The Hunger Games RPG
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Vulphy F. Merfolk ( en attente de validation)

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MessageSujet: Vulphy F. Merfolk ( en attente de validation) Vulphy F. Merfolk ( en attente de validation) I_icon_minitimeMar 13 Nov - 19:11



Vulphy Ferdinand Merfolk

Date de naissance et âge : 24 ans, 09 mars
District / Capitole : District 12
Situation familiale : Célibataire, libre comme l'air, tu veux que je te mette un coup par derrière ?
Métier (si adulte): Mentor
Groupe (Tribut etc...): Mentor
Avatar : Marlon Teixeira


Physique & Caractère
(en 8 lignes minimum)

Vulphy, c'est un corps robuste au torse à la peau mat, délicatement dessinée par les douces courbes de ses abdominaux et pectoraux prédominants.
Vulphy, C'est cette allure élégante et suave qui fait dresser chaque petite parcelle de votre corps lorsqu'il entre dans votre champ de vision de sa démarche distinguée et masculine.
Vulphy c'est ce regard profond et pénétrant qui semble vous transpercer de part en part lorsque ses yeux couleur noisette entre en contact avec vos propres prunelles et que d'un battement de cil vous êtes persuadé qu'il sait tout de vous, qu'il peut voir en votre corps et en votre cœur.
Vulphy ce sont ces joues aux pommettes saillantes et au nez droit, signe de chance, de réussite et d'une parfaite maîtrise de son corps

Vulphy ce sont ces lèvres gourmandes couleur de chair qui vous susurre en délicatesse des mots doux, des mots d'amour. C'est cette chair chaude que vous voyez si bien venir poser au creux de votre cou des baisers alanguis d'un feu vous brulant jusqu'à l'âme.
Vulphy c'est un sourire doux et scintillant vous incitant à la confiance.
Un visage angélique d'une mine fraîche à la peau satinée et aux yeux noisette. Aux paupières délicate et au sourcil épais vous incitant à vous perdre dans les limbes d'un regard. Une voix douce et grave vous mettant en confiance et incitant les jeunes filles à se dévêtir. Un sourire de perle blanches, un menton volontaire et une chevelure dense, mi-longue à l'aspect soyeux de couleur brune.
Mais l'apparence ne fait pas tout et le caractère est important et pour ce qui est du caractère, l'ami Vulphy en a bien plus qu'il ne saurait en faire. Il est Taquin, mesquin, râleur et chieur, un peu menteur voir beau parleur, il aime dicter et commander, il aime être le roi des soirées. Un peu marqué par sa destinée, il est quelque peu traumatisé ajoutons à cela qu'il est pédéraste et vous aurez le Vulphy parfait, car qui dit beau comme un dieu, dit forcément pédé comme pas deux !


Histoire
(en 15 lignes minimum)

Lunes interminables, univers opaque, grondements, tornades, séismes. Rares étaient les moments de repos ; front contre genoux, bars autour du cerveau, je pensais, j'écoutais, j'aspirais à ne pas exister. Mais la vie était là, perle transparente, astre qui tournait lentement sur soi. J'étais aveugle. Mes yeux étaient fixés sur cet autre monde, cette autre existence qui s’effaçait chaque jour. Ses couleurs étaient éteintes, ses images devenaient confuses. Il me restait encore des cris étonnés, des pleurs affaiblis. La réminiscence impuissante m'oppressait, la mélancolie me brûlait. Qui suis je ? Demandai-je à la Mort accroupie à mes pieds. Elle grogna et ne répondit pas.
Où suis-je ? J'entendais des rires, des voix qui disaient : 

«  ce sera sûrement un garçon. Il bouge. Il a la rage en lui »

Peu importait qui je serais. J'étais déjà lasse de cette immensité. J'étais lasse d'espérer, d'attendre, d'être moi, le centre du monde.
Le bruissement du vent m'apaisait. J'écoutais le ruissellement de la pluie. Dans mon ciel où le soleil ne se levait jamais, j'entendais le chant d'une petite fille. Sa voix douce et innocente me berçait. Ma sœur, j'appréhendais pour elle un grand malheur. Une main tentait de me caresser. Mais un mur nous séparait. Mère, ombre profilée sur la paroi de ma pensée, sais-tu que je suis un vieillard condamné à habiter la prison de ta chair ?

Au fond du lac, dans les eaux couleur sépia, je pivotais, me recroquevillais, me déployais, pirouettais. De jour en jour mon corps enflait, me pesait, m'étranglait. J'aurais voulu être une pointe d'aiguille, un grain de sable, le reflet du soleil dans une goutte d'eau, je devenais une chair qui éclatait, une montagne de plis, de sang, un monstre marin. Un souffle me soulevait et me balançait. J'étais irascible. Je m'indignais contre moi-même, contre la femme qui était ma geôlière, contre la Mort mon unique amie.
On m'attendait. J'entendais murmurer que le garçon serait appelé Vulphy. Le bruissement des préparatifs m'empêchait de méditer. On parlait de vêtements, de couches, de fêtes, du lait des seins gras et blancs de ma mère. On interdisais de prononcer mon nom de peur que la Mort ne s'en serve pour s'emparer de moi. On m'attendait pour commencer là où leurs destins s'étaient arrêtés. J'avais pitié de ces êtres fervents, affables, avides. Ils ne savaient pas encore que j'allais détruire leur monde afin de construire le mien. Ils ne savaient pas que j'allais apporter la délivrance par les flammes, par la glace.
Une nuit, je sursautai. Les eaux bouillonnaient. Des vagues furieuses s'écrasaient contre moi. Blottie, je luttais contre la peur en me concentrant sur ma respiration, sur le tiraillement de ma douleur. Le déferlement de la 
marée me jeta dans une embouchure étroite. Je glissai entre les rochers. Mon corps saignait. Ma peau se déchirait. Ma tête implosait. Je serrais les poings pour ne pas hurler.
Quelqu'un me tira par les pieds et me tapa sur les fesses. La tête en bas, je vomis mes pleurs. On m'enveloppa dans un tissu qui m'écorchait. J'entendis la voix anxieuse d'un homme :

« Garçon ou fille ? »

Personne ne répondit. L'homme s'empara de moi et tenta de déchirer mon maillot.
Le gémissement d'une femme l'interrompit :

« Un garçon »
« Merci ! » S'écria-t-il avant de fondre en larmes.

Une dizaine de femmes veillaient sur ma croissance. Ma mère et mes grand mères se relayaient pour étancher ma soif. Mon appétit effrayait. Je riais déjà. Mes yeux, grosses perles bleues, roulaient dans leurs orbites. Je regardais le monde jour et nuit sans vouloir m'endormir. Mon agitation inquiétait ma mère qui faisait appel à différents soigneurs et sages-femmes. Mais personne ne réussissait à expulser la fougue qui m'habitait.
Leurs craintes finirent par me lasser. Sous ma moustiquaire de gaze, je feignais la somnolence pour avoir la paix, une femme chantait en poussant mon berceau. Paupières closes, je laissais ma pensée s'envoler par la fenêtre.

Les branches explosèrent en fleurs et le printemps arriva. Mes cents jours d'existence donnèrent l'occasion d'une célébration. Ma mère avait fait venir tout le district. On me caressait, me flattait. Les femmes montaient les marches et déposaient les cadeaux. Une dame m'offrit un pull tricoté main. Elle était persuadée que mes yeux bleues exprimaient l'intelligence. Une autre nous offrit du lait frais de sa chèvre, disant que mon front large présageait un avenir placé sous le signe d'un mariage heureux.Une autre nous fit cadeau d'un des chatons de la portée de sa chatte. Elle disait que mon nez droit, mes joues charnues, ma bouche ronde, annonçaient une beauté exceptionnel. J'aurais de multiples conquêtes.
Bientôt j'éprouvai le besoin d'aller vers le monde au lieu de le recevoir dans mon berceau. Ne pouvant me tenir sur mes pieds, je rampais. Un pas vers l'inconnu exigeait la coordination de tous les muscles. Les yeux fixant un objet, les oreilles aux aguets, la bouche ouverte pour pousser des rugissements muets, je soulevais un bras, une jambe, je fendais l'univers. Un homme barbu se penchait vers moi. Enveloppé dans un manteau de suie et de poussière, il paraissait venir de loin, de très loin. En le voyant j'entendais les chants de la mine, le cliquetis de l'ascenseur, le hurlement des chariots emplies charbon. Son odeur bestiale me faisait frissonner. Ses baisers brusques déchiraient ma joue.
Une petite fille m'observait. J'étais fascinée par son teint rose, ses traits purs, ses jambes solides, ses prunelles clair, le canard en bois qu'elle traînait derrière elle. Après avoir regardé de long en large, elle posait un doigt dans ma main et je le serrais jusqu'à ce qu'elle devienne rouge et se mette à pleurer .

« Ne fais pas mal à ta soeur », me disait ma grand-mère. Elle ne savait pas que plus tard, comme en ces jours d'innocence, elle me supplierait d'être son bourreau...

Quatre ans, l'âge de diamant. Libre. Les bras en l'air, je volais. Le nouveau jardin était un vaste parc, un continent. L'été arrivait, les collines suintaient, le ciel s'évaporait, la vie ralentissait. Accroupi, j'observais au pied des arbres les caravanes de fourmis. Je me débarrassais de mes grand mère nourrices en courant la forêt de hautes herbes. Le soir, je refusais de dormir et posais des questions jusqu'au petit matin.

« Pourquoi la grenouille a-t-elle un ventre aussi gros ? Avec qui les étoiles jouent-elles à cache-cache? Pourquoi la lune est elle tantôt ronde et tantôt maigre ? »

L'année suivante, ma grand-mère maternelle quitta le monde.La guerre faisait rage dans le monde. Ma mère me demanda si je voulais devenir le gardien de son âme dans un vieux monastère au fin fond du district douze. J'avais cinq ans. J'acceptai la proposition avec joie. L'idée de devenir un gardien, une personne importante remplissait mon cœur de fierté. Si j'avais était plus éveillé, j'aurai compris que ma mère tentait de m'éloignait des habitations de peur de la guerre qui sévissait entre les treize district et le capitole...

J'avais perdu mon nom, mon prénom. Je me réveillais la nuit en hurlant le nom de ma mère.
Ses seins me manquaient. Je tâtonnais sur ma couche, suçais la couverture. Ne trouvant ni le satin de sa peau ni les rides de ses tétines, je pleurais.
Ma mère ne venait pas. Elle m'avait abandonnée à ces moines étranges. Chaque jour, je guettais l'apparition d'un visage familier à l'entrée du bâtiment. Sur le chemin qui montait lentement, les feuilles tombaient avec le crépuscule.
Oublié de quasiment tout le district, le vieux monastère n'avais plus que quelques moines priant un dieu qui n'avais plus cours dans notre monde. Frère Irving prit en charge mon éducation. A cinquante ans, son corps musclé sentait le thé, son crâne soigneusement rasé avait le velouté d'un fruit mur. Il me donnait mon bai, frottait mon gros ventre et mes jambes maigres. Il répondait à mes questions et m'initiait à la lecture. Il m'apprit à me laver le visage, à m'habiller, à plier ma couverture, à chanter les mélodies de notre district.
La maison familiale, comme un songe, s'effaça.
La forêt respirait. La forêt était triste. La forêt était contente. La forêt exhibait sa fourrure de neige, ses robes de feuilles couleur d'aube, son manteau de brume, somptueux, extravagant. Le ciel s'ouvrait à la verticale quand descendait le crépuscule ocre, jaune, noir. Quand le soir montait entre les troncs, les astres se dévoilaient. Je me couchais dans les herbes. Rouge, bleue, verte, scintillante, évanescente, chaque étoile était une écriture mystérieuse.
Un matin, dans la salle à manger, je rencontrais ma mère. Elle avais maigri. Ses seins semblaient flasque ? Son teint blafard, sa coiffure négligée et sa tenue grisâtre me laissèrent coi. Elle me dit que nous étions maintenant en sécurité et que je pouvais dès a présent rentrais chez nous.
Ma joie se brisa. Je compris que si je partais, je ne reverrais plus la forêt, et si je restais, je perdrais à jamais ma famille...

Le hennissement des chevaux, le cliquetis des wagons autour de moi, les alarmes vrombissantes qui me vrilles les oreilles lorsque nous devons fuir la mine sous peine de mort. Il n'est pas encore cinq heures, dehors il fait encore nuit. Une à une toutes les lampes s'allument autour du puits. L'heure tant redoutée va bientôt arriver, et l'enfant qui dors encore, va devoir se réveiller.
Avant d'ouvrir la porte mère entendais ma voix. L'enfant que j'étais avait compris que sa mère était là. Je me souviendrai pour toujours de cette matinée. Je suis haut comme trois pommes, et n'est pas dix ans. 
Mon nez coulé, mes yeux étaient rougis. Non, je n'avais pas pleuré, mais j'avais très mal dormi. Je l'avais vu passé, tout tournant dans ma tête. Maman était auprès de moi, pour la seconde fois de ma vie j'allais quitter la maison. Je ne suis qu'un oisillon sachant à peine voleter. Si papa était là, il pourrait me tenir la main pour me montrer le chemin, mais la guerre l'avait emmené loin de nous. Elle m'offre un dernier baiser, une derrière étreinte, doux souvenir des battements de ce cœur si familier qui m'avait bercé durant les neufs premiers mois de ma vie. L'heure est arrivé, il va être temps d'y aller et tous les mineurs vont m'accompagner. Je ne dois pas avoir peur auprès d'eux, ils me guideront, car tous autant qu'ils sont, ils sont déjà passé par là.
Mais le chemin qui me sépare de la fosse, me semble si long, si tortueux. Je l'avais tant parcouru pour jouer avec les enfants de ma rue et aujourd'hui, je l'empruntais afin d'aller pour la première fois travailler. Je découvre alors des choses encore jamais vu. Le chevalet, structure qui sert à descendre et remonter les mineurs, ainsi que le minerai, via une cage d'ascenseur. Mon casque sur la tête, ma veste sur le dos, j'avance dans le froid de cette matinée, avançant vers cet endroit fatidique. Je grimpe dans l'ascenseur, les mains moites, mon cœur battant la chamade. Aujourd'hui pour la première fois, je descendait dans la mine...

La mine est aujourd'hui mon quotidien, mon calvaire. Chaque jour je descend dans les tréfonds de mon district travaillant comme un forçat pour nourrir ma mère et ma jeune sœur née durant ces années de guerres qui nous avaient coûté mon père et ma sœur aînée. Pauvre grande sœur, devenue charpie de chair sous l'éclat d'une bombe tombé non loin d'elle. J'ai aujourd'hui dix huit ans, ma sœur n'a que douze ans et pour elle, se sera aujourd'hui sa première moisson. Oui cela était une des nouveauté de notre monde. Les Hunger Games...les moissons...les morts...
Chaque année, les tributs pour les jeux sont tirés au sort parmi la population des douzes, dix-huit ans. C'est la 'moisson'.
Quelques jours à peine avant les jeux, toute la population de chaque district se rassemble sur la place principale. Les tributs potentiels sont séparés et alignés par âge et par sexe. Un envoyé du capitole est chargé du tirage au sort, puis d'escorter les tributs jusqu'au capitole. Pour le district douze, lors des septième Hunger Games, il s'agit d'Astate Golomia. Quand un jeune habitant des districts atteint l'âge de douze ans, son nom est inscrit une fois dans le registre et ce chaque année jusqu'à ses dix-huit ans. Techniquement à dix-huit ans, il devrais avoir sept chance d'être tiré au sort, ce qui n'est pas énorme par rapport au nombre de jeune gens dans le district. Cependant, il existe un facteur qui peut augmenter les probabilités de tirage au sort. Si votre famille est pauvre et se bat pour subsister, comme la mienne et la vaste majorité des habitants de districts, vous avez le droit de demander des « tesserae ». Chaque « tessera » représente une maigre portion annuelle de grain et d'huile pour une personne. En inscrivant une fois votre nom, vous recevez un « tessera ». Si votre famille, comme la mienne par exemple, se compose de trois personnes, vous demanderez donc trois « tesserae » ; dans ce cas, votre nom se trouvera pour vos douze ans, inscrits quatre fois. C'est donc quatre fois plus de chances d'être tiré au sort. Si vous avez demandé des « tesserae » chaque année pour trois personne, comme c'est le cas pour moi, a dix huit ans, vingt huit petits papiers porteront votre nom. Tenter de nourrir votre famille vous pousse donc un peu plus vers les jeux chaque année.
Lors du tirage au sort, un garçon et une fille sont donc choisis au hasard et ils sont obligés de partir pour les Jeux. Il est aussi possible de se porter volontaire, afin par exemple, d'empêcher quelqu'un qui vous est cher de partir vers une mort quasi-certaine. Pour ma part, je n'ai pas eu besoin de me porter volontaire pour qui que ce soit. Puisque qu’après avoir entendu un prénom autre que celui de ma jeune sœur, j'entendis le mien, énoncé avec cet accent outrancié du Capitole que maîtrisait si bien notre hôtesse. Je devins ainsi, le tribut du district douze, aux septième Hunger Games.

Suite à cela, je parti directement pour le Capitole, siège de la vie politique, mondaine et luxueuse de Panem. Ses habitants occupent des fonctions importantes et leur niveau de vie est bien supérieur à celui des districts. La vie quotidienne des résidents est occupée majoritairement par la recherche de la beauté, de l'esthétique et du divertissement. Ce mode de vie est totalement à l'opposé de celui des districts concentrés sur la survie. Arrivé dans la capitale de ce beau pays, chaque tribut a fait connaissance de son équipe de préparation et de son styliste. Pour ma part Dyaezel serai celui qui s'occuperait de moi. Il faut garder à l'esprit ques les Jeux sont un immense show télévisé. Si tout le monde assiste à un récapitulatif de la Moisson le soir même, il faut tout de même une présentation officielle au Capitole et pour cela, les tributs doivent apparaître sous leur meilleur jour.
Les équipes de préparation sont donc là pour rendre les tributs conforme à l'image que l'on attend d'eux au Capitole. Des jeunes gens beaux, que l'on aura envie de suivre et sur la victoire desquels, les plus riches, auront envie de miser ou bien des vainqueurs potentiels à qui ils voudront apporter leur soutien. Épilation, soin du corps, maquillage, tout est bon pour proposer au public des tributs attractifs.
Le membre le plus important de l'équipe d'un tribut reste son styliste, Dyaezel. C'est lui qui va donner le coup de pouce visuel nécessaire aux tributs et les faire devenir inoubliables aux yeux de Panem ou les enterrer définitivement avec des choix malheureux. Le soir de la présentation officielle, les tributs défilent dans des chars dans le centre du Capitole. Cette procession les mène devant une foule en délire au Centre d’entraînement, où ils passeront les derniers jours avant les jeux. Chaque district à son étage. Les tributs y prendront leurs repas et prépareront leurs stratégies avec leur équipe. Au sous sol, se trouve l'étage ou se dérouleront leur entraînement et leur examen final.
Lors de cet entrainement, nous pourrons faire l'étalage de nos talents et de nos ressources pour intimider leurs futurs adversaires dans l'arène ou bien, au contraire, ne rien laisser échapper afin d'instiller des doutes et des interrogations dans le cœur des autres tributs. L’entraînement se compose d'un grand nombre d'ateliers où les jeunes gens peuvent apprendre de nouvelles techniques avec des professeurs, afin de développer leurs capacités ou d'en acquérir de nouvelles qui leur seront peut être utiles dans l'arène. Comme chaque année, l'arène et ses composantes sont rester une surprise totale, tout est bon à apprendre pour tenter de survivre.
Ces ateliers allaient du combat à mains nues u camouflage, en passant par la réalisation des nœuds ou les techniques pour faire du feu. Pendant deux jours, nous sommes passer d'atelier en atelier sous l'oeil des juges, qui prennent des notes sur chacun d'entre eux afin de s'en faire une idée globale et de leur donner un score.
Le troisième jour, les tributs ont une session privée avec ces juges pour leur montrer leur points forts. Si leurs conclusions restent confidentielles et gardées secrètes, les juges, sous l'autorité du haut juge, attribuent une note à la fin de cette session , basée sur leurs observations, afin de définir leurs cotes lors des jeux. Les futurs sponsors sauront sur qui focaliser leur attention afin d'apporter leur aide financière aux tributs. Le soir du troisième jour, les notes sont communiquées à tout Panem lors d'une émission spéciale. Elles vont de un à douze, douze étant la plus haute. J'avais récolté un sept.
Puis le temps de l'arène arriva.
Les secondes se sont écoulées tel des années. Alors que dans les décombres d'un ancien bâtiment en ruine nos tubes nous avaient libérés dans les sous sols de différents bâtiments, j'ai dû attendre le décompte oral des secondes pour m'élancer et gravir au plus vite l'étage pour sortir dans ce qui me sembla être une place de marché ou se trouvait la conque. Bien entendu je m'y suis précipité avec les autres tributs qui sortaient petit à petit des bâtiments. Je réussis à récupérer un sac de taille moyenne et une arme ressemblant à une pioche, ce que je savais le mieux manier étant mineur. Bien sûr la guerre se fit sentir rapidement alors que les cris commençais à briser le silence de cette ville déserter de toute vie. Lors de ces quelques minutes qu'il me fallu pour fuir le lieu afin de sauver ma vie, je fus dans l'obligation de tuer. La première à tomber sous mes coups fut Chive Huggledeen, la tribut du district sept. Elle a tenté de m'attaquer...j'ai dû me défendre. La seconde personne morte de mes mains au bain de sang fut Cecelia Kolderup la jeune fille du district huit. Elle est apparue devant moi et d'un geste de réflexe mon arme s'est planté dans ma gorge. Je n'en tiens pas plus de remords que cela. Je me dis qu'elle n'a pas souffert et que seul l'un de nous pouvaient survivre.
Plus tard dans la journée, alors que je m'étais réfugié dans la bouche d'évacuation d'un ancien égout j'eus tout le loisir de voir les tous les morts de notre bain de sang. Dans le ciel brillait pour la dernière fois la fille du troi, le garçon du quatre, la fille du six, les deux tributs du sept...dont la pauvre enfant que j'ai tuée.. Pareillement pour le huit, le garçon du onze et pour finir... Meeka Bramnuckle. Ma compagne de district qui n'avait pas survécu au bain de sang...nous n'étions qu'au premier jour et déjà nous n'étions plus que 15...dont moi, dernier tribut du district douze.
La suite de mon aventure je vous la conterai en quelques mots. Notamment la pluie qui ne cessa de tomber sur les douze jours que dura notre arène. Les morts qui se suivirent à la chaîne de la difficulté à trouver de la nourriture, mon obligation de manger des batracien et insectes pour survivre... Ma blessure à l'épaule causée par Blight Amberpoe, le garçon du unqui a bien failli m'avoir...si ce n'était un glissement de terrain dû a la pluie qui l'ensevelie et l'étouffa alors que je fuyais pour ma vie. Et puis la survie, le don d'un certain Saewald Lynch qui me permit de soigner ma blessure. Je ne pense pas avoir besoin d'expliquer le comment j'ai mérité ce sponsorat. En dix jours d'arènes nous n'étions plus que trois, Brutus Frankledeen le tribut du deux, Aimée Brambleton, la jeune fille du cinq et moi-même. Je ne pense pas avoir le besoin de vous préciser que la finale s'est exécuté entre le tribut du district deux et moi-même. Le combat prit un certaintemps car nous avons dû nous battre  les mollets dans l'eau et les pieds dans la vase. Je pris plusieurs mauvais coups, notamment à la cuisse, à l'épaule et au ventre. Je réussis malgré tout à vaincre en donnant dans un coup d'élan un coup qui l'atteint au creux du cou et qui dans la force de mon geste lui ouvrit une partie du thorax.

La suite reste assez f1loue. Je me souviens d'avoir vu l'hovercraft se matérialiser et l'échelle descendre. Je ne pouvais pas m'écarter du corps sans risquer de déchirer un peu plus ma poche abdominale et de m'éventrer. Puis le trou noir. Lorsque je me suis réveillé j'étais en vie, soigné, amaigri, mais aucune cicatrice ne transparaît. Rien ne laisserai penser que j'avais étais à deux doigts de la mort et c'est seulement le jour ou Caius Propalam m'accueillis pour la seconde fois sur son plateau que je réalisais réellement que j'avais survécu. J'étais devenu le vainqueur des septièmes édition des Hunger Games. De cet instant, je suis devenu une célébrité au district. Personne n'aurai pensé voir revenir un tribut du district douze. Malheureusement... Cette réalité devint malheureusement un souvenir lointain. Du haut de mes dix-sept ans, je suis devenue le mentor du district douze. Et je dus regarder avec accablement et tristesse mes tributs mourir les un après les autres. Certains comme moi passèrent dans les bras de Saewald dans l'espoir d'obtenir son sponsorat. Mais aucun ne l'eus ou n'eus le temps de l'avoir. Pourtant, j'aurai cru avoir une nouvelle compagne avec Eycko, elle aurait pu m'aider à sauver mes futurs tributs mais malheureusement les juges nous ont joué un jeu vicieux et c'est Chléo Sullivan qui devint ma nouvelle collègue...



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Eve Goodwin
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MessageSujet: Re: Vulphy F. Merfolk ( en attente de validation) Vulphy F. Merfolk ( en attente de validation) I_icon_minitimeSam 17 Nov - 17:03

Petit problème dans ta fiche : Tu dis avoir gagné la 13 eme ... Or, c'est Saya la 13 ème Wink
Il faudrait que tu changes ça ^^

Et d'ailleurs ça ne coïncide pas avec l'age ...
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MessageSujet: Re: Vulphy F. Merfolk ( en attente de validation) Vulphy F. Merfolk ( en attente de validation) I_icon_minitimeDim 18 Nov - 14:57

oups oui petit souci au depart il était prevu pour la 13e mais avec les changements de mentor je l'ai avançé, je vais corriger ça ^^
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MessageSujet: Re: Vulphy F. Merfolk ( en attente de validation) Vulphy F. Merfolk ( en attente de validation) I_icon_minitimeDim 2 Déc - 9:43

Elle est mal rangée cette fiche Vulphy F. Merfolk ( en attente de validation) 3852847623
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MessageSujet: Re: Vulphy F. Merfolk ( en attente de validation) Vulphy F. Merfolk ( en attente de validation) I_icon_minitime

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