Physique - Caractère

Physiquement, Maura est le genre de femme qui ne passe jamais inaperçu, car en plus d'être une femme au forme généreuse et possédant une taille de guêpe, elle sait se faire remarquer par ses habits aussi coûteux qu'excentrique. Toujours paré de robes, de pantalons, des tuniques, des costumes tous aussi étranges que sophistiqués. Ils sont à la hauteur de sa personne et, comme les jeux, les gens sont captivé par ce monstre célèbre du Capitol qui gère une partie de l'arène. Elle soit doit d'être égal aux Hunger Games : fascinante et dangereuse. Ses yeux sont sans doutes la seule chose que Maura ne truque jamais : d'un vert étincelant, chatoyant qui ne sont pas sans rappeler ceux de sa mère. Le reste de sa peau est colorée, que ce soit de maquillage, de tissus, mais aussi de plumes, d'effets optiques, et des tonnes d'autres idées toutes aussi originales que la précédente, elle n'a pas besoin d'avoir une couturière attitrée qui lui propose des schéma : elle fait ses croquis et les fait faire sur mesure. Elle aurait put être créatrice, mais entre créatrice et juge il y a une sacré différence, et Maura vise toujours l'excellence, la suprématie.
Ce qui captive aussi chez cette femme, c'est ses cheveux : ils ne seront jamais de la même couleur du jour au lendemain, bien qu'elle ai une certaine préférence pour le bleu turquoise ou blanc décoloré. Elle enchaîne les chignons, les détachés, les frisés, les nœuds, les coupes au carré sans la moindre hésitation en alliant le violet, le rose, le jaune, le châtain, l'acajou... Oui, Maura possède une éternelle envie d'attirer le regard, de ne jamais être dans l'ombre, c'est d'ailleurs ce qui l'effraie et l'énerve le plus : être oubliée, invisible aux yeux des autres tous comme les habitants des districts qui ne sont selon elle que du « bétail pour amuser la foule » ou « des plantes vertes qu'il faut désherber dans l'arène. » Mais ce qu'elle cache de révéler, c'est qu'elle a bien des favoris et que sous les fourrures, les strass et autres artifices de garce ce cache une femme au grand cœur, fidèle à ses proches et aimante qui souhaite juste ne pas se montrer en position de faiblesse. Et elle sait très bien que plus nous sommes quelqu'un de bien, plus nous avons des faiblesses. Elle cache donc sa vraie nature en s'affichant comme une femme hautaine et sans cœur.

Histoire

Per hoc minui studium suum existimans Paulus, ut erat in conplicandis negotiis artifex dirus, unde ei Catenae inditum est cognomentum, vicarium ipsum eos quibus praeerat adhuc defensantem ad sortem periculorum communium traxit. et instabat ut eum quoque cum tribunis et aliis pluribus ad comitatum imperatoris vinctum perduceret: quo percitus ille exitio urgente abrupto ferro eundem adoritur Paulum. et quia languente dextera, letaliter ferire non potuit, iam districtum mucronem in proprium latus inpegit. hocque deformi genere mortis excessit e vita iustissimus rector ausus miserabiles casus levare multorum.

Quid? qui se etiam nunc subsidiis patrimonii aut amicorum liberalitate sustentant, hos perire patiemur? An, si qui frui publico non potuit per hostem, hic tegitur ipsa lege censoria; quem is frui non sinit, qui est, etiamsi non appellatur, hostis, huic ferri auxilium non oportet? Retinete igitur in provincia diutius eum, qui de sociis cum hostibus, de civibus cum sociis faciat pactiones, qui hoc etiam se pluris esse quam collegam putet, quod ille vos tristia voltuque deceperit, ipse numquam se minus quam erat, nequam esse simularit. Piso autem alio quodam modo gloriatur se brevi tempore perfecisse, ne Gabinius unus omnium nequissimus existimaretur.

Harum trium sententiarum nulli prorsus assentior. Nec enim illa prima vera est, ut, quem ad modum in se quisque sit, sic in amicum sit animatus. Quam multa enim, quae nostra causa numquam faceremus, facimus causa amicorum! precari ab indigno, supplicare, tum acerbius in aliquem invehi insectarique vehementius, quae in nostris rebus non satis honeste, in amicorum fiunt honestissime; multaeque res sunt in quibus de suis commodis viri boni multa detrahunt detrahique patiuntur, ut iis amici potius quam ipsi fruantur.