The Hunger Games RPG
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Une Histoire de chance.

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MessageSujet: Une Histoire de chance. Une Histoire de chance. I_icon_minitimeLun 3 Déc - 15:15

Le premier extrait du journal de Ulyss date de 12 jours après sa victoire. Il s'agit d'un composition fait pour le concours Un vestige du passé et ne sera donc plus hidé après les résultats de celui ci.

Une Histoire de chance. Tumblr11

The past which says whom we are.

J'ouvre les yeux et je hurle. J'ai encore fait un cauchemar. Toujours les mêmes images. Celle de la grande folle à l'épieu. Celle qui est morte devant mes yeux. J'ai peur de la voir revenir. J'ai peur qu'elle soit en vie. Et pourtant j'aurais envie qu'elle le soit. Ne pas avoir vu sa lente agonie avec ce long morceau de métal fiché dans le crâne, ses râles de douleurs me suppliant de l'achever.Moi j'étais là. Gisant dans une marre de sang qui s’étendait à vu d’œil, en train de pleurer. Je n'ai pas été capable de mettre fin à ses souffrances. Depuis par vengeance, elle revient hanté mes rêves. Voilà douze jours que j'ai été déclaré vainqueur des Hunger Games. Il y a eu la première soirée où l'on présente le vainqueur à son public qui l'adule. Pour moi la soirée fut assez amère. Revoir ces morts que l'ont me met sur le dos m'avait fait froid dans le dos. La foule hystérique m'avait effrayée. Aussi, de retour dans mon district avec ma nouvelle maison où un muet vit avec moi (On m'avait dis que sans parents à mon age vivre seul n'était pas une bonne idée.) Je n'avais pas quitter mes murs durant un moment, et ce cauchemars ne m'aide pas à avoir envie de sortir.

Je sors doucement de mon nouveau lit des plus confortable. Je prend une douche bien chaude et y passe un temps fou. Pourquoi ? Simplement que je n'ai pas encore perdu mes habitudes de l'orphelinat. Des douches au jet d'eau glacée tout les cinq jours. Je détestais ça. Autant parce que c'était désagréable que parce que je me sentait sale. Du coup en contre pied, durant mon séjour au Capitole et depuis que je suis de retour "chez moi" je quitte peu la salle de bain et ma chambre. Le Muet qui est avec moi doit se sentir bien plus chez lui que moi. Les seuls choses qu'il a à faire c'est me faire à manger et s'assurer que je suis encore vivant. Pour ces deux choses, il est parfaitement compétant. Pour ce qui est de me faire sortir de ma léthargie, c'est autre chose.

Je vous explique. Le pire une fois qu'on gagne dans l'arène, ce n'est pas les remords ni les regrets. Non, pour ça, je suis assez d'accord avec moi même pour dire que en dehors de l’achèvement de la pauvre fille, je n'ai pas fait grand mal. Le pire c'est de se dire que ce n'est pas fini. Non. Une fois que vous avez gagné c'est le début d'une longue série de mort dont vous êtes responsable en tant que mentor. Ce qui me glaçait le sang. Parce que je serais responsable de personnes qui compteront sur moi, alors que moi, je n'ai gagné que par hasard. Je n'ai rien d'un mentor utile. Surtout qu'il y a quand même de forte chance que ces jeunes à l'article de la mort soit plus âgé que moi.

Voilà pourquoi m'enfermer dans un mutisme et dans ma salle de bain ne me semblait pas une mauvaise solution. Pourtant, bientôt, quelqu'un s'inquiétait. Le muet était partit chercher quelqu'un durant cette nouvelle matinée. Aussi, en sortant de ma douche pour regagner mon lit, je fus surpris de ne pas trouver mon repas sur la table de nuit. Curieux de nature, envers cette absence de repas pourtant habituel (autant que ça peut le devenir en une bonne semaine) et je descend pour la première fois les marches menant à ce qui est fait mon rez de chaussé.

Ah ! Oui, je m'explique. La première fois que je suis venu dans ma nouvelle demeure, c'est le maire qui m'avait porter jusqu’à ma chambre. Le maire. Il m'aime bien cet homme. Et donc le lendemain je me suis réveiller et je n'ai pas franchis les escaliers jusqu'à aujourd'hui. Je sais que les maisons du villages des vainqueurs sont belles mais la mienne est particulièrement à mon goût ... Simplement parce que maintenant elle est à moi. En arrivant dans un long couloir, je cherche la cuisine à l'odeur. Pourtant rien ne m'arrive au nez. C'est dommage, mon estomac commence à crier famine. Je cherche, pièce par pièce. Buanderie, Salon, Salle à manger ... Je me rapproche. Enfin, je pousse une lourde porte qui pourrait laisser entré un homme faisant deux fois ma taille et dix fois mon poids.

C'est là que je les aperçois. Le Muet et le Maire. Les deux surpris de me voir semblait .. en conversation ? Le langage des signes. J'en avais entendu parler sans jamais l'avoir vu. C'est maintenant chose faite. Le Maire arbore un large sourire et se déplace vers moi. Il me prend dans ses bras et me sert fort contre lui. Je sais pas trop comment réagir. Il me regarde un instant et m'explique que William qui semble être le nom du muet était venu le voir, car il s’inquiétait de mon état. Je me sens pourtant parfaitement bien. Enfin, pas totalement. Je saute sur un pomme avant de disparaitre dans le couloir aussi vite que je suis venu.

Maintenant que j'étais en bas, je décidais de visiter les environs ... de ... am maison. Je fouille le salon. Un agréable séjour, de quoi lire en paix. Je saute dans le grand canapé et dévore ma pomme en balançant mes jambes qui ne touchent même pas le sol vu la profondeur du dis meuble. Je regarde par la fenêtre et me demande comment sont les champs depuis ma victoire. Je pense qu'ils n'ont pas vraiment changés, mais j'ai une drôle de sensation quand je pense au fait que je n'y remettrais jamais les pieds pour travailler. Une nouvelle vie commence pour moi. Pas forcement celle dont je rêvais, mais peut-être avec ses petits moments de plaisir.

Je me lève et court à la fenêtre pour voir mon nouveau quartier. Il est propre. Il y a une belle vue, mais peu de passage. Il faut dire que je suis le seul habitant du quartier ... Je prends une décision qui ne me ressemble pas. Sortir d'ici. Explorer justement ce quartier vide. Je cours jusqu'au bout du couloir. Lorsque la porte d'entrée claque, j'entends le maire qui cri un nom. Mais pas le mien. Un truc comme Lucky ... Je ne comprend pas et je m'en fiche. Je cours. les maisons identiques défilent sous mes yeux. C'est à ce moment que je décide de repeindre la façade de ma maison. Histoire de sortir du lot. William saura bien faire ça non ?

Je cours. Je cours sans m’arrêter. Enfin si. Mais après un long moment. Je termine dans un champ qui à l'air à l'abandon. Les herbes plus haute que moi me donne une impression de sécurité. Étonnant ... Quand on sait que les hautes herbes grouillent souvent de serpents. Je m'aventure au centre du champs et pose mes fesses d'un coup. Je tombe au sol et respire à plein poumon. Je suis heureux d'être sorti. Pour quelques instant je suis loin de mes problèmes. Je ferme les yeux. Respire. Les ouvre. Fixe le ciel et compte les nuages. Je passe ma main sur le sol. La terre est chaud sous l'effet du soleil. Puis ma main bute sur quelque chose. Un trou fait par un animal à découvert quelque chose. Une boite. Une boite en métal. Je me redresse interloquer.

Je passe ma main sur le coffret. Il est d'une facture assez simpliste. Sans fioritures. Conçu pour être durable. Il y a un verrou dessus mais le coffret semble avoir été mal fermé. Je l'ouvre avec une extrême lenteur. Je ne sais pas trop à quoi m'attendre. Le soleil éclaire le fond de la boite découvrant deux morceaux de papiers et un disque métallique à première vue. Je prends le premier morceau de papier. Le papier est étrangement lise et brillant. Dessus, il y a une image. Une famille. Deux hommes qui se tienne la main et une petite fille qui semble avoir vers les sept ans. Si mes impressions sont bonnes, il s'agit d'un polaroid. Cette façon d'avoir des photo à disparue depuis un bon siècle remplacer par la représentation numérique puis holographique. Je regarde le disque. Il est en fait en plastique mais recouvert d'un étrange composant métallique.

Enfin j'ouvre doucement le dernier papier. Il s'agit d'un mot écrit. :

Bonjour monsieur ou madame du futur.

Je suis Beverly Smith. J'ai huit ans et je vis avec mes deux papa dans la banlieue de la ville de Houston. J'écris cette lettre en 2037 pour expliquer pourquoi j'ai enterré ce coffre et son contenu. Aujourd'hui, mon papa m'a dit que des méchants avaient déclaré la guerre à mon pays. Ne sachant pas réellement ce que ça voulait dire, j'ai demandé à mon autre Papa ce que ça voulait dire. Il m'a répondu que l'amour entre les hommes étaient en train de disparaitre. J'ai paniqué ! Parce que moi, j'aime encore beaucoup mes papas, ma grand mère, mon chien et puis le prince charmant n'est toujours pas venu me chercher. Alors toi qui va vivre dans un monde sans amour, je veux t'aider. J'ai fait avec mes papas une compilation sur CD des cinq meilleurs chansons d'amour que j'écoute pour faire un calin à Pookie mon labrador. J’espère que ces chansons auront toujours un sens à ton époque. Je te fais pleins de bisous et te souhaite bon courage.

Bevy qui n'a pas besoin de vivre à ton époque pour t'aimer toi aussi.

Je reste sans voix devant ce morceau de papier. J'ai mal à mon cœur. Simplement parce que moi, j'ai toujours manqué d'amour. Et quand je vois ce que le Capitole fait à ses semblables, je me demande si le père de Bevy n'avait pas raison. Mais cette lettre me remplis de courage. Parce que même à travers les ages je ressens l'amour encore innocent de cette petite fille. Les larmes commencent à couler sur mes joues. Je me promet. Je lui promet silencieusement de tout faire pour donner cet amour qu'elle m'a laissé. J'attrape la photo et le "CD" en plus de la lettre que je tiens dans la main et court chez moi. Je passe la porte et me plante devant William et le Maire visiblement mort d'inquiétude. Je reprend mon souffle et décroche mes premiers mots depuis dans jours :

Vous ! Je suis riche maintenant ! Je veux de quoi lire ce CD ! Et je le veux maintenant !

Premier caprice de ma vie. Mais ce que gagnant veut gagnant a. C'est ainsi que j'ai récupéré une "chaine hifi" et que j'ai surtout réussi à numériser ces cinq chansons qui me permette tout les jours depuis ce temps de distribuer de l'amour sans contrepartie. Merci à Bevy d'avoir fait de moi ce que je suis aujourd'hui.

Les 5 morceaux :
A Natural Women - Aretha Franklin
Hear you me - Jimmy Eat World
Nothing Compares 2U - Sinéad O'Connor
Songbird - Fleetwood Mac
Time after Time


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