The Hunger Games RPG
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Lionyx Aaron Gwalldan - Créateur

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Lionyx Aaron Gwalldan - Créateur  Empty
MessageSujet: Lionyx Aaron Gwalldan - Créateur Lionyx Aaron Gwalldan - Créateur  I_icon_minitimeDim 29 Juil - 17:02



Lionyx Aaron Gwalldan

Date de naissance et âge : 5 Novembre / 21 ans
District / Capitole : Capitole
Situation familiale : Orphelin, vivait avec sa tante et son oncle, et ses cousins.Vit désormais seul.
Métier (si adulte): Créateur
Groupe (Tribut etc...): Créateur
Avatar : Louis Delort


Physique & Caractère
(en 8 lignes minimum)

Commençons par mon caractère, qui va se mêler à mon physique, de toute façon. Lionyx Aaron Gwalldan. Faut demander à mes parents, comptez cinq cents milliards d'années lumière vers le haut, troisième porte à droite au paradis - ou enfer, j'en sais rien - bureau plaintes et crises de colère. Ouais, je sais, j'ai un prénom bizarre.

Il faut aussi savoir que je déteste les diminutifs. Pas de Lion, pas de Nyx. Enfin, si à la limite, le dernier. Mes cousins, que je considère comme mes frères, mon oncle et ma tante, mes parents adoptifs, sont les seuls à pouvoir m'appeler comme ça. Et mes amis proches. Tout sera expliqué plus bas.

Je déteste aussi autre chose. Ne vous inquiétez pas, pour l'instant, je fais juste le point avec vous, compris ? Même s'ils sont plus âgés que moi, les adultes que je rencontre pour la première fois ou même ceux que je croise sur mon lieu de travail, doivent m'appeler par mon nom de famille, c'est à dire "Gwalldan". Par principe, par simple respect. D'ailleurs, je les appelle moi aussi par leur nom de famille. Je les rappelle à l'ordre quand ils m'appellent autrement, mais quand ils sont célèbres et qu'ils m'appellent par mon prénom, je passe l'éponge. Je dis ça, mais je ne crois pas tant de gens célèbres que ça. Mais avec mon nouveau boulot, j'allais voir des créateurs connus, c'était certain.

Mais je ne suis pas aussi froid que ça. Je n'aime pas trop prendre des vies, mais ma mère est morte à cause des districts, et j'avais énormément d'imagination, ainsi qu'un bon coup de crayon, et je sais me débrouiller avec un ordinateur. Le seul choix qui s'ouvrait à moi avec ces seules qualités étaient le métier de créateur. Parce que styliste, c'est bien beau tout ça, mais déjà, je n'aime pas beaucoup les districts, et de deux, je n'aurais jamais le courage tous les ans de créer des tenues différentes. Mais je n'ai pas choisi ce métier par dépit, loin de là.

Apparemment, d'après ma famille et mes profs, je ne suis pas comme tout le monde. Je ne pense pas comme eux, et donc je n'ai pas énormément d'amis. Les gens m'apprécient, certes, mais dès qu'ils connaissent ma façon de réfléchir et de penser, ils s'écartent. Je suis un être étrange, complexe, beaucoup trop complexe. Etrangement, ce n'était pas parce que je comprenais les choses une dizaine de fois plus vite que la normale que mes notes en cours en étaient plus... élevées. En fait, je réfléchis tellement vite, tellement bizarrement, que mes raisonnements sont trop étranges pour la plupart des personnes, même pour mes profs, et donc, cela finissait par s'écarter du sujet et être faux. On m'a envoyé dans un établissement spécial, pour surdoués. Là-bas, j'étais totalement à mon aise. Il y avait les mêmes classes que normalement, le collège, le lycée... Pour pouvoir être au même niveau que les autres. Je passerai mon bac au même âge. Je dois préciser que j'avais eu plus de vingt de moyenne. Donc, les classes sont les mêmes, mais le programme de sixième correspond peut-être à la difficulté d'un programme de troisième.


J'ai les cheveux noirs, coupés courts, et les yeux verts. Enfin, de naissance, mes yeux sont verts. Mais j'ai besoin de lunettes. J'ai une très mauvaise vue, et j'ai décidé de porter des lentilles dès l'âge de cinq ans. On m'a demandé si je voulais garder les yeux verts. Je n'avais pas compris à l'époque, mais j'ai accepté de changer de couleur quand je porterais mes lentilles. En fait, c'était de simples lentilles de contact, sauf qu'elles rendent les yeux rouges, ou, ma couleur préférée, ambrés. J'en ai aussi qui me donne des yeux vert forêt, que je préfère à mon vert émeraude assez flashy. J'ai également des lunettes normales, simples, que je mets quelques fois, quand je perds mes lentilles. Je les perds souvent, et quand je vais chez des gens plusieurs jours, je les laisse chez moi. En fait, la moitié du temps, je mets des lentilles, l'autre moitié, je mets des lunettes. Je viens de faire un paragraphe entier sur ça...?

Avec ce paragraphe, uniquement pour mes yeux, je crois devoir me décrire un peu plus. J'ai donc les cheveux noirs, assez courts. Toujours très bien coiffé, mes cheveux retombent très facilement sur mes tempes. Un peu d'eau chaque matin, et ça tenait toute la journée. Je n'avais pas envie de ressembler à tous ces hiboux aux cheveux bleus, hérissés en pic, de ceux qui peuplent le Capitole.

J'ai un physique assez avantageux, je ne suis pas spécialement laid, ni trop grand, ni trop petit, ni trop gros, ni trop maigre. Juste un peu faiblichon. Le stéréotype du petit intello parfait, quoi. Intelligent, mais faible. Mais pas du genre à pleurer quand on m'insultait, ou, dans de rares cas, me battait. J'encaissais sans rien dire, sans rien cafter aux profs. Question de principe. Donc, je suis ce que l'on pourrait appeler un beau garçon. Néanmoins, je vis au Capitole, et donc, ma beauté naturelle n'est rien comparée à celle, plastique, superflue, changeante du Capitole. Ce que je détestais le plus, ici, c'était les modes . La mode des yeux verts, des jambes fines, des petites mains... Tout cela me dégoûtait. Ma famille pensait comme moi. D'ailleurs, c'est plutôt moi qui pense comme elle, parce que j'ai été éduqué comme ça. On pense comme ça, chez les de Gwalldan. On n'a jamais gaspillé d'argent dans des dépenses inutiles du genre chirurgie esthétiques. Oui, ça fait un peu cliché et vieux jeu, mais c'est comme ça. Pour nous, quiconque change d'apparence change d'identité. Enfin bref, je ne déteste pas ceux qui choisissent ce mode de vie, mais je ne l'encourage pas non plus.


J'ai souvent le regard dans le vide. Je pense toujours à autre chose, et j'ai énormément de mal à rester concentrer lors d'une conversation. Cela me rend attachant ou énervant, selon mon interlocuteur. J'ai vingt et un an, mais on dirait vraiment que j'en ai quinze. En plus, dans ma tête, je suis toujours un enfant.

Je suis d'une taille moyenne, ni trop grand, ni trop petit, et je ne suis ni gros, ni maigre. Wait, je l'ai déjà dit. En fait, si quelqu'un me croisait dans la rue, tout le monde me regarderait bizarrement. Oui, dans les districts, je pourrais marcher sans me faire repérer, mais la normalité dans les districts n'est pas la même qu'au Capitole. J'ai juste un petit tatouage sur le côté du cou, un petit dragon majestueux, ailes déployés, sur ses pattes de derrière, hurlant vers mon oreille. Il avait les ailes orangées, et le reste du corps rouge et doré. J'adore les dragons. Ma maison en est remplie.

Je passe mon temps à dessiner, mais j'aime aussi m'amuser avec les enfants de mes cousins. Je leur montre comment dessiner, et d'autres choses. Je ne leur parle pas de mon métier. Leur dire que j'imagine des pièges pour tuer des enfants de leur âge me dégoûte.

J'ai demandé à mes cousins, à mes grands-parents, à toute ma famille de ne révéler mon métier à leurs fils et filles que quand ils seraient majeurs, et en âge de comprendre ça. J'avais hésité à faire styliste. Si je dessinais bien, j'aurais très bien pu faire ce métier. Mais les districts ont tué mes parents. Et au fond de moi, je ne suis plus un enfant. Parce que depuis l'âge de sept ans, je possède une noirceur qu'aucun enfant ne peut posséder. Et puis, je voulais me venger. La vengeance est puérile, oui, mais réconfortante. J'avais le choix entre ces deux métiers, en fait. Mais entre aider à faire gagner les tributs, et les tuer, mon choix était vite fait.


Sinon, je vais approfondir mon caractère. J'ai beaucoup de mal à apercevoir le mauvais côté des gens, et je suis très influençable. D'autre part, je suis naïf, généreux et rêveur. Il est possible que j'invente un scénario impossible en regardant par une fenêtre. Genre qu'un message traverse la pièce, que le message est en fait un message d'un célèbre présentateur qui m'invite chez lui pour discuter, et... Et là, l'inspiration me vient et je dessine. Dans la rue, je me promène toujours avec un petit bout de papier, pour que je puisse faire des esquisses, que je retravaillerais mieux chez moi.

Ou alors, ces rêves éveillés me permettent de composer des morceaux de musique. Oui, je joue de la guitare, aussi. Je joue assez bien, mais je préfère dessiner, peindre. J'ai du mal à parler avec les gens à cause de ma timidité. Par contre, la plupart aiment bien me parler. Parce que je déteste mentir, et ça se voit, apparemment.

Je connais le regard que porte les districts sur le Capitole. Apparemment, nous sommes excentriques, et c'est la vérité. Ils jugent sans connaître, ces pauvres imbéciles. Enfin... Nous les détruisons, nous détruisons leur famille... Je n'ai pas vraiment le droit de les empêcher de nous détester. Je ne sais pas ce que je ferais si j'étais né dans un district. J'aurais peut-être pas de chien.

Bon, une dernière chose ? J'ai un chien nommé Miôky. Il est très jeune, un an et demi, c'est une golden retriever d'une couleur assez rare, blanche, d'un blanc très pur, immaculé comme la neige. Je ne me déplace jamais sans lui. Etrange, non ?

Je sais également que je fais garçon de manga un peu trop parfait. Histoire tragique, intelligence hors du commun. Néanmoins, au Capitole, c'est pas très rare de voir des gens ainsi. La plupart du temps, c'est du à des interventions. On pouvait, de nos jours, devenir plus fort, plus intelligent, plus beau. Sauf que moi, je n'avais rien fait pour ça. Beurk les interventions chirurgicales. Plutôt mourir.

De toute façon, certains pensent que j'ai fait une intervention pour devenir plus beau, je ne comprends pas pourquoi. Tous ceux au Capitole ont un niveau très élevé en matière de beauté. Je ne me sens pas plus séduisant qu'eux. Surtout, une chose qui montrait que je n'étais pas un monstre du Capitole, ma cicatrice sur le cou. Elle était très voyante, de l'autre côté de mon dragon. Le jour où je me l'étais fait, j'avais du perdre connaissance, car je ne me souvenais plus de comment était-elle apparue.






Histoire
(en 15 lignes minimum)

J'avais sept ans quand le district 13 s'est rebellé. Il y a eu très peu de morts du côté du Capitole, contre énormément du côté des districts. Mes parents avaient été forcés d'aller au front. Ma mère à fait parti des très rares victimes du Capitole. Lors de l'enterrement, j'avais pleuré tout du long. Mon tatouage, le dragon, était celui de mon père. Mon père est mort deux ans après. Il adorait voler. Mais un jour, il a eu un problème en vol, et il s'est écrasé au sol. Il est mort. J'ai repris exactement le même dragon. Même posture, même couleur...

Je me sens un peu honteux de raconter ça, mais il le faut. J'avais sept ans.

« Ecoute-moi, Lionyx... Tes parents... Ils étaient au front et... ta mère est morte. Elle ne reviendra jamais, petit. Désolé...

-Qu'est-ce que... Qu'est-ce que tu racontes ? Maman ne peut pas être morte ! Elle m'avait promis de revenir ! Elle m'avait juré qu'elle ne partirait pas longtemps ! Je ne peux pas vivre sans elle ! Qu'est-ce que je vais devenir ? Mais ça, vous vous en foutez, n'est-ce pas ? Parce qu'il y a tellement de personnes ici, une de plus ou de moins, qu'est-ce que ça peut vous faire ?

-Lionyx... Calme-toi ! Je n'y suis pour rien ! Arrête ! »


Je m'étais jeté sur lui pour le frapper, de mes petits poings d'enfant. J'avais pris une lampe de chevet pour le blesser. Pour lui faire mal. Pour lui faire endurer la souffrance que j'endurais en ce moment.

Je m'étais réveillé quelques heures plus tard.

« Où suis-je ? Ce n'était qu'un mauvais rêve ? Maman...

-Non, gamin... On a été obligé de t'endormir parce que tu allais réellement nous tuer. Au fait... »


J'étais étrangement calme. Je ne hurlais plus, et cela semblait rassurer le pauvre homme, dans ma chambre. On m'avait annoncé la nouvelle dans ma chambre. Horrible, n'est-ce pas ?

« Gamin, tu devrais faire du sport de combat. De la boxe, ou même des arts martiaux ! Du karaté t'irait très bien.

-Non. Veux pas.»


J'avais fait mon petit enfant boudeur à l'époque. De toute façon, je détestais le combat. Je préférais nettement rester spectateur. Aussi, si je déteste les diminutifs ou les surnoms, en voilà la cause. La seule personne qui m'avait appelé "gamin" ou "petit", c'était cette personne. Voilà pourquoi je déteste ça. Ça me rappelle ma mère.

Deux ans après, mon père, que je regardais voler comme à mon habitude, c'est écrasé sur le sol dans une explosion sous mes yeux... Ce souvenir restera me hanter jusqu'à la fin de mes jours.


Dès l'école primaire, à l'époque où je n'étais pas dans un établissement spécialisé, certains de mes amis se sont mis à se teindre les cheveux. Moi, j'avais juste de temps en temps les yeux rouges ou dorés. Ils voulaient tous devenir stylistes ou présentateur des Hunger Games, les premières éditions commençant à cette époque. J'ai fermé les yeux pendant quelques temps avant de me rendre compte de ce que signifiaient réellement ces métiers. Je n'avais que huit ans.

« Vous voulez réellement aider les districts à gagner ? Ils ont mérité ce qu'ils leur arrivent ! Sinon, on n'aurait pas instauré les Jeux de la Faim !

-Eh, Lionyx ! Nos parents à nous ne sont pas morts ! Laisse-nous faire ce que l'on veut ! Si t'es pas content, va-t-en !

-Pas la peine d'être si méchant... Ce n'est pas la faute de Nyx si ses parents sont morts ! »


Mon cousin m'avait défendu ce jour-là. Je lui en avais été extrêmement reconnaissant. Grâce à lui, mes amis ne m'avaient pas rejeté. Enfin, pas ce jour-là. Un mois après, je n'en avais plus un seul et je partais de la banlieue pour aller dans le centre-ville.

J'avais compris la leçon. Nous n'avons plus parlé des Hunger Games. Plus jamais. Et puis, nous avions été envoyés dans différentes écoles. Ecoles de stylismes ou écoles de créations. Au fond, le principe était le même, mais la moralité très différente. Chez les créateurs, on mettait nos sentiments de côté pour pouvoir bien créer. Alors que les stylistes devaient être remplis de compassions pour leurs tributs. Nous avions débattu pendant quelques heures avec mes amis, quand j'avais quinze ans. Mais nous étions tous fermement convaincus sur nos différents points de vue.

Je n'ai rien dit là-dessus non plus. Je ne comprenais pas leur point de vue, mais je le respectais. Par contre, je leur ai expliqué mon histoire, et ils sont compréhensifs. Ils ne parlent jamais des districts. Par respect pour moi. Et moi, pour ne pas jeter d'huile sur le feu, je n'en parle pas non plus.

J'étais assez aimé côté école spécialisée. J'avais de bonnes notes, surtout en dessins. C'est la seule chose qui puisse me concentrer assez longtemps pour pouvoir finir ce que je fais à temps. Je vivais avec mon oncle et ma tante, et donc mes cousins, jusqu'à l'âge de dix-huit ans. Ce sont un peu mes frères et sœurs, aujourd'hui.

A mes dix-huit ans, diplôme d'Arts en poche, j'ai cherché un appartement dans le centre ville. J'avais renoncé à me venger des districts, mais, ayant voulu depuis toujours servir le Capitole, j'étais fermement décidé à devenir créateur. J'ai trouvé un petit appartement, pas trop cher, pas trop grand, pour pouvoir approfondir mes études. J'étais heureux, car, grâce à mes notes en dessin, j'ai pu entrer facilement dans une école très réputée qui formait les créateurs de renoms.

Je me suis rapidement démarqué, et j'ai fini par boucler mes études de créateur, à vingt ans. C'est d'ailleurs suite à mon diplôme de créateur que mon oncle m'a acheté Miôky, mon chien.

La quinzième édition commence bientôt, et ce sera la première à laquelle je participerais. J'espère pouvoir rencontrer rapidement des créateurs avec plus d'expérience que moi. Oui, au Capitole, tuer des adolescents qui peuvent avoir trois ans de moins que moi, c'était un métier comme un autre. Il faut savoir vivre dans son monde, après tout... J'ai maintenant vingt et un ans, et je me demande si ce métier me conviendrai. Oh et puis, je n'étais pas devenu meilleur de ma promotion pour abandonner... C'était bien payé, et en plus, j'avais reçue une formation morale. Je n'étais plus aussi influençable qu'avant les débuts de mes études.


Derrière l'écran
Prénom / Pseudo: Niko, Paolo, Mathilde, Thildou, Griffe. *hap*
Âge Réel : 13 ans et demi. :3
Comment as-tu connu le forum ? : J'y suis depuis trèèès longtemps, mais... grâce à ma soeur. *hap*
Code du règlement : Validé par Ariel la sirène
Autre chose ? : Double-compte : Niko Arrow

[Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]


Dernière édition par Lionyx A. Gwalldan le Mar 31 Juil - 17:59, édité 3 fois
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Lionyx Aaron Gwalldan - Créateur  Empty
MessageSujet: Re: Lionyx Aaron Gwalldan - Créateur Lionyx Aaron Gwalldan - Créateur  I_icon_minitimeDim 29 Juil - 17:19

Mon petit Niko magnifique fiche ^^

Mais alors quel pavé tu nous a fait :p un régal pour les lecteurs qui aiment les choses bien complète ^^

Je ne vois pas de souci à ta validation, n'oubli juste pas d'editer ta fiche pour mettre le nom de ton avatar, sinon bienvenue parmis nous monsieur le createur ^^
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Lionyx Aaron Gwalldan - Créateur

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