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C'est une belle journée pour mourir.

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C'est une belle journée pour mourir. Empty
MessageSujet: C'est une belle journée pour mourir. C'est une belle journée pour mourir. I_icon_minitimeDim 10 Fév - 17:49

Spoiler:

C'est une belle journée pour mourir. Tumblr_mf8c9id0101rfqstyo1_500


    Billie avait besoin de liberté. Elle ne pouvait absolument pas supporter de passer la totalité de son temps en groupe. Et surtout pas avec les carrières, dont elle ne se sentait pas si proche que cela. Si une partie d’elle était semblable à eux, une autre partie, à l’inverse, les méprisait et les haïssait au plus haut point. La demoiselle avait le sentiment de plus en plus marqué d’avoir deux personnalités. Cette personnalité qui parvenait à cohabiter de manière parfaitement normale avec les carrières, et cet autre côté qui ne rêvait que d’une chose : les poignarder en pleine gorge dans leur sommeil. Bien entendu, elle se priverait bien de faire une telle chose. Ce n’était absolument pas dans son intérêt. Ni dans ses projets de vengeance. La jeune femme voulait les voir souffrir. Elle se fichait bien de mourir, elle savait que c’était très probablement son destin. Mais il fallait qu’ils payent pour ce que leur pair avait fait endurer à son frère. Et rien que pour ça, elle tiendrait tout le temps qu’il serait nécessaire de tenir. Ceci étant dit, une petite balade à la recherche de victimes potentielles ne la rebutait pas pour autant. Son dernier mort était Shin, et il était maintenant temps de se débarrasser du corps en allant le semer dans l’arène. Et de trouver la prochaine personne dont Billie s’occuperait personnellement. Ni une ni deux, au matin du deuxième jour, la jeune femme avait pris une ou deux petites choses à grignoter, une gourde d’eau, sa précieuse machette envoyée par Hypolite, son mentor ainsi que le pic à glace qu’elle avait récupéré au tout début de l’arène, et la faux qui avait suivi. Et s’était en allée, sans prévenir qui que ce soit. Néanmoins la blondinette soupçonnait Joseph de l’avoir vu s’éclipser. Et savait que Kihara avait dû entendre le bruit feutré de ses pas sur le sol souple et humide de ces souterrains. Tant mieux, on ne lui demanderait certainement pas de se justifier. Il était hors de question qu’elle doive attester et demander la validation de ses moindres faits et gestes. Et n’hésiterait pas à se désolidariser de l’alliance si on l’importunait un peu trop sur ses actions et sa liberté d’agir.

    Avant de quitter le camp de fortune qu’ils s’étaient octroyés, l’adolescente avait pris soin d’attacher ses cheveux. Leur blondeur luminescente la trahissait un peu trop à son goût dans la pénombre des souterrains, où les yeux des autres tributs commençaient probablement à s’habituer également. Et de remettre de la boue sur ces infâmes bandes violettes tellement repérables de loin. Ou qu’elle se déplaça, Billie Rose prenait le plus grand soin dans son avancée. Elle frôlait les murs, pour avoir un point d’accroche si le sol se dérobait sous ses pieds, ou qu’un piège vienne à se déclencher. Du mieux qu’elle le pouvait, elle scrutait l’horizon à peine discernable dans l’obscurité, l’ouïe aux aguets du moindre bruit qui aurait pu trahir un tribut tentant une attaque discrète. Que ce soient les créateurs ou les tributs, ils pouvaient essayer de la surprendre autant de fois qu’ils le voulaient… Elle était prête à en découdre. Et ne comptait pas se laisser avoir bêtement. Sa prudence n’avait d’égal que son acharnement à obtenir revanche.

    Tandis que ses pensées commençaient à divaguer, songeant aux jours qui venaient de défiler, et à tout ce temps qui s’était déjà écoulé depuis le début de l’arène, Billie Rose avançait, sans trouver qui que ce soit sur son sillage. Où avaient-ils donc tous bien pu passer ? Nonchalamment, elle en profitait pour se séparer un à un des morceaux du corps de Shin, qui donnaient une indication très clair sur son chemin. Si l’un des tributs décidait de la prendre en chasse, il pouvait. Et Billie Rose espérait qu’il le ferait. Cela lui éviterait de passer la journée à chercher une nouvelle victime à dépecer, et elle pourrait tranquillement se charger de régler son compte. Au bout d’un certain temps à marcher, une petite crevasse dans le mur, à peine suffisamment grande pour qu’elle s’y tapisse sans pouvoir être facilement repérable la décida à s’arrêter pour grignoter un morceau et boire un peu. Son corps était habitué à subir les privations qu’elle s’infligeait, mais si elle voulait garder la forme, il était important qu’elle le nourrisse tout de même un peu. Une petite tranche de viande séchée, une deuxième. Et trois gorgées de la petite gourde qu’elle avait récupérée. Cela suffisait à satisfaire son estomac pour le moment. Autant garder des provisions pour les jours à venir. Et alors que Billie rangeait discrètement ce qu’il restait dans une petite poche de son sac, et craquement se fit entendre. Tel un lapin dont le regard aurait croisé les phares d’une voiture, Billie se raidit, et s’immobilisa, comme hypnotisée. Quelqu’un était là. Tous ses sens se mirent immédiatement aux aguets. Son besoin de tuer se diffusa tel un parfum d’ambiance dans une voiture. Avec la même rapidité, la même puissance. Avec cette même manière étrange de titiller le nez. Ses muscles en frémissaient frénétiquement rien qu’à cette idée. Le fait de ne pas pouvoir voir qui était en train de s’approcher rendait la chose encore plus excitante. Une petite fille ou un grand gaillard bien bâti ? Un jeune garçon sans défense, ou une tribut armée jusqu’aux dents ? Le seul moyen de le découvrir était d’attaquer. Attaquer oui, mais pas n’importe comment. Le meurtre de Shin avait été trop rapide à son goût. Cette fois si, elle voulait se délecter. Elle voulait profiter de chaque seconde de douleur et de terreur de sa victime, et s’en nourrir. Billie devenait probablement folle. Si jamais elle sortait vivante de l’arène, la jeune femme ne voulait même pas imaginer à quoi ses jours ressembleraient. Et l’arène était loin d’être finie. Mais peu lui importait pour le moment, il fallait qu’elle se concentre pour ne pas se laisser blesser.

    De manière imperceptible, Billie Rose avança la tête pour repérer approximativement la position de sa prochaine victime. Elle ne s’attarda pas à détailler le physique de la personne, elle aurait tout le loisir de le faire dans les minutes à suivre. Lorsque les pas arrivèrent enfin à son niveau, la jolie blonde attendit que le tribut malchanceux ait dépassé d’environ moitié son champ de vision pour asséner un coup de faux bien senti dans les tendons de ce qu’elle découvrit être une jeune fille. Cette dernière s’effondra sur le coup, incapable à partir de maintenant d’effectuer le moindre pas. Face contre terre, dans la boue, et tentant tant bien que mal de se saisir d’une arme pour se défendre. Billie s’approcha, et attrapa la chose par les cheveux, avant de la retourner prestement, pour découvrir à qui elle avait affaire. Nellie Veith. Sans trop savoir pourquoi, son antipathie envers cette jeune femme l’avait poussé à se lancer un pari : la trouver et la tuer. La tuer en la faisant hurler tout ce qu’elle serait capable d’hurler. Le moment ne tombait que trop bien. Elle était sans défense, et Billie avait vraiment envie de sang. La tribut du 6 était sur le point de passer le dernier quart d’heure le plus ignoble d’une vie.

    « Tiens. Nellie, comme on se retrouve. Tu sais quoi, je n’ai encore jamais eu l’opportunité de te le dire. Mais je ne t’aime pas. Non, je ne t’aime vraiment pas. Et je ne suis pas gentille moi, avec les gens que je n’aime pas. Tu vas regretter d’avoir croisé ma route. Sois en sure. »

    Et tandis que la jeune femme essayait de se débattre, Billie aposa le pied sur sa gorge et effectua une pression suffisante pour que la demoiselle se calme, l’oxygène venant rapidement à manquer. Toujours trop active et mobile à son goût, la jeune fille du neuf s’empara de son pic à glace, tourna la tête de Nellie, de sorte que son oreille se trouve parallèle au sol, et enfonça le métal de la toute petite arme dans le creux de l’oreille, en plein milieu du cartilage. Le geste arracha son premier cri réel à la future victime de la bouchère des Jeux de la faim, car si la coupe de ses tendons avait fait mal, le son de douleur avait été amorti par sa chute, et son arrivée dans la gadoue de l’arène. Le pic à glace quant à lui, n’était que la première atrocité –et la moindre- que Billie comptait infliger à Nellie, mais la position de son oreille vis-à-vis du sol empêchait à cette dernière le moindre mouvement sans douleur. Chacun de ses gestes créerait un point de pression qui lui ferait atrocement mal et c’était bien le but recherché.

    « Tiens, comme ça tu arrêteras de bouger autant, tu commences à me taper sur les nerfs. »

    Puis elle s’accroupit à nouveau, cracha au visage de Nellie, et ajouta :

    « Je te méprise. Tu ne mérites même pas ta place ici, regarde toi. A peine le début des jeux, et tu es déjà au sol, pleine de sang et sur le point de mourir. Par quoi vais-je bien pouvoir commencer… Je veux que tu aies mal. Je veux que tu souffres comme jamais personne ne t’a fait souffrir avant. »

    Billie prit place à califourchon sur Nellie. Si tant est que cette dernière arrive finalement à détacher son oreille du pic à glace, les muscles de la tribut du neuf empêcherait la tribut du six de bouger le haut de son corps. Ses jambes étant déjà hors d’usage depuis la première seconde de cet affrontement, cela ne laissait que peu de possibilité de mouvements. Pensive, Billie Rose commença donc à fixer l’adolescente au sol, l’air plein de dégoût, mais particulièrement active dans sa réflexion. Elle voulait un endroit à la fois douloureux et violent. Quelque chose qui permettrait de la garder éveillée, tout en étant spectaculaire et insoutenable, autant à vivre qu’à voir. Les pommettes ? Trop rapide. Le nez ? Trop évident. Le front ? Trop de risques de toucher le cerveau… Ou ce qui s’y apparentait dans le cas de Nellie. Et puis, l’évidence.

    « Je ne te trouve pas assez souriante, tu as l’air de t’ennuyer ici. Et on ne voudrait pas que tu ennuies les gens du Capitole, si ? Ils sont là pour le show après tout, donnons-leur ce qu’ils ont envie de voir. »

    La main sur sa machette crantée, Billie Rose entreprit donc de fendre dans toute leur largeur les joues de Nellie. En partant de la commissure, et en remontant, tout le long jusqu’à la pommette. Les crans de la machette ne permettaient pas une découpe fine et précise, si bien que les morceaux de chair finissaient en lambeaux. La tribut du six tenta vainement de s’agiter, et hurla, les yeux embués de larmes qui venaient se mêler au sang qui commençait à poindre sur son visage.

    « Tu ne vas tout de même pas commencer à pleurer, malheureuse, ce n’est que le début. Tu m’excuseras, mais j’ai besoin de ça maintenant…»

    D’un geste rapide, elle ôta le pic à glace de son emplacement, et avant même que Nellie eut l’occasion de bouger, Billie le remplaça par la machette, ce qui arracha un nouveau hurlement strident à la jeune femme allongée. Les mouvements de sa tête en furent d’autant plus réduits, car la taille de la machette était relativement supérieure au tout petit trou du pic qui ornait son cartilage depuis quelques instants. Négligemment et sans prêter attention aux supplications de la jeune femme, Billie Rose écarta ce qu’il restait des joues de Nellie, et positionna le pic sur la gencive, au dessus d’une des canines de la demoiselle.

    « Tu vas sentir… Comme une petite piqure ! »

    Et elle commença à asséner des coups de pic à glace dans la gencive de Nellie. Observant que sa petite expérience avait l’air de marcher, et que les précautions pour empêcher la tribut du six de bouger avaient l’air de fonctionner approximativement, Billie Rose, un sourire de psychopathe sur le visage, continua son petit procédé, et mis en sang la totalité des gencives de Nellie. Après quelques minutes d’acharnement, la tribut du neuf attrapa une dent au hasard, et se mit à la faire bouger vigoureusement. Un peu comme lorsque l’on est enfant, et que l’on a hâte de perdre une dent de lait qui se fait un peu trop languir. Sauf que ces dents-ci n’étaient pas censées tomber, et qu’au vu des hurlements de plus en plus sourds de Nellie, qui était selon toute vraisemblance, à deux doigts de tourner de l’œil, le sentiment d’impatience n’était pas le même. Lorsque la première dent fut arrachée, Billie décida que ce jeu était particulièrement amusant, et entrepris de déloger de la gencive la totalité des dents de la jeune femme. Une par une, peu importait le temps que cela lui prendrait. Elle s’était promis une mort qui assouvirait enfin réellement ses pulsions, et elle comptait bien se l’offrir avec Nellie. Sa petite collection de dents mise précieusement dans un coin, Billie regarda sa victime avec l’air dément d’une femme sénile n’ayant plus aucune prise avec le monde réel.

    « Si seulement tu vivais assez longtemps pour voir le prochain rayon de soleil, tu aurais pu être drôlement gâtée dis donc. Et tu vois, tu souris, maintenant. »

    La peau de la jeune femme se faisait de plus en plus blême. L’horreur de la situation la contraint à vomir. Faute de pouvoir tourner la tête, le liquide verdâtre se répandit sur ce qu’il restait de son visage, dans les plaies béantes de ses joues, et le long de ses cheveux. La scène était tout bonnement répugnante et même Billie trouva la chose infecte. Ce n’était pas digne d’une vraie tribut, ce genre de choses. Du plat de la machette, elle asséna un coup sur la tête de Nellie :

    « Tu es infecte, tu aurais tout de même pu attendre que je continue de te faire souffrir pour te dégueuler dessus. Je vais te donner une bonne raison moi, d’avoir envie de vomir. »

    Sans la moindre délicatesse, Billie souleva le bras droit de Nellie, et enfonça la machette sous l’aisselle de la demoiselle. Pas trop loin, pour ne pas risquer de toucher le cœur, juste assez pour faire un mal de chien. Oh, et puis tiens, l’autre aussi. Et tandis que la machette découpait grossièrement la fine peau des aisselles de la malheureuse Nellie, Billie commença à rire. A rire sans se soucier de qui pourrait l’entendre. La tribut du six, elle, ne supporta pas ce dernier assaut, et tourna de l’œil. Elle en avait déjà supporté bien plus que de raisons, et, commençant à se vider de son sang, il était très probable que sa fin était proche.

    « Et en plus t’es pas foutue de rester réveillée jusqu’à la fin ? Bon sang, t’es vraiment inutile ma petite Nellie. Heureusement que tu vas mourir, ça sera toujours ça de pris. »

    Non, elle ne l’entendait surement pas à travers les vapes de son inconscience, mais Billie ne parlait pas vraiment pour être entendue. La vue du sang la rendait simplement un peu dingue. Ces effusions macabres qu’elle avait attendues si longtemps prenaient vie devant elle, la délectant d’horreur et de monstruosité. C’était encore plus inouï que tout ce qu’elle avait jamais vécu auparavant. Alors, simplement pour la forme, elle approcha du visage de Nellie, avec une idée toute nouvelle en tête.

    « Je sais que, quelque part tu m’entends. Alors je vais arracher la peau de ton visage, et puis je m’en ferai un masque. Ou peut être en ferai-je un masque au prochain malheureux qui croisera ma route. Ca va être infect, mais petite chanceuse, tu n’auras pas l’occasion de pouvoir t’en rendre compte. »

    Et elle s’exécuta sans attendre. Consciencieusement et avec toute l’application du monde, Billie entreprit d’effectuer des entailles tout le long du visage de la jeune femme. Une fois que ceci fut fait, elle commença à tirer. A tirer de toutes ses forces pour ôter la peau de la face de Nellie, qui était probablement déjà morte, puisqu’elle n’émettait plus le moindre son. Visiblement peu d’accord avec l’idée, la demoiselle nécessita plusieurs essais à tirer de toutes ses forces pour finalement réussir à écorcher complètement le visage de la tribut du 6. Sans cacher une certaine fierté en observant le bout de peau parfaitement intact –qui lui indiqua au passage, que Nellie était toujours en vie, puisque la chair n’avait pas encore durci- la bouchère du 9 décida qu’elle en avait assez. Elle s’assit alors en tailleur, comme une enfant, posa la machette sur le cou de Nellie, et commença tout doucement à faire des allers et retours, comme on découpe un rosbif. Lentement, mais surement. Des morceaux de peaux en lambeaux et de petites effusions de sang vinrent parfaire ce décor horrifiant. A son rythme, sans trop se presser, elle fit sa petite affaire sur le reste du corps de la défunte. En chantonnant un air joyeux, qu’elle avait appris lorsqu’elle habitait dans le district 6. Une chanson que l’on chantait aux enfants pour leurs anniversaires. Comme pour les féliciter d’avoir atteint un stade supérieur. Excepté que Nellie Veith n’atteindrait plus jamais aucun stade supérieur. Billie Rose contempla son puzzle. Jamais elle n’avait rien vu d’aussi insupportable de sa vie. Elle espérait de tout cœur avoir choqué les esprits. Avoir attiré l’attention sur elle. Il y avait probablement des caméras, logées partout dans les recoins du souterrain. Billie Rose eut presque envie de leur faire un petit clin d’œil. Voir même, de leur souffler un baiser. Mais elle avait bien mieux à faire.

    Billie avait trouvé une lance, probablement récupérée par Nellie avant de quitter la Corne. La jeune femme s’en empara, et planta la tête de Shin dessus, pour laisser sa petite marque. Elle posa les pieds de Nellie à l’origine du bâton, et rangea le reste des morceaux du puzzle dans son petit sac à cadavre. Après avoir pris bien soin de s’assurer qu’elle n’était pas suivie, Billie attendit avec un sourire aux lèvres, le coup de canon qui annonça la mort définitive de cette répugnante demoiselle, qu’elle détestait tant. Une fois entendu, Billie rebroussa chemin, toujours prudente sur les endroits où elle mettait les pieds, pour retrouver le campement de fortune établi par les carrières.





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