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Gnaea Athanasius Crane - Capitole - Juge - Libre

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Jonathan Templebar
Jonathan Templebar
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MessageSujet: Gnaea Athanasius Crane - Capitole - Juge - Libre Gnaea Athanasius Crane - Capitole - Juge - Libre I_icon_minitimeMar 25 Déc - 18:27

© made by Islande



Gnaea Athanasius Crane

Vivre heureuse et aider les autres, naturellement

âge : 24 ans
née le : 11 octobre
née à : Capitole
statut : célibataire dans son esprit, en couple dans l’esprit des autres
études/métier : Juge
groupe : Juge
featuring : Candice Didier


« normale »
souriante
aime aider son prochain
sang chaud




Caractère

Je suis quelqu’un de normal. Enfin, peut-être pas tout à fait aussi normal qu’on pourrait l’être mais je me situe clairement dans la moyenne.

Comment me décrire ? Disons que j’ai toutes les qualités et tous les défauts dans des proportions raisonnables. Je veux être gentille et aimable, altruiste et prévenante mais il m’arrive de disjoncter, de dire quelque chose de méchant ou d’avoir des sursauts égoïstes. Comme tout le monde. Je souris souvent, je jouis des petits plaisirs du quotidien et des grands plaisirs d’une vie qui va aussi bien que n’importe qui pourrait le souhaiter. Mais de temps en temps, j’ai un coup de pompe et je fais la gueule. Comme tout le monde. Je n’aime pas qu’on se moque de moi, je n’aime pas qu’on se moque de ceux que j’aime. J’ai le sang plutôt chaud. Je réagis au quart de tour et je n’hésite pas à hausser la voix ; j’ai même parfois du mal à me retenir d’un venir aux mains. Mais j’aime bien qu’on me complimente ou qu’on me remercie. Comme tout le monde. Je souhaite apporter mon aide aux gens que je voix en difficulté, je voudrais que le monde entier s’illumine du bonheur de tous ces habitants. Je sais que c’est une utopie mais j’en rêve tout de même et j’essaye autant que je peux, malgré mes moyens et mes cycles d’énervements, de le réaliser. Comme tout le monde.

Je me démarque un peu des autres car je pense que je suis globalement plus joyeuse et plus souriante que la moyenne. Parce que, contrairement à tous mes compatriotes, je me rends compte de la chance que j’ai d’être où je suis dans l’état où je suis. J’ai été sauvée par quelqu’un qui croyait en l’avenir, et je veux à mon tour aider tous ceux qui ont perdu l’espoir. Je suis bénévole pour distraire les malades et les blessés à l’hôpital et je fais régulièrement des actions pour l’orphelinat. Je veux que tout le monde puisse avoir la chance de bâtir une vie parfaite, comme je l’ai eu. C’est mon credo.

Non compatible avec un poste de juge ? C’est faux. Les Jeux de la Faim ne sont peut-être pas la panacée aux problèmes que connait Panem mais ils ne sont pas aussi inhumains que les districts veulent bien le croire. Combien de personnes meurent dans une guerre ? Combien de familles sont brisées, de personnes détruites, de villes rasées dans un conflit national ? Ce sont des nombres qui nous dépassent ! Alors si 23 morts, aussi médiatisés soient-ils, peuvent nous préserver d’une catastrophe dans ce genre, je suis preneuse.

Que dire d’autre sur moi ? Je ne supporte pas les drogues. Enfin… Disons plutôt que j’évite. Je suis capable de changer de trottoir juste parce que quelqu’un fume de mon côté de la route. Et je ne bois pas une goutte d’alcool. Plus. J’ai trop peur de sombrer à nouveau.

Sinon je plaide coupable pour les couleurs criardes ; je ne veux pas d’une vie en noir et gris. J’adore également mettre des accessoires dans mes cheveux. Chouchous épais, barrettes customisées, serre-tête, nœud, ruban… La liste est longue ! Je fais souvent des cadeaux à tout le monde, même parfois aux gens que je ne connais pas dans la rue. Ce n’est jamais grand-chose ; des biscuits le plus souvent –je suis une as en pâtisserie, des fleurs de temps en temps et plus rarement quelque chose de plus conséquent comme un chapeau, un film ou des bougies. J’aime bien. Je trouve qu’on ne devrait pas attendre des occasions comme Noël ou les anniversaires pour s’offrir ce dont on a envie.

Je pense que ma relation avec mon colocataire est importante aussi. Elle est… ambigüe je dirais. Flavius Jackerhat est mon meilleur ami. Mais c’est parfois un peu plus que ça aux yeux des autres. Sauf qu’à mes yeux, et à ses yeux à lui aussi je crois, c’est juste ça. Nous sommes amis, très amis, au point d’être prêts à partager nos vies pour le restant de nos jours. Pour moi ce n’est pas étrange ; l’amour romanesque comme le désir ont toujours été des énigmes pour ma pauvre petite caboche. Mais le simple fait de se sentir bien avec quelqu’un, de trouver sa compagnie agréable et d’avoir envie de passer du temps avec lui, ça, je comprends très bien. C’est ce que je ressens pour Flavius.

Histoire

Je suis née dans une famille pauvre du Capitole. Comment ça « il n’y a pas de famille pauvre au Capitole » ? Alors disons une famille modeste. Celle du bas de l’échelle de la capitale. Celle qui fait les boulots qu’on ne peut pas confier aux muets. Celle qui met le plus de couleur dans sa vie, celle qui va faire la fête tous les soirs, celle qui se maquille à outrance pour masquer ce qu’elle est, celle qui s’emballe le plus assidument pour les Jeux de la Faim pour oublier qu’elle n’a pas les moyens de sponsoriser. Celle qui a le plus besoin de prouver qu’elle fait partie du Capitole quoi.

Ma mère était standardiste pour une agence de voyage et mon père chômeur longue durée, entrecoupée de quelques mois de boulots divers payés au lance-pierre quand il arrivait en fin de droit.

Je suis née prématurément. L’accouchement a duré une nuit entière et à failli nous tuer, ma mère et moi. Les médecins lui ont dit que si elle enfantait encore, elle en mourrait à coup sûr. Je suis donc fille unique par la force des choses.

Il serait faux de dire que j’ai manqué de quelque chose pendant mon enfance. Disons simplement que je n’avais rien de superflus. Mes parents gagnaient suffisamment pour que je sois nourrie, logée, blanchie, ils me donnaient amour et attention, j’étais assez intelligente et sociale pour réussir et m’intégrer à l’école, j’avais une bande de copines, un meilleur ami, et j’ai obtenu le diplôme standard avec une moyenne respectable. J’ai directement trouvé un travail pour ne pas être un poids pour ma famille. J’étais secrétaire pour un dentiste populaire. Pas très gratifiant, pas très bien payé mais suffisant pour vivre normalement en colocation. J’aurais pu vivre comme ça jusqu’à ma mort.

Sauf qu’un jour, j’ai pété les plombs. Pourquoi ? Et bien je ne sais pas trop. J’avais mal dormis, la machine à café était en panne, un client m’avait pris la tête, j’étais dans ma mauvaise semaine… Et là, mon patron m’a lancé des propos sibyllins tout en louchant sur mon décolleté et e me pinçant les fesses. Un fusible a grillé. J’ai pris mon ordinateur, je lui ai cassé sur le crâne. Et puis j’ai pris ma chaise et je lui ai cassée sur le dos.

Je ne vous raconte pas le procès. J’ai écopé d’un mois de prison avec sursis et de dettes à rembourser sur une vie entière. Et j’ai sombré.

Chômage, alcool, drogues surtout douces mais parfois dures, charité populaire, résiliation du bail et un immense brouillard toxique qui annihile les sens. Ne m’en demandez pas plus.

Je pensais vivre comme ça jusqu’à ma mort. Mais j’ai été sauvée.

J’avançais à l’aveuglette entre les lampadaires mouvants sur l’asphalte tanguant. Je ne comptais plus les obstacles contre lesquelles je m’étais cognée. Quelques bleus de plus ou de moins…. Et je ne ressentais aucune douleur ; elles étaient toutes noyées par la même brume qui dansait devant mes yeux. J’étais dans un autre univers, superposé à celui où se trouvait mon corps mais séparée de lui par des dizaines de dimensions. Je n’aspirais qu’à trouver une ruelle tranquille à côté d’une bouche d’aération à la chaleur réconfortante.
L’air soulevé par une voiture me fait vaciller puis tomber lourdement sur le goudron, les genoux et les mains en avant. Toujours aucune douleur. Toute abrutie que je suis, je mets un long moment avant de réaliser que ma joue est collée contre le sol et qu’il ne sert plus à rien d’essayer d’avancer. Avant que l’idée de me relever n’ait été envisagée par mon cerveau englué, quelque chose se pose sur mes épaules et les soumet à une traction suffisante pour me retourner et ce n’est plus le noir de la rue qui frappe mes pupille mais un visage flou. Et, errant quelque part entre mes tympans et mon cerveau, il y a une voix assourdie qui prononce mon nom. Quelque chose de frais se pose sur ma face brûlante de tout ce qui m’a mise dans cet état. On s’arc-boute pour me redresser puis pour me remettre sur pied. Toujours coincée dans une autre dimension, je ne fais rien ni pour aider ce mouvement ni pour l’en empêcher. Sur mon épaule et mon poignet, il y a une pression qui me guide et que je suis docilement. La pression me fait m’asseoir dans une voiture et disparait soudainement. Quelque secondes plus tard, il y a un mouvement dans la zone périphérique de ma vision. Je tourne la tête pour voir une silhouette trouble assise devant un volant. Un ronronnement étouffée et une force me plaque contre ce que j’ai dans le dos. Après ça, je vole. Enfin… je crois. Dans la chaleur et la quiétude du moment, je ferme les yeux et laisse le monde avancer sans moi.

Mal au crâne, bouche pâteuse, envie de vomir et désorientation. Comme tous les matins. Pourtant, il y avait quelque chose de différent. Quelque chose de beaucoup plus doux, de beaucoup plus tranquille que tous les matins. Une ambiance. Une sensation. Une matière ? Sous ma paume posée à plat, il y avait un tissu qui n’était pas mon manteau rugueux et défraichi. L’air non plus n’avait pas l’odeur des recoins moisis et de l’air vicié des arrières des aérations. Je sentais mes pieds nus pendre au-dessus du vide. Que s’était-il passé pendant la nuit ? Au pris d’un énorme effort, je parvins à ouvrir mes paupières lourdes. D’un bond, je me redressai. Un gong sourd dans mon esprit me fit regretter mon mouvement brusque ; instinctivement, je voulus chercher dans les grandes poches de mon manteau de quoi calmer la cacophonie naissante. Je ne trouvai rien. Ni mon paquet de cigarette, ni le sachet d’herbe, ni celui de cocaïne. Même pas mon manteau.
Autour de moi, il y avait un environnement que je ne connaissais pas. Propre, ordonné, lumineux, respirant la richesse et la sobriété. Ma tête tournait dans tous les sens, mes yeux papillonnaient à la rencontre de chaque recoin. Je me levai précipitamment et voulu courir vers une porte. Mes jambes se dérobèrent et le carrelage froid et blanc m’accueillit avec violence. Sans ma dose d’anesthésiant habituelle, je reçus la douleur en pleine face. Mon corps se retrouva secoué de tremblements alors que je tentais tant bien que mal de prendre appui sur le canapé pour me relever. Une chaleur au niveau de mon nez m’informa que quelques vaisseaux sanguins avaient encore explosé. Jurant comme une charretière, je collai ma main pour endiguer le flot de sang pour mieux re-chuter. Une porte s’ouvrit brusquement provoquant une torsion douloureuse de ma nuque pour pouvoir voir un homme se précipiter vers moi en prononçant mon prénom. Je fus tellement surprise de le reconnaitre immédiatement que mes tremblements et mes maux de tête et de cœur se turent un instant. Flavius Jackerhat. Mon meilleur ami. De qui j’avais commencé à m’éloigner lorsqu’il a commencé à travailler pour le gouvernement et que j’avais complètement perdu de vue après mon procès.


Flavius m’a offert la chance de ma vie. Il m’a proposé de m’héberger et de me trouver un travail si j’arrivais à décrocher de l’alcool et de la drogue. Malgré son jeune âge, il avait un poste de responsable adjoint des transferts de biens et de services en provenance du district Neuf et on disait tant de bien que lui n’il pouvait encore espérer pouvoir monter de plusieurs grades. J’ai saisi ma chance.

Si plonger dans tous ces addictions a été la pire erreur de ma vie, vouloir m’en libérer comme je l’ai fait était la deuxième. J’ai voulu faire ça du jour au lendemain. Je me suis cloitrée dans la chambre que Flavius avait mise à ma disposition pendant des semaines qui ont été les plus douloureuses de mon existence. J’ai commencé par vider la pièce pour ne pas casser un meuble et j’ai fini repliée sur moi-même, les doigts et les lèvres complètement ensanglantés. Je n’arrivais qu’à hurler ma douleur, à frapper les murs, à me frapper moi-même, à crier sur Flavius quand il m’amenait un repas. Je fermais la porte à clé et la faisait glisser dehors par l’interstice au sol pour ne pas risquer d’aller détruire la maison ou me procurer un anesthésiant.

Il a été incroyablement patient et attentionné envers moi. Jamais il ne répondait à mes insultes et il avait toujours le sourire. Je sais la chance que j’ai eue qu’il soit là pour me sortir du gouffre. Au bout de quelques semaines, j’ai commencé à aller mieux. J’ai réappris à vivre, à sortir, à avoir de vraie conversation avec les gens, à cuisiner, à penser clairement, à avoir des objectifs et à croire en mes rêves. J’ai enterré quelque part au fond de ma mémoire tout ce que j’étais avant et j’ai recommencé ma vie en haut d’une page totalement blanche. Quand je repris contact avec eux, fraiche, sans cernes ni voile dans les yeux, propre et nette, mes parent en ont pleuré de joie.

Flavius m’a pistonnée pour que j’obtienne un poste de juge, pour lequel tout le monde se fiche que j’ai envoyé mon précédent patron à l’hôpital. Je loge chez lui, j’ai reconstruit ma vie sociale, j’ai retrouvé mes repères, je rembourse mes dettes petit à petit. Bref, je vis. Heureuse.



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Jonathan Templebar
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MessageSujet: Re: Gnaea Athanasius Crane - Capitole - Juge - Libre Gnaea Athanasius Crane - Capitole - Juge - Libre I_icon_minitimeMar 25 Déc - 18:28

Quelques photos de Candice Didier pour ceux que ça intéresse :

Spoiler:
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Jonathan Templebar
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MessageSujet: Re: Gnaea Athanasius Crane - Capitole - Juge - Libre Gnaea Athanasius Crane - Capitole - Juge - Libre I_icon_minitimeMar 25 Déc - 18:31

Petit MotTout d’abord merci de vous être intéressé(e) à ma chère Gnaea ; c’est un personnage qui me tient très à cœur.
Le prénom/nom est totalement négociable, je souhaiterais juste un prénom à consonance latine, comme il y en a beaucoup au Capitole. Idem pour l’âge et la date de naissance, ça n’a aucune importance. Le poste de juge n’est pas obligatoire non plus (je me sentais juste seule Gnaea Athanasius Crane - Capitole - Juge - Libre 1167154766 ) ; elle peut également être créatrice, hôtesse ou tout autre métier en rapport avec le gouvernement, où l’autorité n’est pas trop proche de préférence. L’avatar est complètement libre, j’ai mis Candice Didier parce qu’il fallait bien quelqu’un ^^ Sinon, Gnaea n’a pas de « visage » dans mon esprit : elle n’est simplement pas trop remarquable. Je l’imagine aussi assez fine…
Bref, l’histoire et le caractère ne sont pas du tout modifiables par contre. Vous pouvez bien sûr rajouter des événements dans son enfance par exemple, ou alors des choses postérieures à son rétablissement, une passion pour la natation ou des détails dans le genre mais tout le reste est obligatoire. En même temps, c’est toute la raison d’être du personnage…
Je suis naturellement à disposition pour toutes les questions qui pourront vous passer par la tête quant à Gnaea. ^^
Au Niveau du RPG Au départ, je voulais garder Gnaea pour moi, parce que je l’aime trop et que je suis pas prêteuse >< Alors ne me faites simplement pas regretter de l’avoir mise à l’adoption ^^ Peu importe si vous êtes peu ou très actif, ce qui importe c’est que vous la compreniez et que vous preniez soin d’elle. ♥️
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