The Hunger Games RPG
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Viny F. Mc Coy

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MessageSujet: Viny F. Mc Coy Viny F. Mc Coy I_icon_minitimeVen 12 Juil - 20:32


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    Prénom(s) : Viny Florimont
    Nom : Mc Coy
    Date de naissance & Age : 13 juillet
    District / Capitol : Capitol
    Situation Familiale : libre comme l'air, je peux t'offrir un verre ?
    Groupe : Styliste
    Avatar : Joe Maganiello



Physique - Caractère


Viny, c'est un corps robuste au torse à la peau mat, délicatement dessinée par les douces courbes de ses abdominaux et pectoraux prédominants.
Viny, C'est cette allure élégante et suave qui fait dresser chaque petite parcelle de votre corps lorsqu'il entre dans votre champ de vision de sa démarche distinguée et masculine.
Viny c'est ce regard profond et pénétrant qui semble vous transpercer de part en part lorsque ses yeux couleur noisette entre en contact avec vos propres prunelles et que d'un battement de cil vous êtes persuadé qu'il sait tout de vous, qu'il peut voir en votre corps et en votre cœur.
Viny ce sont ces joues aux pommettes saillantes et au nez droit, signe de chance, de réussite et d'une parfaite maîtrise de son corps

Viny ce sont ces lèvres gourmandes couleur de chair qui vous susurre en délicatesse des mots doux, des mots d'amour. C'est cette chair chaude que vous voyez si bien venir poser au creux de votre cou des baisers alanguis d'un feu vous brulant jusqu'à l'âme.
VIny c'est un sourire doux et scintillant vous incitant à la confiance.
Un visage angélique d'une mine fraîche à la peau satinée et aux yeux noisette. Aux paupières délicate et au sourcil épais vous incitant à vous perdre dans les limbes d'un regard. Une voix douce et grave vous mettant en confiance et incitant les jeunes filles à se dévêtir. Un sourire de perle blanches, un menton volontaire et une chevelure dense, courte à l'aspect soyeux de couleur noire.
Mais l'apparence ne fait pas tout et le caractère est important et pour ce qui est du caractère, l'ami Viny en a bien plus qu'il ne saurait en faire. Il est Taquin, mesquin, râleur et chieur, un peu menteur voir beau parleur, il aime dicter et commander, il aime être le roi des soirées. Un peu pédant sur sa destinée, il est quelque peu aveuglé par son succès, ajoutons à cela qu'il est pédéraste et vous aurez le Viny parfait, car qui dit beau comme un dieu, dit forcément pédé comme pas deux !



Histoire


Lunes interminables, univers opaque, grondements, tornades, séismes. Rares étaient les moments de repos ; front contre genoux, bars autour du cerveau, je pensais, j'écoutais, j'aspirais à ne pas exister. Mais la vie était là, perle transparente, astre qui tournait lentement sur soi. J'étais aveugle. Mes yeux étaient fixés sur cet autre monde, cette autre existence qui s’effaçait chaque jour. Ses couleurs étaient éteintes, ses images devenaient confuses. Il me restait encore des cris étonnés, des pleurs affaiblis. La réminiscence impuissante m'oppressait, la mélancolie me brûlait. Qui suis je ? Demandai-je à la Mort accroupie à mes pieds. Elle grogna et ne répondit pas.
Où suis-je ? J'entendais des rires, des voix qui disaient : 

«  ce sera sûrement un garçon. Il bouge. Il a la rage en lui »

Peu importait qui je serais. J'étais déjà lasse de cette immensité. J'étais lasse d'espérer, d'attendre, d'être moi, le centre du monde.
Le bruissement du vent m'apaisait. J'écoutais le ruissellement de la pluie. Dans mon ciel où le soleil ne se levait jamais, j'entendais le chant d'une petite fille. Sa voix douce et innocente me berçait. Ma sœur, j'appréhendais pour elle un grand malheur. Une main tentait de me caresser. Mais un mur nous séparait. Mère, ombre profilée sur la paroi de ma pensée, sais-tu que je suis un vieillard condamné à habiter la prison de ta chair ?

Au fond du lac, dans les eaux couleur sépia, je pivotais, me recroquevillais, me déployais, pirouettais. De jour en jour mon corps enflait, me pesait, m'étranglait. J'aurais voulu être une pointe d'aiguille, un grain de sable, le reflet du soleil dans une goutte d'eau, je devenais une chair qui éclatait, une montagne de plis, de sang, un monstre marin. Un souffle me soulevait et me balançait. J'étais irascible. Je m'indignais contre moi-même, contre la femme qui était ma geôlière, contre la Mort mon unique amie.
On m'attendait. J'entendais murmurer que le garçon serait appeléVulphy. Le bruissement des préparatifs m'empêchait de méditer. On parlait de vêtements, de couches, de fêtes, du lait des seins gras et blancs de ma mère. On interdisais de prononcer mon nom de peur que la Mort ne s'en serve pour s'emparer de moi. On m'attendait pour commencer là où leurs destins s'étaient arrêtés. J'avais pitié de ces êtres fervents, affables, avides. Ils ne savaient pas encore que j'allais détruire leur monde afin de construire le mien. Ils ne savaient pas que j'allais apporter la délivrance par les flammes, par la glace.
Une nuit, je sursautai. Les eaux bouillonnaient. Des vagues furieuses s'écrasaient contre moi. Blottie, je luttais contre la peur en me concentrant sur ma respiration, sur le tiraillement de ma douleur. Le déferlement de la 
marée me jeta dans une embouchure étroite. Je glissai entre les rochers. Mon corps saignait. Ma peau se déchirait. Ma tête implosait. Je serrais les poings pour ne pas hurler.
Quelqu'un me tira par les pieds et me tapa sur les fesses. La tête en bas, je vomis mes pleurs. On m'enveloppa dans un tissu qui m'écorchait. J'entendis la voix anxieuse d'un homme :

« Garçon ou fille ? »

Personne ne répondit. L'homme s'empara de moi et tenta de déchirer mon maillot.
Le gémissement d'une femme l'interrompit :

« Un garçon »
« Merci ! » S'écria-t-il avant de fondre en larmes.

Une dizaine de femmes veillaient sur ma croissance. Ma mère et mes grand mères se relayaient pour étancher ma soif. Mon appétit effrayait. Je riais déjà. Mes yeux, grosses perles bleues, roulaient dans leurs orbites. Je regardais le monde jour et nuit sans vouloir m'endormir. Mon agitation inquiétait ma mère qui faisait appel à différents soigneurs et sages-femmes. Mais personne ne réussissait à expulser la fougue qui m'habitait.
Leurs craintes finirent par me lasser. Sous ma moustiquaire de gaze, je feignais la somnolence pour avoir la paix, une femme chantait en poussant mon berceau. Paupières closes, je laissais ma pensée s'envoler par la fenêtre.

Les branches explosèrent en fleurs et le printemps arriva. Mes cents jours d'existence donnèrent l'occasion d'une célébration. Ma mère avait fait venir tout le district. On me caressait, me flattait. Les femmes montaient les marches et déposaient les cadeaux. Une dame m'offrit un pull tricoté main. Elle était persuadée que mes yeux bleues exprimaient l'intelligence. Une autre nous offrit du lait frais de sa chèvre, disant que mon front large présageait un avenir placé sous le signe d'un mariage heureux.Une autre nous fit cadeau d'un des chatons de la portée de sa chatte. Elle disait que mon nez droit, mes joues charnues, ma bouche ronde, annonçaient une beauté exceptionnel. J'aurais de multiples conquêtes.
Bientôt j'éprouvai le besoin d'aller vers le monde au lieu de le recevoir dans mon berceau. Ne pouvant me tenir sur mes pieds, je rampais. Un pas vers l'inconnu exigeait la coordination de tous les muscles. Les yeux fixant un objet, les oreilles aux aguets, la bouche ouverte pour pousser des rugissements muets, je soulevais un bras, une jambe, je fendais l'univers. Un homme barbu se penchait vers moi. Enveloppé dans un manteau de suie et de poussière, il paraissait venir de loin, de très loin. En le voyant j'entendais les chants de la mine, le cliquetis de l'ascenseur, le hurlement des chariots emplies charbon. Son odeur bestiale me faisait frissonner. Ses baisers brusques déchiraient ma joue.
Une petite fille m'observait. J'étais fascinée par son teint rose, ses traits purs, ses jambes solides, ses prunelles clair, le canard en bois qu'elle traînait derrière elle. Après avoir regardé de long en large, elle posait un doigt dans ma main et je le serrais jusqu'à ce qu'elle devienne rouge et se mette à pleurer .

« Ne fais pas mal à ta soeur », me disait ma grand-mère. Elle ne savait pas que plus tard, comme en ces jours d'innocence, elle me supplierait d'être son bourreau...

Quatre ans, l'âge de diamant. Libre. Les bras en l'air, je volais. Le nouveau jardin était un vaste parc, un continent. L'été arrivait, les collines suintaient, le ciel s'évaporait, la vie ralentissait. Accroupi, j'observais au pied des arbres les caravanes de fourmis. Je me débarrassais de mes grand mère nourrices en courant la forêt de hautes herbes. Le soir, je refusais de dormir et posais des questions jusqu'au petit matin.

« Pourquoi la grenouille a-t-elle un ventre aussi gros ? Avec qui les étoiles jouent-elles à cache-cache? Pourquoi la lune est elle tantôt ronde et tantôt maigre ? »

L'année suivante, ma grand-mère maternelle quitta le monde. Ma mère me demanda si je voulais devenir le gardien de son âme dans un vieux monastère au fin fond d'un district. J'avais cinq ans. J'acceptai la proposition avec joie. L'idée de devenir un gardien, une personne importante remplissait mon cœur de fierté. Si j'avais était plus éveillé, j'aurai compris que ma mère tentait de m'éloignait des habitations de peur de la guerre qui sévissait entre les treize district et le capitole...

J'avais perdu mon nom, mon prénom. Je me réveillais la nuit en hurlant le nom de ma mère.
Ses seins me manquaient. Je tâtonnais sur ma couche, suçais la couverture. Ne trouvant ni le satin de sa peau ni les rides de ses tétines, je pleurais.
Ma mère ne venait pas. Elle m'avait abandonnée à ces moines étranges. Chaque jour, je guettais l'apparition d'un visage familier à l'entrée du bâtiment. Sur le chemin qui montait lentement, les feuilles tombaient avec le crépuscule.
Oublié de quasiment tout le district, le vieux monastère n'avais plus que quelques moines priant un dieu qui n'avais plus cours dans notre monde. Frère Irving prit en charge mon éducation. A cinquante ans, son corps musclé sentait le thé, son crâne soigneusement rasé avait le velouté d'un fruit mur. Il me donnait mon bai, frottait mon gros ventre et mes jambes maigres. Il répondait à mes questions et m'initiait à la lecture. Il m'apprit à me laver le visage, à m'habiller, à plier ma couverture, à chanter les mélodies de notre district.
La maison familiale, comme un songe, s'effaça.
La forêt respirait. La forêt était triste. La forêt était contente. La forêt exhibait sa fourrure de neige, ses robes de feuilles couleur d'aube, son manteau de brume, somptueux, extravagant. Le ciel s'ouvrait à la verticale quand descendait le crépuscule ocre, jaune, noir. Quand le soir montait entre les troncs, les astres se dévoilaient. Je me couchais dans les herbes. Rouge, bleue, verte, scintillante, évanescente, chaque étoile était une écriture mystérieuse.
Un matin, dans la salle à manger, je rencontrais ma mère. Elle avais maigri. Ses seins semblaient flasque ? Son teint blafard, sa coiffure négligée et sa tenue grisâtre me laissèrent coi. Elle me dit que nous étions maintenant en sécurité et que je pouvais dès a présent rentrais chez nous.
Ma joie se brisa. Je compris que si je partais, je ne reverrais plus la forêt, et si je restais, je perdrais à jamais ma famille...

Suite à cela, je parti directement pour le Capitole, siège de la vie politique, mondaine et luxueuse de Panem. Ses habitants occupent des fonctions importantes et leur niveau de vie est bien supérieur à celui des districts. La vie quotidienne des résidents est occupée majoritairement par la recherche de la beauté, de l'esthétique et du divertissement. Ce mode de vie est totalement à l'opposé de celui des districts concentrés sur la survie. Arrivé dans la capitale de ce beau pays, j’emménageais auprès de mes parents dans notre nouvelle maison, le domaine Mc Coy, résidence du président de la société Loup Cardin, la plus grande enseigne de coiffure de tout le capitole.

Je grandis ainsi dans le luxe et la mode, je passais ma vie dans les salons de coiffure de mon père, voyant les créations, les sculptures capillaire qu'il faisait et qui m'inspirais des dessins tous plus farfelues les uns que les autres. Ma vie fut rythmé ainsi, salon, dessin, hunger games...oui j'appréciais assez fortement ce spectacle qui voyait se battre des enfants. Enfin non, j'aimais les présentation, la parade, les interview. Les jeux en eux même me terrifiais au début, m'émouvait parfois, me fatigué souvent. C'était surtout le comportement des gagnants qui me fatigué ! Il fallait dire que la grande guerre nous avait prit de cours alors que je n'avais que seize ans et commençais mes études de stylisme et que je ne sortis diplômé qu'a la troisième sessions des jeux. Mon père avait des relations, beaucoup de relation et bien vite un vieux croulant se fit virer pour me laisser sa place dans la course des stylistes. De ce jour, je devins l'un des styliste des hunger games et c'est depuis donc...douze années ou plutôt douze année avec cette édition...espérons que mes tributs gagnent cette année, un peu de gloire me ferai du bien pour ramener plus facilement des mecs dans mon lit !







    Behind the screen


    Prénom/Pseudo :Leo
    Age réel :24
    Comment as-tu connu le forum ?mouah ah ah DC Cool
    Code du règlement :
    Le mot de la fin vive moi!

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Dernière édition par Viny F. Mc Coy le Ven 12 Juil - 20:48, édité 2 fois
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Sören E. Teniala
Sören E. Teniala
+ District Trois +


♣ Nombre de message : 1289
♣ Date d'inscription : 19/05/2013


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MessageSujet: Re: Viny F. Mc Coy Viny F. Mc Coy I_icon_minitimeVen 12 Juil - 20:39

    Rebienvenu à toi ! duh
    Super choix de groupe dude ! Viny F. Mc Coy 444731681
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Errol F. E. F-Wicklow
Errol F. E. F-Wicklow
+ District Quatre +


♣ Nombre de message : 548
♣ Date d'inscription : 21/10/2012
♣ Age réel : 98


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MessageSujet: Re: Viny F. Mc Coy Viny F. Mc Coy I_icon_minitimeVen 12 Juil - 20:39

Rebienvenue!
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MessageSujet: Re: Viny F. Mc Coy Viny F. Mc Coy I_icon_minitimeVen 12 Juil - 21:23

/me pose une réservation *
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MessageSujet: Re: Viny F. Mc Coy Viny F. Mc Coy I_icon_minitimeVen 12 Juil - 21:32

Tu peux pas être gay !!!!!!!! Viny F. Mc Coy 1167154766

/me ne l'a jamais dit : mais en fait, c'est un homme je sors

Tant pis on aura un lien amicale elie <3
Magnifique présa au faite Wink
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MessageSujet: Re: Viny F. Mc Coy Viny F. Mc Coy I_icon_minitimeSam 13 Juil - 15:23

Re-bienvenue Wink
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MessageSujet: Re: Viny F. Mc Coy Viny F. Mc Coy I_icon_minitime

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