonie infernale et exaspérante dans son esprit partiellement embrumé par la volupté de l'instant, la conduisant inéluctablement du pont de l'illusoire et du fictif, vers le chemin du rationnel. Par ailleurs, la jeune femme ne connaissait que trop bien le détenteur de cette voix légèrement rauque et sibylline; Jaden. Posté fermement devant la porte de la salle de bain commune de la mine du District Douze, soigneusement et préalablement vérrouillée, stationnaire. Un fragment infîme de sa voix masculine s'avérait relativement dissemblable et divergente de l'accoutumée, qui relatait un sentiment empli de quiétude, inébranlable et stoïque, trahissant en l'instant-même une parcelle d'une exaspération toutefois globalement présidée, certainement liée à l'éternisation nettement charriée et exacerbée de la jeune fille dans la pièce. Evanescence se résolut avec une désinvolture et une nochalance des plus irrévérencieuses et inconvenantes à entrouvrir légèrement ses paupières devenues énigmatiquement lourdes et tétanisées, avant de les ouvrir dans leur intégralité, papillonnant des cils, de par l'intensité de la lumière pénétrant toujours amplement à travers la fenêtre. Parvenant à accoutumer davantage ses prunelles couleur céladon à la clarté presque diaphane, elle immergea de l'eau tempérée, faisant surface non sans une certaine peine.

"-Merde, Ev', ça fait une heure que t'es là-dedans!"

De par une impulsion, bien que succinte, relativement pétulante et exubérante, je me contraignis à me désolidariser de cette température désormais des plus avenantes et délectables qui imprégnait la baignoire revêtie d'un riche et sporadique manteau ivoire, enjambant de par une gestuelle prompte et expéditive la bordure humide avec agilité, avant d'établir la surface marbrée et réfrigérée qu'offrait le sol comme empreint d'une fiabilité subvenante et déçante en les circonstances, et d'y prendre appui. Me ceindant et me cernant consciencieusement et rigoureusement dans le fin textile de teinte charbonneuse entreposé à proximité de l'ammoncellement titanesque de multiples linges propres aux arômes parfumées dont la mine était la détentrice absolue, je me plaquai avec une virulence et une impétuosité non feintes le long de la façade tapissée d'un épais carrelage que constituait le mur porteur de la pièce, le regard vaguabondant dans les méandres de l'existentiel, défiant l'aberration avec une vive lueur de défi aux multiples risques des plus titanesques. Une appréhension inénarrable et relativement scabreuse manqua de peu de me submerger toute entière, nouant de manière transitoire mon estomac empreint d'une vacuité absolument exemplaire, véritable archétype de la vacuité et donc par conséquent de la famine la plus intense qu'il soit, lorsque dans mon esprit embrumé se concrétisait soudain l'imminence pour le moins éprouvante que représentait la cérémonie de la Moisson, m'expédiant soudain à une distance faramineuse de la frontière du fictif et de l'illusoire. Ainsi, de par ces festivités dont l'immoralité égalait aisément celle de Satan, une quantité aucunement dérisoire et vénielle de fragments de papier directement importés de la production abondante du Capitole dont comportaient l'inscription intégrale, soigneusement et méticuleusement rédigée de par l'encre pulpeuse et épaisse du Capitole, de "Evanescence Eden Rangwever", reposait, placide, dans un surimposant et corpulent récipient de verre parfaitement diaphane et translucide trônant fièrement au centre de l'estrade transitoirement instaurée sur la place centrale du District Douze. Cette année, j'avais réquisitionné davantage de tesserae qu'à l'accoutumée, étant donné que les productions méticuleuses s'avérant relativement maigres de par la perpétuité d'une multitude d'intempéries empreintes d'une véhémence garguantuesque de ma soeur cadette, Willow, ne parvenaient plus à subvenir à nos besoins élémentaires nutritionnels. Car, en effet, Willow pourvoyait minutieusement et avec d'imposantes précautions relativement variées la culture de blé et de pommes de terre constituant par ailleurs la principale denrée alimentaire de notre District, depuis l'âge de onze ans. Désormais âgée d'une quinzaine d'années, l'adolescente pourvue d'une fine toison châtain et de splendides prunelles aigue-marine ne parvenait guère à entretenir avec brio les inlassables sollicitations de ses récoltes relativement médiocres dans son entourage, provenant de ses clients du District Douze lui fournissant en contre-partie essentiellement les apports laitiers dont nous nous nourrissions, ainsi que les rares pièces giboyantes dont nous avions l'incommensurable et singulière opportunité de disposer, mais également de nous-mêmes. Néanmoins, je refusais catégoriquement, quel que soit le quelconque objet susceptible de me dissuader de par une ruse intense et perfide, que Willow réquisitionne le moindre tesserae. Ainsi, de surcroit, en plus de mon laborieux et pénible ouvrage quotidien à la mine de charbon constituant par ailleurs la source de revenus majorée de notre foyer, j'avais pris l'initiative des plus conséquentes d'assimiler une quantité indiscernable, nébuleuse et abstraite de tesserae, de par l'importance irréfutablement présente et colossale de la nécessité impérative et immuablement suffoquante, insoutenable de la situation pour le moins précaire et fluctuante dans laquelle nous nous trouvions. J'étais en effet ornementée et pourvue d'une infîme parcelle de sagacité me concédant ainsi une certaine lucidité dont j'héritais la certitude que, dans le cas le plus méphitique et nauséabond dans lequel Willow serait désignée dans un élan macabre en tant que tribu, je ne détiendrais aucunement, quels que soient les efforts magistraux et phénoménaux fournis, la capacité d'y consentir. Jamais.

M'aggripant au solide rebord de la baignoire vaporeuse d'une main imperceptiblement rougie de par l'éminente température émanant du liquide limpide dans lequel elle baigait quelques instants superficiels et succincts auparavant, je saisis entre mon index et mon majeur d'un sachet d'une teinte translucide se référant davantage au plastique qu'à une éventuelle autre substance, aux abords relativement bénins et étriqués, dont je m'empressai d'ingérer le contenu complètement abscons avec une diligence et une célérité éberluantes.

"-Eva?!"

Soudain, le verrou chétif et fluet de l'unique orifice de la pièce, à savoir la porte d'entrée, se voyant dans l'inaptitude et l'impéritie la plus absolue d'opposer la moindre vitalité à la pression véhémente et antagonique qui l'assaillait, céda dans un fracas pour le moins mirifiquement prodigieux et sensationnel, alors que la porte ensevelie sous une épaisse et vigoureuse peinture écrue se déploya et se fraya aussitôt, laissant apparaître une silhouette imposant une allure virile et nettement désinvolte dont l'identité de son détenteur transparaissait pour moi aussi distinctement qu'au travers d'une fluide et diaphane eau de source. Il me saisit derechef la taille étant toujours enrobée de la fameuse serviette de bain de teinte anthracite typique de la couleur pour le moins terne et opaque de la roche sédimentaire proliférant de par une opulence pantagruélique dans les lieux souterrains qui constituaient l'importante mine de charbon du District Douze qui s'avérait être la source de réputation majorée de ce dernier, d'une main qui se savait absolument considérablement avisée faisant inexorablement et à la perfection la plus absolue la part des choses entre inflexiblité et minutie, m'extirpant progressivement et graduellement de mon état de langueur pharaonique et disproportionné. Il me toisait durement d'un regard rébarbatif, impavide et inaltérable qu'il arborait constamment lorsque lui, immuablement stoïque et empli d'une maturité ahurissante de par son importance démesurée, se devait de me réprimander, moi, l'adolescente inexorablement contestataire et insurrectionnelle droguée jusqu'aux dents. La lueur sibylline d'une clarté édénique de ses prunelles d'un jade singulier et ubuesque indéniablement splendide lui valant son nom exerçait perpétuellement un pouvoir attractif phénoménal qui transparaissait de manière pleinement chimérique et inconcevable me submergea vigoureusement. Les multiples traits de son teint mat infaillible ne cessèrent d'observer les lois concises de la suspension absolue, s'avérant de mise chez lui, alors qu'un silence considérable et monumental emplit la pièce, et sembla perdurer éternellement. Soudain, mes fines lèvres imperceptiblement rosées vinrent s'étirer de manière parfaitement inopinée en un large sourire dépourvu du moindre artifice, alors que je rivalisais vaillemment et ardemment face à un indéracinable et opiniâtre accès d'hilarité empreint d'une véhémence déconcertante, avant de finalement déclarer forfait avec une lâcheté des plus disgracieuses et peu homériques, mes yeux sécrétant d'abondants filets fluides venant s'épencher le long de mes pommettes humides, de par l'intensité extrême de mes rires intempestifs semblant demeurer sempiternels, l'espace d'un instant relativement succinct.

"-Merde Eva, il n'y a rien de drôle. On est censé se trouver sur la place centrale dans un peu moins d'une heure."

Jaden s'interrompit subitement, me dévisageant soudain avec une lassitude déconcertante et intense, avant de froncer les sourcils de par une manifestation d'autorité des plus explicites.

"-Tu es encore droguée à en tomber par terre, pas vrai?

Quelle saloperie as-tu prise, cette fois?"

Soudain, mon hilarité transitoire et pour le moins inaccoutumée vint s'annihiler de par une rapidité aussi accentuée que celle par laquelle elle s'était récemment manifestée d'une manière irréfutablement inédite, laissant trôner sur mon visage un air déconfit d'autant plus inapproprié et incohérent que l'expression à laquelle il avait succédé.

Réalisant par cette même opportunité que mes conduits cérébraux laissaient indubitablemet libre et vaste cours aux divagations, Jaden m'empoigna fermement par mon poignet gauche encore fûmant, et m'entraîna subitement à l'extérieur de la salle de bain emplie de vapeurs denses aux arômes délicates et parfumées s'avérant presque envoûtantes, afin de me mener dans la pièce relativement restreinte et infinitésimale qui faisait bel et bien office de vestiaires. Au centre de l'espace munis et subvenu par un aménagement des plus rudimentaires et des plus laconiques, on pouvait nettement discerner un banc de vieux bois typique des frênes du District Sept, sur lequel était entreposé un consistant et copieux empilement de multiples textiles de lin d'un blanc écru. Ce fameux empilement était présidé avec nonchalance par une robe de lin dépourvue de manches et relativement échancrée au iveau du découpage superficiel et pour le moins négligé qui correspondait certainement aux bras, dont l'auteur de la pièce textile ne faisait aucunement l'esquisse la plus superflue d'un doute aussi infime serait-il: il s'agissait bel et bien de Willow. Celle-ci s'était récemment dépisité et divulgué une certaine adulation et une certaine exaltation pour le moins paradoxale et illégitime pour la vaste labeur que constituait la couture, jusqu'à ce que cette activité réquisitionnant minuite, productivité et volubilité soit exploitée durant la majorité la plus formelle de son temps libre. Ainsi, elle se chargait perpétuellement et avec dévouement de multiples commandes des habitants du District Douze, afin de réceptionner un minimum d'aliments en échange, qui ne permettaient généralement de réaliser un nombre de repas constitué de faibles denrées excédant trois. Néanmoins, constance et plénitude éperdues et titanesques s'enchevêtraient avec magnanimité et lustre dans cette véritable volition, dont l'âge relativement faible de sa réalisatrice ne faisait qu'embellir davantage le tableau. Effectuant vertement volte-face en la perspective du mur terne et fade qui se dressait impitoyablement devant moi afin de dissimuler mon corps dénudé à Jaden qui demeurait immuablement fixe, probablement afin de se certifier et de s'affirmer distinctement que je m'exécutai sans broncher le moins du monde, j'entrepris d'enfiler l'habit crème complaisamment élaboré à mon intention par ma soeur cadette, qui s'avérait par ailleurs considérablement à mon goût, de par le simple fait que l'épais textile ample fardait parfaitement mes formes généreuses, ce qui ne pouvait qu'intensément me plaire. Je n'étais en effet pas du genre à exhiber mon corps à tort et à travers, paradoxalement à la majorité la plus formelle et la plus importante des adolescente de ma tranche d'âge, qui n'hésitait aucunement à se pavaner ainsi ouvertement, devant quelque public que ce soit. Néanmoins, leur exhaustivité se voyaient malgré tout astreinte de conspirer à la cérémonie annuelle et indubitablement redoutée de la Moisson qui n'en était que d'autant plus imminente et limitrophe dès qu'une infîme parcelle de ce flot méphistophélique et pernicieux qu'était le temps correspondant à une seconde infinitésimale et effroyablement succincte, était amenée à susciter un énième cliqueti constitutif aux horloges sournoises, suscitant une crainte barbare et satanique typique du Capitole. C'est ainsi que, de par cette célérité monumentale et aberrante qui définissait avec intégrité et brio le temps tel qu'il était en sadique idyllique, je me trouvais sur la place centrale du District Douze d'où surabondait, pullulait et proliférait une quantité relativement intarissable, de par une litote édénique, soit un euphémisme des plus aboutis, une horde d'individus de tous genres, méticuleusement divisés en colonnes respectives relatives aux différents sexes et âges de ceux-ci, devant lesquels se dressait la fameuse estrade relativement imposante et colossale, de par ma perspective.

Le compte à rebours était irréfutablement enclenché.








ACTE 2
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« Au fond, qu'est-ce que le rêve ? L'imagination d'un temps en perdition. Ces bribes d'images qui lorgnent le plaisir, le narguent pour l'emporter loin de ses neurasthénies devenues insupportables tant pour le psychique que le physiologique. Comme un véhicule qui nous transporte dans un autre monde fait de cette chose qu'on appelle l'irréel, le surréalisme incarné et dans des nouveaux lieux créés par le subconscient. La désillusion est-elle une mauvaise chose en soi ? On ne peut le dire à part entière car celle-ci mène à l'espoir et l'espérance est source de vie. Mais elle fait mal aussi. Comme la désillusion, qui peut être une forme de déception, ce fait de ne pas voir les choses tourner favorablement. Nous pouvons donc proclamer que nous vivons dans et pour ce contraire à la réalité, ce qui flirte avec avant de l'emmener et la faire disparaître dans un autre espace qui nous est inconnu. Espace où doivent se perdre des âmes déchues qui ont tenté de s'y rendre maintes fois pour en fin de compte s'y égarer à jamais en essayant de comprendre leurs rêves. Être éternellement prisonnier d'une quelconque matière ou cage est un sentiment effroyable où la peur ne sait faire qu'une chose : subsister. Survivre. Elle étreigne les cœurs les plus vaillants, émiette ceux des plus faibles qui ont déjà été en partie corrompus et déteriorés. Leur corps dépourvu du sang qui a trop coulé et des sueurs froides qui les ont fait trembler. Longtemps, sûrement trop. Ne pas s'aventurer dans l'occulte, au risque d'y perdre quelque chose de cher, enfin si la vie l'est pour certains. Et les miettes de cette tour démantelée lui donne cette même impression. Sa forme vague, à moitié inondée par l'obscurité, un cumulus ne planant au dessus et seulement au dessus d'elle, laissant le reste de l'île profiter des vertus de l'astre de midi. Combien sont les ectoplasmes à régner sur les lieux, tournant en rond sur les lieux de leur mort et de leur macchabée enterrée sous terre ou encrée dans les murs ? Horrible vision de la chose. Horrible vision du futur qui tend les bras à cette frêle silhouette qui, inexorablement, s'en approche petit à petit, faisant abstraction de la peur. Des souvenirs qui jouent les revenants. Comme si elle saluait sans crainte une vieille amie qui ne la connaissait que trop bien »




"Evanescence Eden Rangwever!"


Ce timbre vocal des plus éminents et relativement insigne, aux abords idylliquement et indéniablement désinvoltes et bénins, frisant l'aspect chimérique et platonique avec excellence, n'était en réalité qu'une douce innocence coupable et répréhensible. Innocence coupable. Ces deux termes immuablement et évidemment antinomiques et antithétiques constituaient ainsi un douloureux oxymore aux phonèmes et morphèmes confus ou distincts, si tant était que l'on parvenait à les différencier et à imposer la délimitation du réel et de l'illusoire, du factice.On pouvait déceller une certaine compassion infernale dans cette intense nuance phonique, dans ce dégradé acoustique monumental et flagrant qui ruisselait d'une expérience non négligeable, portée dans un élan vorace empreint d'une soudaine véhémence pour le moins inopinée de la part de la brise délicate qui semblait susurrer une glossolalie sempiternelle et méphistophélique au soleil déchu qui ne se résolvait nullement à se manifester le moins du monde, dissimulant de sombres desseins emplis d'une animosité relativement invétérée, englobant l'atmosphère inénarrable de la place mondaine, tant la suspension temporelle semblait ahurissante. Chaque visage empreint d'une défiance délestée en raison de l'antagonisme présent par rapport au nom qui venait aussitôt d'être énoncé par cette brève élocution syllabique et le leur, s'appropriant progressivement la douce certitude et la robuste promesse d'une année de survie additionnelle et supplémentaire, les prunelles figées scrutant l'estrade de vieux bois de frêne trônant fièrement face aux prétendants insondables se noyant inlassablement en une marée humaine des plus déconcertantes. Sur cette fameuse scène artificielle, quatres sièges enrobés d'un textile à mi-chemin entre l'alizarine et le vermillon et doté d'une texture semblable au velour le plus raffiné et le plus sophistiqué avaient été précipitamment et promptement entreposés au niveau de l'arrière scène, sur lesquels étaient fixés trois individus respectifs avec une défaveur, un discrédit et une nonchalence considérables ; à savoir le maire du District Douze, le Chef Officiel de la Brigade des Pacificateurs du District Douze, Taylor, ainsi que les deux mentors survivants et vainqueurs des précédentes éditions des Hunger Games, Alistair et Yuna. Ces derniers supervisaient l'entraînement des tributs annuels du District Douze depuis désormais approximativement deux années consécutives, et s'avéraient dotés de caractères diamétralement contradictoires , tel le Yin et le Yang, emblème par excellence de l'art de l'antinomie et du complémentaire. En effet; car si Yuna, elle, était d'un naturel stratégique, calculateur et à temps perdu cynique, il n'en était strictement et indéniablement rien de Alistair, qui, lui, misait absolument l'intégralité et la plénitude de l'application préliminaire à l'intégration de l'arène sur les rapports de force élaborés entre les muliples tributs désignés dans chacun des districts respectifs, lors de la cérémonie de la Moisson. Ainsi, par conséquent, d'incessantes, horripilantes et courrouçantes querelles étaient constamment instaurées dans leur relation des plus ambigües et des plus saugrenues qui n'était qu'une véritable antithèse, importunant perpétuellement les tributs en exercice. Quelle sinécure risible, n'est-ce pas?

C'était néanmoins relativement fréquent et usité, chez les mentors du District Douze, paraissait-il. Au coeur de l'institut boisé instauré de manière transitoire, stationnaire, se tenant fermement devant un microphone quelque peu arasé et vétuste de par les multiples maniements à répétitons dont il avait été victime, de manière relativement invétérée, une femme toute de courbes-avec une litote des plus mélioratives-scrutait la foule des plus denses qui se massait devant elle, un large sourire éperdu aux coins de ses lèvres charnues avec une note artificielle et factice considérablement atypique du Capitole et de ses multiples opérations chirurgicales en chaîne, submergées et bardées de substance de teinte pourpre jusqu'à entraver et annihiler l'intégralité de la crédibilité et du charisme pourtant constamment considéré comme intarissable des lois de l'impossibilité la plus exhaustive qui soit. Sa chevelure, toujours à l'image de son origine bien peu flatteuse et aux abords des plus péjoratifs, était dissimulée par une ample perruque d'un vieux rose relativement extravagant et ubuesque, surmontée d'une multitude de belles boucles sculptées avec une minutie des plus exorbitantes, retombant souplement et aisément le long des reins. Cette femme frisant le paroxysme de l'amoralité, de par le simple fait qu'elle n'était qu'un des indénombrables outils relativement performants dont disposaient le Capitole, était nommée Chanele. Chanele. C'était elle. Elle, la détentrice ultime de ce fameux timbre vocal des plus plantureux. En guise de succession des multiples sopts télévisés projetés sur le fond de scène aux dimensions notablement colossales, après les incommodantes concaténations immuablement servies annuellement sans la moindre parcelle d'inédit, aussi infîme était-elle, la trentenaire vouant une éternelle appartenance au Capitole avait, conformément au rituel récurrent et intangible des laborieux Hunger Games, entreprit de sélectionner, de par l'extrême mansuétude que voulait l'impondérable hasard, le titre du tribut féminin désigné en tant que simulant et figurant officiel du District Douze. Hasard, hasard, quand tu me tiens. Une ultime affaire de probabilités. Qui peut également s'avérer pour le moins...funeste. Si tel était votre destin. Le destin. Une affaire de probabilité? Si tout était préalablement et préliminairement déjà inscrit? Telle était la question. Une question à laquelle la réponse demeurait sempiternellement et irrévocablement manquante. Ou bien, tout simplement perdue dans les dédalles de la vie.

La frustration incommensurable et monumentale, l'affliction et la désolation, l'irrésolution et l'incertitude, le soulagement et la douleur ne faisaient que s'enchevêtrer davantage dans un flot sentimental des plus plantureux, exacerbant la vigueur déjà titanesque de la complexité de ce contraste émotionnel des plus prononcés, qui faillit m'emporter par la même opportunité. Evanescence Eden Rangwever? Evanescence Eden Rangwever.

Amorphe. C'était sans le  moindre doute le qualificatif le plus approprié afin de me définir, en les circonstances.

Amorphe. Les méandres sinueux et méphistophéliques de mon esprit abscons ruisselaient d'une panoplie émotionnelle et sentimentale des plus éclectiques et des plus hétéroclites, mais mon enveloppe charnelle, elle, y était édéniquement hermétique. Amorphe. Mes prunelles d'un céladon désormais prosaîque et voilé semblaient faire office de portes scellés accédant à mon âme tourmentée et inénarrable.

"-Je suis volontaire."

Willow. Non. Impossible. Mon cauchemar garguantuesque exacerbant la calamité du Styx ne pouvait désormais franchir allègrement et aisément la forntière du fictif et du chimérique pour accéder aux puissances et à la restriction du réel, du rationnel, du concret. Non. Elle ne pouvait détenir le pouvoir d'effectuer un choix quelconque la destinant à apporter une quelque prépondérance funeste par rapport à son ordre missionnaire qui inculquant la valeur inestimable que de détenir l'estimation la plus proximative et la plus adjacente de la valeur d'une vie. Ce principe était légitime et inébranblable, irrévocablement.

Elle se lève, Eva. Elle passe juste devant toi. Ne se retourne pas. Et marche. En direction de la mort. Les Pacificateurs intégralement et immuablement vêtus de combinaisons d'un blanc immaculé parfaitement antinomique à leur immoralité considérable se referment autour d'elle. Quoique, après mûre réflexion, eux aussi n'étaient autre que de simples pions entre les mains savantes et volubiles des maîtres de marionnettes sagaces et tyranniques. Ainsi, sans doute étaient-ils les profilants et les substituts les plus appropriés de l'ammoralité, dans toute son exhaustivité, encore une fois.

"-NON!"

Aussitôt que ma complainte pour le moins forcenée, que cette doléance consternée instituée de par une ultime onomatopée eut scindé l'air glacial qui s'était instauré parmi la foule humaine, une vague monumentale chargée d'une infinité déconcertante de paires d'yeux aussi diversifiées les unes que les autres vint me consummer et me calciner la peau, héritant ainsi de la certitude d'être soudainement considérée en tant que bête de foire. Néanmoins, il n'y eut qu'un unique regard qui, ne s'attardant aucunement là où la majorité s'attardait, me cribla intensément l'âme, jusqu'à me dénuder avec plénitude de la résolution considérable qui avait embrasé succinctement le mien. Jaden. Adjérant et conjurant quelque force spirituelle si tant était qu'elle appartienne avec véracité à la dimension

scabreuse et préjudiciable du réel que ces fameuses prunelles d'un vert  semblable à la beauté des végétaux les plus pigmentés des forêts lointaines aient gré de se détacher de moi, je dévisageai Willow avec acuité, afin de recouvrer ma résolution formelle.

"-Je suis Evanescence Eden Rangwever.

Je n'ai pas la moindre intention de délivrer mon titre de tribu du District Douze, candidate aux dixièmes Hunger Games à quiconque. Je suis l'unique concernée, et je ne tolérerais qu'on me prenne ce qui m'appartient."

Décontenancés, les Pacificateurs manifestèrent une interminable période d'irrésolution et de trouble, me dardant d'un regard empli d'une perplexité titanesque, telle l'objet le plus équivoque et le plus interlope qui soit. Quant à moi, je ne faiblis aucunement, héritant d'un minimum de lucidité afin de convenir que cet instant de ma vie serait certainement funeste, quelle que soit la décision du Capitole. Enfin, contre toute attente, les Pacificateurs m'agrippèrent ardemment  et m'escortèrent minutieusement jusqu'à la fameuse estrade relativement imposante aux abords charismatiques du Capitole, sur laquelle ils me traînèrent sans méangement, quand bien même je n'imposais la moindre résistance, aussi infinitésimale était-elle. Les hurlements stridents de Willow m'atteignirent en plein coeur, si bien que j'eus l'impression croissante d'être en proie à une violente et considérable tachycardie, quand bien même je ne laissais strictement rien paraître, immuablement détentrice de cet éternel masque impassible. Je me devais de ne pas flancher. Les caméras étaient désormais impitoyablement braquées sur moi, et mon image était désormais diffusée et retranscrite sur l'intégralité des télévisions de Panem. Il en valait de ma survie dans l'arène. Ma survie? Ce mot sonnait si faux qu'il faillit m'en arracher un large sourire empreint d'un cynisme garguantuesque. Néanmoins, il n'en fut rien. Chanele m'invita d'une simple manifestation gestuelle des plus brèves et des plus élémentaires à s'installer à sa droite, tout en sauvergardant et perpétuant son large sourire en coin relativement risible, d'autant plus en prennant en compte la gravité extrême de la situation, si l'on pouvait considérer cela ainsi.

"-Mesdames et messieurs!

Je vous prie d'applaudir avec vigueur notre candidate aux dixièmes Hunger Games, Evanescence Eden Rangwever!"

Un silence de mort astraignit la place centrale, si bien que le moindre phonème pronnoncé avec indistinction et sonorité infime aurait pu alègrement être perceptible par l'immensité ahurissante du rassemblement collectif.

Un silence qui en disait pourtant long. Sans doute fallait-il être suffisament pourvu de sagacité pour le réaliser.

Vaguement en proie à une aliénation minime, Chanele darda la foule d'un regard ahuri et profondément troublé, épenchant l'intégralité la plus marquée de son incompréhension et de son inadération par rapport à la réaction du District Douze. Parvenant tout de même à se ressaisir, comme l'exigent d'ailleurs et le réquisitionnent les maigres aptitudes liées à son emploi, la jeune femme entièrement et impitoyablement vêtue de rose poursuivit néanmoins avec une certaine assurance et une certaine conviction:

"-Bien. Nous allons désormais procéder au second tirage au sort, en l'occurrence celui du tribu masculin de notre District."

Alors qu'elle s'était quelque peu apaisée, de manière transitoire, apparemment, l'arythmie des plus considérables de mon appareil cardiaque connut une recrudescence des plus faramineuses, au sens littéral du terme, ainsi qu'un surplus et un excédant de production d'adrénaline colossal. Chanele entreprit, de par une large et ample brassée, de saisir un unique fragment de papier inscrivant et énnonçant le nom de l'"heureux" élu qui se verrait dans l'immense et incommensurable béatitude et allégresse euphorique de me faire office d'accompagnateur sur le sentier de la mort. Respiration saccadée, battements sanguins irréguliers, soudaine hypertrophie croissante, esquisses de divaguations et visions troubles complètent avec brio ce tableau sinistre et macabre.

"-Le tribu masculin du District Douze pour les dixièmes Hunger Games est..."

Altercation entre mon subconscient et mon conscient. Je frise la crise d'hystérie.

"-Jaden Wave."

Arrêt cardiaque.
















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BEHIND THE SCREEN
derrière l'écran

Prénom/Pseudo : Amy.
Age réel : 15 ans.
Comment as-tu connu le forum ? Cela faisait déjà quelques temps que j'envisageais de m'inscrire sur un énième forum, en l'occurrence un forum RPG de qualité quant au thème d'Hunger Games. Ainsi, c'est chose faite. (:
Code du règlement :
Le mot de la fin: J'ai été contrainte d'employer ce formulaire originellement conforme aux Préfédinis, étant donné les difficultés rencontrées avec le formulaire de base. o/
//Présentation en cours//




Dernière édition par Evanescence E. Rangwever le Dim 7 Juil - 8:23, édité 5 fois
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Sören E. Teniala
Sören E. Teniala
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MessageSujet: Re: Evanescence Eden Rangwever ━ Don't look back ever...And fight. Evanescence Eden Rangwever ━ Don't look back ever...And fight. I_icon_minitimeLun 20 Mai - 19:32

    Mon dieu Rihanna ! duh
    Bienvenue sur le forum cocote ! I love you Bonne chance pour ta fiche !
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Jillian E. Bailey
Jillian E. Bailey
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MessageSujet: Re: Evanescence Eden Rangwever ━ Don't look back ever...And fight. Evanescence Eden Rangwever ━ Don't look back ever...And fight. I_icon_minitimeLun 20 Mai - 19:33

Bienvenue sur le forum! (;
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MessageSujet: Re: Evanescence Eden Rangwever ━ Don't look back ever...And fight. Evanescence Eden Rangwever ━ Don't look back ever...And fight. I_icon_minitimeLun 20 Mai - 19:46

Merci! (:
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MessageSujet: Re: Evanescence Eden Rangwever ━ Don't look back ever...And fight. Evanescence Eden Rangwever ━ Don't look back ever...And fight. I_icon_minitimeLun 20 Mai - 19:49

Bienvenue Smile

J'aime bien ton personnage ♫ et ton prénom/pseudo *-* Amy *-* Bon courage pour finir ta présentation et si tu as des questions, n'hésite pas ! santa
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Willes Edenfield
Willes Edenfield
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♣ Nombre de message : 202
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MessageSujet: Re: Evanescence Eden Rangwever ━ Don't look back ever...And fight. Evanescence Eden Rangwever ━ Don't look back ever...And fight. I_icon_minitimeLun 20 Mai - 19:54

Bienvenue ! Ta fiche est juste... Waouh *-* Et puis Rihanna quoi ! *-* En tout cas, j'espère que tu te plairas ici (:
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Chleo Sullivan
Chleo Sullivan
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MessageSujet: Re: Evanescence Eden Rangwever ━ Don't look back ever...And fight. Evanescence Eden Rangwever ━ Don't look back ever...And fight. I_icon_minitimeLun 20 Mai - 20:00

BIENVENUUUUUUUUUUE Danse
Encore une mentor OMG ♥️
C'est super de peupler les rangs !
J'adore le prénom que tu as choisi !!!

Je suis désolée pour les codages avec l'autre fiche ... C'est vrai qu'ils sont assez complex --"
En tout cas tu as vraiment une très belle plume ! J'espère de tout coeur que tu te plairas sur le forum (et que tu le trouveras de qualité Wink )

Bonne chance pour la fin de ta fiche !
Et surtout si tu as la moindre question, ou le moindre soucis, contact le staff !!! On se fera un plaisir de t'aider et de te répondre ♥️

A bientôt !!!
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Lucia A. Elbereth
Lucia A. Elbereth
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MessageSujet: Re: Evanescence Eden Rangwever ━ Don't look back ever...And fight. Evanescence Eden Rangwever ━ Don't look back ever...And fight. I_icon_minitimeLun 20 Mai - 20:05

Ouaiis une mentor et pour le douze en plus Very Happy

J'adore ton pseudo mais dit le prénom, tu t'es inspirée du groupe ou c'est un hasard? Smile
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MessageSujet: Re: Evanescence Eden Rangwever ━ Don't look back ever...And fight. Evanescence Eden Rangwever ━ Don't look back ever...And fight. I_icon_minitimeLun 20 Mai - 20:16

Quel personnage ! Et quel avatar ! C'est superbe Very Happy Et puis, prendre un mentor... Bref, c'est une fiche géniale !

Bienvenue parmi nous !
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MessageSujet: Re: Evanescence Eden Rangwever ━ Don't look back ever...And fight. Evanescence Eden Rangwever ━ Don't look back ever...And fight. I_icon_minitimeMar 21 Mai - 12:07

bienvenue à toi! mentor du douze c'est super ça! j'espère que tu va pouvoir aider notre chère eliechoupinette à gagner les 15e :p
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Rose B. Hippwood
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MessageSujet: Re: Evanescence Eden Rangwever ━ Don't look back ever...And fight. Evanescence Eden Rangwever ━ Don't look back ever...And fight. I_icon_minitimeMar 21 Mai - 15:22

Bienvenue parmi nous Evanescence Eden Rangwever ━ Don't look back ever...And fight. 3361118366

Aaaah, ce pseudo, j'adore duh

J'espère que tu te plairas sur le fofo \o/
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MessageSujet: Re: Evanescence Eden Rangwever ━ Don't look back ever...And fight. Evanescence Eden Rangwever ━ Don't look back ever...And fight. I_icon_minitimeMar 21 Mai - 16:18

Merci beaucoup! =)
Je pense achever ma fiche avant la fin de la semaine.

Et oui, pour le nom, c'est bien du groupe qu'il provient. Smile

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Swethlana Edenfield
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MessageSujet: Re: Evanescence Eden Rangwever ━ Don't look back ever...And fight. Evanescence Eden Rangwever ━ Don't look back ever...And fight. I_icon_minitimeMar 21 Mai - 17:16

OMG ** Rihanna, un pseudo super bow, une fiche géniale... tu me plais ! Bref, WELCOME Evanescence Eden Rangwever ━ Don't look back ever...And fight. 3083828340
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MessageSujet: Re: Evanescence Eden Rangwever ━ Don't look back ever...And fight. Evanescence Eden Rangwever ━ Don't look back ever...And fight. I_icon_minitimeMar 21 Mai - 19:03

Thanks. Very Happy

Sinon, il ne manque plus que l'Histoire, que j'espère pouvoir ajouter demain.
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William A. Matthew
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MessageSujet: Re: Evanescence Eden Rangwever ━ Don't look back ever...And fight. Evanescence Eden Rangwever ━ Don't look back ever...And fight. I_icon_minitimeMer 29 Mai - 21:06

Courage ♫ ♥
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MessageSujet: Re: Evanescence Eden Rangwever ━ Don't look back ever...And fight. Evanescence Eden Rangwever ━ Don't look back ever...And fight. I_icon_minitimeDim 9 Juin - 7:40

Du nouveau par ici ? Evanescence Eden Rangwever ━ Don't look back ever...And fight. 1219656244
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Sara L. Collins
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MessageSujet: Re: Evanescence Eden Rangwever ━ Don't look back ever...And fight. Evanescence Eden Rangwever ━ Don't look back ever...And fight. I_icon_minitimeDim 9 Juin - 8:07

Bienvenue ♥
Oh Rihanna ** D'ailleurs Evanescence il me semble que c'est une chanteuse aussi...
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Eve Goodwin
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MessageSujet: Re: Evanescence Eden Rangwever ━ Don't look back ever...And fight. Evanescence Eden Rangwever ━ Don't look back ever...And fight. I_icon_minitimeJeu 27 Juin - 15:00

Plus de nouvelles depuis un mois, je déplace dans les présentations abandonnées. Néanmoins, si tu veux la récupérer pour la finir, contacte un membre du staff Wink
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MessageSujet: Re: Evanescence Eden Rangwever ━ Don't look back ever...And fight. Evanescence Eden Rangwever ━ Don't look back ever...And fight. I_icon_minitimeVen 5 Juil - 12:53

Excusez-moi pour le retard, mais j'ai été pas mal occupée, avec la fin de l'année. o/
J'ai posté le premier acte, et la suite devrait également arriver.
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Eve Goodwin
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MessageSujet: Re: Evanescence Eden Rangwever ━ Don't look back ever...And fight. Evanescence Eden Rangwever ━ Don't look back ever...And fight. I_icon_minitimeVen 5 Juil - 12:58

Pas de souci, je remets donc ta présentation dans les près' en cours !
Bon courage pour la fin de ta fiche ! ♥
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MessageSujet: Re: Evanescence Eden Rangwever ━ Don't look back ever...And fight. Evanescence Eden Rangwever ━ Don't look back ever...And fight. I_icon_minitimeVen 5 Juil - 13:18

Merci! (:
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MessageSujet: Re: Evanescence Eden Rangwever ━ Don't look back ever...And fight. Evanescence Eden Rangwever ━ Don't look back ever...And fight. I_icon_minitimeMar 16 Juil - 11:10

J'ai complété la partie "Histoire".
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MessageSujet: Re: Evanescence Eden Rangwever ━ Don't look back ever...And fight. Evanescence Eden Rangwever ━ Don't look back ever...And fight. I_icon_minitimeMer 17 Juil - 13:59

Bienvenue, personne avec une fiche de 30km ! o/
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MessageSujet: Re: Evanescence Eden Rangwever ━ Don't look back ever...And fight. Evanescence Eden Rangwever ━ Don't look back ever...And fight. I_icon_minitimeMer 31 Juil - 13:22

Merci. x')
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MessageSujet: Re: Evanescence Eden Rangwever ━ Don't look back ever...And fight. Evanescence Eden Rangwever ━ Don't look back ever...And fight. I_icon_minitimeLun 5 Aoû - 21:52

Et beh ... Tu as pris du temps pour ta présentation c'est ... impressionnant !
Je tiens à m'excuser pour ce retard dans ta validation mais nous avions un problème : plus de places en mentor ... Mais dans la mesure où nous n'avons pas de nouvelles de certains, je pense que je devrais pouvoir te trouver une place demain ... Promis je te tiens au courant demain !
Excuse moi encore >.<
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MessageSujet: Re: Evanescence Eden Rangwever ━ Don't look back ever...And fight. Evanescence Eden Rangwever ━ Don't look back ever...And fight. I_icon_minitime

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